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Laissons-nous guider par le Dieu vivantLa Tour de Garde 2004 | 15 juin
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12. a) Quelle position a-t-on exposée en rapport avec les fractions extraites des composants principaux du sang ? b) Où peut-on trouver des renseignements complémentaires ?
12 L’article médical ajoutait : “ La compréhension qu’ont les Témoins de ces versets n’interdit pas absolument l’emploi de [fractions telles] que l’albumine, les immunoglobulines et les préparations destinées aux hémophiles : il appartient à chaque Témoin de décider s’il peut les accepter. ” Depuis 1981, on a isolé de nombreuses fractions du sang (les éléments dérivés d’un des quatre composants principaux). C’est pourquoi La Tour de Garde du 15 juin 2000 a fourni des renseignements sur ce sujet dans l’article intitulé “ Questions des lecteurs ”. Dans l’intérêt de millions de lecteurs actuels, nous reproduisons la réponse aux pages 29 à 31 du présent numéro. Il contient davantage de détails et d’arguments, mais vous constaterez qu’il est en accord avec les idées fondamentales présentées en 1981.
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Laissons-nous guider par le Dieu vivantLa Tour de Garde 2004 | 15 juin
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16. Pourquoi des chrétiens acceptent-ils l’injection d’une petite fraction d’un composant du sang et d’autres non ?
16 Comme l’indiquent les paragraphes 11 et 12, les Témoins de Jéhovah n’acceptent pas les transfusions de sang total ni de l’un de ses quatre composants principaux : le plasma, les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. Qu’en est-il des fractions extraites de l’un de ces composants, par exemple des sérums qui contiennent des anticorps pour lutter contre une maladie ou des sérums antivenimeux contre les morsures de serpents (voir page 30, paragraphe 4) ? Certains estiment que ces fractions infimes ne sont plus du sang à proprement parler, et donc ne tombent pas sous le coup du commandement de ‘ s’abstenir du sang ’. (Actes 15:29 ; 21:25 ; page 31, paragraphe 1.) C’est leur responsabilité. La conscience d’autres chrétiens les pousse à refuser tout ce qui provient du sang (animal ou humain), même une fraction minuscule d’un seul composant principald. D’autres encore acceptent des injections d’une protéine plasmatique pour combattre une maladie ou le venin d’un serpent, mais rejettent les autres fractions. Par ailleurs, certains produits dérivés de l’un des quatre composants principaux du sang remplissent une fonction si semblable à celle du composant lui-même et jouent un rôle si vital dans l’organisme que la plupart des chrétiens verraient une objection majeure à leur emploi.
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