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Le christianisme en action au milieu de la tourmenteLa Tour de Garde 1998 | 15 janvier
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“ Les frères d’Europe ont apporté de l’argent qui nous a permis d’acheter des vivres, rares et très chers. La nourriture est arrivée juste à temps, car quelques-uns n’avaient plus rien à manger chez eux. Nous avons distribué de la nourriture tant à des Témoins qu’à des non-Témoins. Si l’aide nous était parvenue plus tard, nous aurions eu à déplorer beaucoup plus de morts, surtout parmi les enfants. Jéhovah a sauvé ses serviteurs. Les observateurs étaient impressionnés. Beaucoup ont parlé de l’unité et de l’amour qui règnent entre nous. Certains ont admis que nous pratiquons la vraie religion. ”
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Le christianisme en action au milieu de la tourmenteLa Tour de Garde 1998 | 15 janvier
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L’aide aux non-Témoins
Cette aide humanitaire n’a pas été réservée aux seuls Témoins de Jéhovah. D’autres en ont également bénéficié, tout comme cela avait été le cas en 1994. Cela est conforme à la pensée de Galates 6:10 : “ Ainsi donc, tant que nous disposons pour cela d’un temps favorable, pratiquons envers tous ce qui est bon, mais surtout envers ceux qui nous sont apparentés dans la foi. ”
Les Témoins ont remis des médicaments et des vêtements à plusieurs écoles primaires et à un orphelinat de la région de Goma. Cette dernière institution abrite 85 enfants. Lors d’une précédente tournée d’évaluation des besoins, une équipe de secours avait visité l’orphelinat et promis d’apporter 50 cartons de produits vitaminés, des vêtements, 100 couvertures, des médicaments et des jouets. Les enfants avaient chanté tous ensemble rangés devant leurs visiteurs, puis avaient demandé une faveur particulière : ils rêvaient d’un ballon de football.
Quelques semaines plus tard, l’équipe de secours avait tenu ses promesses : les fournitures étaient arrivées. Touché par cette générosité mais aussi par ce qu’il avait lu dans les publications bibliques qu’il avait reçues, le directeur de l’orphelinat a déclaré qu’il allait lui aussi devenir Témoin de Jéhovah. Mais au fait, les enfants ont-ils reçu un ballon ? “ Non, répond Claude, le coordinateur de l’équipe de secours française ; nous leur avons apporté deux ballons. ”
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