BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Le jugement de la prostituée infâme
    La Révélation. Le grand dénouement est proche !
    • Dès le 18 décembre 1918, l’organisme connu aujourd’hui sous le nom de Conseil national des Églises du Christ en Amérique adopta une résolution qui disait notamment : “ Une telle société n’est pas seulement un moyen d’action politique ; elle est plutôt l’expression politique du Royaume de Dieu sur la terre [...]. L’Église peut donner un esprit de bonne volonté, sans lequel aucune Société des Nations ne peut subsister [...]. La Société des Nations a ses fondements dans l’Évangile. Comme l’Évangile, son but est ‘ paix sur la terre, bonne volonté envers les hommes ’. ”

  • Le jugement de la prostituée infâme
    La Révélation. Le grand dénouement est proche !
    • 20. Pourquoi le clergé blasphémait-​il quand il exaltait la Société des Nations comme “ l’expression politique du Royaume de Dieu sur la terre ” ?

      20 L’échec lamentable de la Société des Nations aurait dû montrer au clergé que de tels organismes humains n’ont rien à voir avec le Royaume de Dieu sur la terre. Affirmer le contraire est un pur blasphème. C’est donner à penser que Dieu était partie prenante dans cette organisation qui se révéla être un échec colossal. Quant à Jéhovah, “ parfaite est son action ”. Pour établir la paix et accomplir sa volonté sur la terre comme au ciel, il se servira, non pas d’une association d’hommes politiques en perpétuel désaccord, et dont beaucoup sont athées, mais du Royaume céleste de Christ. — Deutéronome 32:4 ; Matthieu 6:10.

      21. Quels faits démontrent que la grande prostituée soutient et admire l’Organisation des Nations unies, qui a succédé à la Société des Nations ?

      21 Que dire maintenant de l’Organisation des Nations unies, qui a succédé à la Société des Nations ? À peine était-​elle née que la grande prostituée montait sur son dos, visiblement unie à elle et s’efforçant de diriger sa destinée. Par exemple, en juin 1965, pour le 20e anniversaire de l’ONU, des représentants de l’Église catholique, de l’Église orthodoxe orientale ainsi que des protestants, des juifs, des hindous, des bouddhistes et des musulmans — censés représenter quelque deux milliards d’humains — se réunirent à San Francisco pour affirmer solennellement leur soutien à cette organisation et leur admiration pour elle. Lors de sa visite au siège de l’ONU en octobre 1965, le pape Paul VI parla de cette organisation comme de “ la plus grande des organisations internationales ” et ajouta : “ Les peuples se tournent vers les Nations unies comme vers l’ultime espoir de concorde et de paix. ” Un autre pape, Jean-Paul II, en visite à l’ONU en octobre 1979, déclara devant l’assemblée générale : “ Je souhaite que l’Organisation des Nations unies demeure toujours la tribune suprême de la paix et de la justice. ” Fait révélateur, dans son discours le pape n’attira guère l’attention sur Jésus Christ ou sur le Royaume de Dieu. Lors de son séjour aux États-Unis en septembre 1987, selon le New York Times, “ Jean-Paul II parla longuement du rôle actif des Nations unies en faveur [...] de la ‘ nouvelle solidarité internationale ’ ”.

  • Le jugement de la prostituée infâme
    La Révélation. Le grand dénouement est proche !
    • [Encadré, page 244]

      ‘ Des noms blasphématoires ’

      Quand la bête sauvage à deux cornes encouragea la formation de la Société des Nations après la Première Guerre mondiale, ses nombreuses maîtresses religieuses s’efforcèrent aussitôt d’apporter leur caution religieuse à ce mouvement. C’est ainsi que la nouvelle organisation en faveur de la paix devint “ pleine de noms blasphématoires ”.

      “ Le christianisme peut apporter à la Société [des Nations] la bonne volonté et la force dynamique, et ainsi faire de ce traité non plus un simple morceau de papier, mais un instrument du royaume de Dieu. ” — The Christian Century, États-Unis, 19 juin 1919, page 15.

      “ L’idée d’une Société des Nations est l’extension du concept du Royaume de Dieu aux relations internationales en tant qu’ordre mondial régi par la bonne volonté. [...] C’est ce pour quoi tous les chrétiens prient quand ils disent : ‘ Que ton royaume vienne. ’ ” — The Christian Century, États-Unis, 25 septembre 1919, page 7.

      “ Le ciment de la Société des Nations, c’est le sang du Christ. ” — Frank Crane, pasteur protestant, États-Unis.

      “ Le Conseil [national des Églises congrégationalistes] soutient l’Alliance [la Société des Nations], la considérant comme le seul instrument politique actuellement disponible par lequel l’Esprit de Jésus Christ peut s’étendre plus largement dans la réalisation des affaires des nations. ” — The Congregationalist and Advance, États-Unis, 6 novembre 1919, page 642.

      “ La conférence invite tous les méthodistes à soutenir et à favoriser largement les idéaux [de la Société des Nations] exprimés par l’idée de Dieu le Père et des enfants terrestres de Dieu. ” — Église méthodiste, Grande-Bretagne.

      “ Quand nous considérons les aspirations, les possibilités et les résolutions de cet accord, nous voyons qu’il renferme l’essence de l’enseignement de Jésus Christ : le Royaume de Dieu et sa justice [...]. Ce n’est pas moins que cela. ” — Sermon prononcé par l’archevêque de Cantorbéry lors de l’ouverture de l’assemblée de la Société des Nations à Genève, le 3 décembre 1922.

      “ La Société des Nations dans ce pays a le même droit sacré que n’importe quelle société de mission humanitaire, car elle est actuellement l’instrument le plus efficace de la domination de Christ dans son rôle de Prince de paix parmi les nations. ” — M. Garvie, pasteur congrégationaliste, Grande-Bretagne.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager