BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Femme
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • Même les lois militaires profitaient à la fois à la femme et au mari en exemptant le jeune marié pendant un an. Cette disposition permettait au couple d’exercer son droit d’avoir un enfant, ce qui était par la suite un grand réconfort pour la mère quand le mari était absent, et plus encore s’il perdait la vie dans une bataille. — Dt 20:7 ; 24:5.

      Les lois s’appliquaient à un degré égal aux hommes et aux femmes qui se rendaient coupables d’adultère, d’inceste, de bestialité et d’autres crimes (Lv 18:6, 23 ; 20:10-12 ; Dt 22:22). Les femmes ne devaient pas porter des vêtements d’homme, ni les hommes des vêtements de femme, cette pratique pouvant être la porte ouverte à l’impureté sexuelle, dont l’homosexualité (Dt 22:5). Les femmes pouvaient profiter des avantages des sabbats, des lois concernant les naziréens, des fêtes et, globalement, de tout ce que la Loi apportait (Ex 20:10 ; Nb 6:2 ; Dt 12:18 ; 16:11, 14). Honneur et obéissance étaient dus à la mère autant qu’au père. — Lv 19:3 ; 20:9 ; Dt 5:16 ; 27:16.

  • Femme
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • La Loi protégeait les femmes. C’étaient généralement les parents qui choisissaient une fiancée pour leur fils. Mais tout porte à croire que sous la Loi, comme jadis Rébecca, la jeune fille avait la possibilité d’exprimer ses sentiments et ses souhaits sur la question (Gn 24:57, 58). Si le mari occupait la position supérieure dans le cadre du mariage, Dieu requérait néanmoins de lui qu’il subvienne aux besoins de sa famille et en prenne soin sur les plans matériel et spirituel. En outre, toute faute commise par sa famille rejaillissait sur lui ; il portait donc une lourde responsabilité. Par ailleurs, même si le mari avait de plus grands privilèges que la femme, la loi de Dieu protégeait la femme et lui donnait certaines prérogatives uniques qui lui permettaient de mener une vie heureuse et productive.

      Voici quelques dispositions de la Loi concernant la femme mariée : le mari comme la femme pouvaient être mis à mort en cas d’adultère. Si un mari soupçonnait sa femme de s’être rendue coupable d’infidélité en secret, il devait l’amener au prêtre, afin que Jéhovah Dieu juge l’affaire. Si la femme était coupable, ses organes reproducteurs s’atrophiaient ; en revanche, si elle n’était pas coupable, le mari se devait de la rendre enceinte, ce qui était un aveu public de son innocence (Nb 5:12-31). Un mari pouvait divorcer d’avec sa femme s’il trouvait chez elle quelque chose d’inconvenant. Tel était probablement le cas lorsque la femme faisait preuve d’un grave manque de respect envers lui et si elle jetait l’opprobre sur leur maisonnée ou sur celle du père de son mari. Cependant, la femme était protégée par l’exigence qui, dans ce cas, obligeait le mari à rédiger pour elle un acte de divorce. Elle était dès lors libre de se remarier avec un autre homme (Dt 24:1, 2). Si une femme avait fait un vœu qui, de l’avis de son mari, était peu sage ou risquait de nuire au bonheur de la famille, il pouvait l’annuler (Nb 30:10-15). En fait, cette loi protégeait la femme, car elle lui épargnait les difficultés pouvant résulter d’une décision hâtive.

      La polygamie avait cours, tolérée sous la Loi mosaïque, car Dieu ne rétablit pas le principe de la monogamie avant l’établissement de la congrégation chrétienne (Gn 2:23, 24 ; Mt 19:4-6 ; 1Tm 3:2) ; cependant, elle était réglementée de façon à protéger les droits de la femme mariée. Le mari n’était pas autorisé à transférer le droit de premier-né du fils d’une femme qu’il aimait moins à celui de sa favorite (Dt 21:15-17). Dans le cas où une fille israélite était vendue comme servante par son père et que son maître, son propriétaire, la prenne comme concubine, si elle lui déplaisait il pouvait la laisser se faire racheter, mais ne devait pas la vendre à un peuple étranger (Ex 21:7, 8). Si le maître ou son fils, l’ayant prise pour concubine, épousait ensuite une autre femme, elle devait quand même recevoir la nourriture, le vêtement, le logement et le droit conjugal. — Ex 21:9-11.

      Si un mari malveillant accusait sa femme d’avoir faussement prétendu être vierge au moment de leur mariage et se voyait convaincu de mensonge, il était puni. Il devait verser au père de la femme le double du prix d’achat fixé pour les vierges, et il ne pouvait jamais divorcer d’avec elle, durant tous ses jours (Dt 22:13-19). Si un homme séduisait une vierge non fiancée, il lui fallait payer le prix de l’épouse à son père et, si celui-ci lui permettait de l’épouser, il ne lui était jamais permis de divorcer d’avec elle, durant tous ses jours. — Dt 22:28, 29 ; Ex 22:16, 17.

      Même les lois militaires profitaient à la fois à la femme et au mari en exemptant le jeune marié pendant un an. Cette disposition permettait au couple d’exercer son droit d’avoir un enfant, ce qui était par la suite un grand réconfort pour la mère quand le mari était absent, et plus encore s’il perdait la vie dans une bataille. — Dt 20:7 ; 24:5.

      Les lois s’appliquaient à un degré égal aux hommes et aux femmes qui se rendaient coupables d’adultère, d’inceste, de bestialité et d’autres crimes (Lv 18:6, 23 ; 20:10-12 ; Dt 22:22). Les femmes ne devaient pas porter des vêtements d’homme, ni les hommes des vêtements de femme, cette pratique pouvant être la porte ouverte à l’impureté sexuelle, dont l’homosexualité (Dt 22:5). Les femmes pouvaient profiter des avantages des sabbats, des lois concernant les naziréens, des fêtes et, globalement, de tout ce que la Loi apportait (Ex 20:10 ; Nb 6:2 ; Dt 12:18 ; 16:11, 14). Honneur et obéissance étaient dus à la mère autant qu’au père. — Lv 19:3 ; 20:9 ; Dt 5:16 ; 27:16.

      Même si la condition de la femme mariée dans la société hébraïque était assez différente de ce qu’elle est à présent dans le monde occidental, l’Hébreue mariée fidèle se plaisait dans son rôle et sa tâche. Elle aidait son mari, élevait ses enfants, s’occupait de son foyer et trouvait de nombreux sujets de satisfaction et de joie, car elle avait tout loisir d’exprimer pleinement sa féminité et ses talents.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager