“ PÉRISSE LE JOUR OÙ JE SUIS NÉ ”

(Job 1:1–3:26)

Un jour, Satan met en doute la fidélité de Job envers Dieu. Jéhovah accepte que son serviteur soit éprouvé ; il permet à Satan de lui faire subir malheur sur malheur. Mais Job refuse de ‘ maudire Dieu ’. — Job 2:9.

Trois compagnons de Job viennent “ le plaindre ”. (Job 2:11.) Ils s’assoient près de lui, sans dire une parole. Job rompt finalement le silence par ces mots : “ Périsse le jour où je suis né. ” (Job 3:3). Il voudrait être “ comme les enfants qui n’ont pas vu la lumière ”, qui sont morts-nés. — Job 3:11, 16.

“ JE NE ME DESSAISIRAI PAS DE MON INTÉGRITÉ ! ”

(Job 4:1–31:40)

L’idée essentielle exprimée par les trois compagnons de Job dans leurs discours est celle-ci : pour être puni si sévèrement par Dieu, Job doit avoir fait quelque chose de très mal. Éliphaz parle le premier. Il est suivi de Bildad, dont les propos sont plus mordants. Tsophar est encore plus corrosif.

Job rejette les raisonnements erronés de ses visiteurs. Ne pouvant comprendre pourquoi Dieu permet qu’il souffre, son désir de se justifier prend des proportions exagérées. Quoi qu’il en soit, Job aime Dieu ; il s’exclame : “ Jusqu’à ce que j’expire, je ne me dessaisirai pas de mon intégrité ! ” — Job 27:5.

“ JE ME REPENS RÉELLEMENT DANS LA POUSSIÈRE ET DANS LA CENDRE ”

(Job 32:1–42:17)

Un jeune observateur du nom d’Élihou a patiemment suivi le débat. Maintenant il s’exprime franchement. Il reprend Job et les trois hommes qui le tourmentent.

Dès qu’Élihou a achevé son discours, Jéhovah répond du milieu d’une tempête de vent. Le Tout-Puissant ne donne aucune explication aux souffrances de Job, mais, par une série de questions, il révèle à Job Sa puissance impressionnante et Sa grande sagesse. Job reconnaît qu’il a parlé sans comprendre et déclare : “ Je me rétracte, et je me repens réellement dans la poussière et dans la cendre. ” (Job 42:6). Les épreuves de Job cessent et son intégrité est récompensée.