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Ils n’arrivent pas à prendre Jésus au piègeLa Tour de Garde 1990 | 1er février
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Ils n’arrivent pas à prendre Jésus au piège
JÉSUS vient d’enseigner dans le temple, où il a raconté à ses ennemis, les chefs religieux, trois illustrations qui dévoilaient leur méchanceté. Furieux, les Pharisiens tiennent conseil pour l’amener par la ruse à dire quelque chose qui leur fournirait un motif pour l’arrêter. Après avoir mis au point un plan, ils envoient leurs disciples et quelques partisans d’Hérode tenter de prendre Jésus en défaut.
“Enseignant, commencent ces hommes, nous savons que tu es véridique et que tu enseignes la voie de Dieu avec vérité, et que tu ne te soucies de personne, car tu ne regardes pas à l’apparence des hommes. Dis-nous donc: Qu’en penses-tu? Est-il permis ou non de payer l’impôt de capitation à César?”
Jésus n’est pas dupe de leur flatterie. Il sait que s’il répond: ‘Non, il n’est pas permis ni juste de payer cet impôt’, il se rendra coupable de sédition contre Rome. Par contre, s’il dit: ‘Oui, il faut payer cet impôt’, les Juifs, qui méprisent leur sujétion à Rome, vont le détester. Il répond donc: “Pourquoi me mettez-vous à l’épreuve, hypocrites? Montrez-moi la monnaie de l’impôt de capitation.”
Ils lui apportent une pièce de monnaie, et Jésus demande: “De qui est cette image, et l’inscription?”
“De César”, disent-ils.
“Rendez donc les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu.”
Eh bien, en entendant cette réponse magistrale, les hommes sont tout surpris. Ils s’en vont, le laissant là.
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Ils n’arrivent pas à prendre Jésus au piègeLa Tour de Garde 1990 | 1er février
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Voyant que Jésus a réduit au silence les Sadducéens, les Pharisiens viennent à lui en groupe. Pour le mettre encore à l’épreuve, l’un d’eux pose cette question: “Enseignant, quel est le plus grand commandement de la Loi?”
Jésus répond: “Le premier c’est: ‘Entends, ô Israël, Jéhovah, notre Dieu, est un seul Jéhovah, et tu dois aimer Jéhovah, ton Dieu, de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de tout ton esprit, et de toute ta force.’ Voici le second: ‘Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.’ Aucun autre commandement n’est plus grand que ceux-là.” Et d’ajouter: “À ces deux commandements toute la Loi est suspendue, et les Prophètes.”
“Enseignant, tu as dit pertinemment, selon la vérité, reconnaît un scribe:
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