Six. Ce nombre représente quelquefois l’imperfection. Six cent soixante-six, le nombre de “ la bête sauvage ”, est appelé “ un nombre d’homme ” pour indiquer qu’il concerne l’homme déchu et imparfait. Il semble donc symboliser l’imperfection de ce que représente “ la bête sauvage ”. Ici, le chiffre six est accentué au troisième degré (il apparaît dans les unités, les dizaines et les centaines) afin de souligner l’imperfection et l’insuffisance de ce que la bête représente. — Ré 13:18.

Les “ sept têtes ” de la “ bête sauvage ” (Ré 13:1) indiquent que celle-ci ne serait autorisée à se développer que jusqu’à une limite bien précise.