1. En quel sens peut-​on dire que le Christ a confié son “avoir” à ses disciples?

AU MOMENT de les quitter et de retourner au ciel, en l’an 33 de notre ère, le Christ “a confié son avoir” à ses disciples. Ils allaient donc devenir des “ambassadeurs à la place de Christ” en continuant l’œuvre de prédication qu’il avait entreprise et en l’étendant à “la partie la plus lointaine de la terre”. Auparavant, il leur avait ordonné de ‘faire des disciples des gens de toutes les nations’. Avons-​nous des preuves attestant qu’il s’est intéressé à la façon dont ses disciples s’acquittaient de cette mission? Très certainement. — Matthieu 25:14; II Corinthiens 5:20; Actes 1:8; Matthieu 28:19.

Le Maître et son esclave

4. En quel sens le Christ est-​il ‘parti pour l’étranger’ et revenu “après un long temps”?

⁴ Après s’être comparé à “un homme, sur le point de partir pour l’étranger, [qui] a appelé ses esclaves personnels et leur a confié son avoir”, le Christ ajoute: “Après un long temps, le maître de ces esclaves revint et régla les comptes avec eux.” (Matthieu 25:14, 19). En l’an 33, le Christ “est allé au ciel”, où il s’est assis “à la droite de Dieu”. (I Pierre 3:22.) “Après un long temps”, à l’époque qui a suivi son intronisation en 1914, le Christ a commencé de ‘soumettre au milieu de ses ennemis’ en précipitant Satan et ses démons sur la terre (Psaume 110:1, 2; Révélation 12:7-9). Il s’est ensuite occupé de ses esclaves. Le moment était venu de régler les comptes avec eux. Le Christ était plus que jamais leur Conducteur actif.