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Vivante, même dans une langue morteLa Tour de Garde 2009 | 1er avril
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Aux VIIIe et IXe siècles, des théologiens tels que Alcuin et Théodulf s’employèrent à corriger les erreurs linguistiques et textuelles qui s’étaient glissées dans le texte à mesure qu’il avait été recopié.
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Vivante, même dans une langue morteLa Tour de Garde 2009 | 1er avril
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[Illustration, page 22]
Version d’Alcuin de la Bible latine, 800 de notre ère.
[Indication d’origine]
Extrait de Paléographie latine, de F. Steffens (www.archivi.beniculturali.it)
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