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  • On essaie de saper la Bible

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  • On essaie de saper la Bible
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1953
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1953
w53 15/4 p. 115-116

On essaie de saper la Bible

“ Quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison : elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc. ” — Mat. 7:24, 25.

LA manière la plus rapide de détruire un édifice, c’est d’en saper les fondements, la pesanteur fera le reste. Cela est également vrai pour la foi du chrétien. Sapez ses fondements et le doute en achèvera la ruine. Les fondements de notre foi sont constitués par un livre : la Bible. Aujourd’hui, une multitude d’ouvriers s’acharnent à détruire cet ouvrage. Jadis on a tué des rédacteurs de la Bible, torturé ceux qui croyaient en elle, envoyé ceux qui la traduisaient au bûcher dont on alimentait les flammes avec des exemplaires du saint Livre. Mais la Bible est toujours en vie. Elle subit encore des attaques, mais de nos jours elles se font plus variées et plus subtiles. Ces assauts partent de différents côtés : des milieux scientifiques et athées et, qui l’eût cru, de celui qui se dit son ami : le clergé.

2 Croyez-​vous en la Bible ? Votre foi se fonde-​t-​elle sur des faits ? Gardez-​vous les paroles des Écritures ou bien avez-​vous la foi sans les œuvres, une foi morte ? De nombreuses personnes, au lieu d’édifier le christianisme qu’elles professent sur un fondement de roc, le bâtissent sur les sables de la tradition, de la superstition, de la crédulité et des cérémonies. Une foi qui s’appuie sur de pareils fondements ne résistera pas aux assauts de l’adversaire, mais la foi vraie et obéissante, celle qui a pour fondement la connaissance de la Parole de Dieu, restera debout comme une maison bâtie sur le roc. Elle ne chancellera pas devant les assauts que tentent contre elle ceux qui s’efforcent de la saper et elle ne sera pas davantage trouvée légère par Dieu lorsqu’il la pèsera par ses jugements. Dans l’illustration suivante, Jésus mentionne la foi qui résiste et celle qui s’effondre : “ Quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison : elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc. Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison : elle est tombée, et sa ruine a été grande. ” — Mat. 7:24-27.

3 La science a cherché à ruiner la Bible ; elle a fait du récit de la création sa principale cible et de ses théories de l’évolution des traits enflammés. Ces flèches ardentes ont réduit en cendres la foi sans fondement des masses sans réussir à percer le bouclier de la vraie foi (Éph. 6:16). Il est intéressant de noter que même les dernières acquisitions dans le domaine scientifique éteignent les projectiles de feu de l’évolution. Il fut un temps où les évolutionnistes croyaient à la génération spontanée de la vie, mais de nouvelles données les ont contraints à abandonner cette théorie. Ils ont affirmé que les caractères acquis sous l’influence du milieu se transmettaient par hérédité, mais ils durent renoncer à cette brillante idée lorsque la génétique moderne prouva que les caractères acquis ne sont pas héréditaires. Darwin qui croyait à la survivance du mieux adapté n’a jamais su expliquer sa venue, ce qui constitue la clef du problème. Hugo de Vries expliqua par les mutations l’apparition de petits changements héréditaires dans les formes de vie, mais aujourd’hui la science a découvert à regret que loin d’être utiles ces rares mutations sont nuisibles et expliqueraient plutôt une dégénération, une évolution à rebours, qu’une évolution ascendante. Si la science se laissait dépouiller de ses assertions passées, sa théorie sur l’évolution s’écroulerait, mais elle n’admettra jamais un tel échec. Aussi les évolutionnistes continuent-​ils à nourrir de ces fausses notions un public crédule et non averti.

4 En juin 1952 se tint à New-​York une conférence internationale sur l’anthropologie. Le New-​York Times du 12 juin, publiant la conclusion à laquelle était arrivée cette assemblée, intitula comme suit le compte rendu d’une session : “ On déclare achevée l’évolution du corps. ” Cette conclusion s’accorde avec l’opinion d’un éminent biologiste français, Lucien Cuénot, qui, au sujet de l’arbre de l’évolution, déclara ce qui suit dans son livre intitulé L’adaptation : “ La sève de l’évolution ne circule plus. ” Notons en passant qu’avant sa mort qui survint en 1951, Cuénot rejeta la théorie de l’évolution comme insoutenable. Il est très commode de déclarer que l’évolution est terminée. Ainsi on n’a plus à prouver alors qu’elle continue de nos jours.

5 Un autre point intéressant fut révélé lors de cette réunion d’anthropologistes. Le New-​York Times du 10 juin, sous le titre “ L’âge de l’homme des cavernes diminue de 35 000 ans ”, rapporta que selon l’opinion de ces savants “ les ancêtres de l’homme moderne d’Europe sont peut-être plus jeunes de 35 000 ans qu’on ne le pensait ” et qu’“ une nouvelle étude indique que l’homme des cavernes s’est éteint en Europe vers l’an 13 000 av. J.-C. ”. Cette réduction de l’âge de l’homme des cavernes, de 50 000 à 15 000 ans, est la conséquence de la récente mise au point d’un chronomètre au radio-carbone. C’est l’avènement de cet instrument qui fit écrire au Sun-Times de Chicago, le 27 mai 1951, que les évolutionnistes avaient réduit l’âge de l’homme moderne de 1 000 000 d’années à 50 000. En ce qui concerne l’âge de l’homme, les chiffres avancés par la science ne cessent donc de se rapprocher de ceux de la Bible. Selon les anthropologistes les chiffres lus sur le chronomètre au radio-carbone ne sont pas définitifs, car le Times rapporta ce qui suit : “ On laisse entendre que les dates déterminées par le chronomètre au radio-carbone seront peut-être révisées plus tard si l’on arrive à déceler des variations dans la rapidité de formation naturelle de l’isotope radio-actif ou si l’on découvre des différences dans la rapidité d’utilisation du carbone par des matières en croissance. ”

L’ARCHÉOLOGIE CONTREDIT L’ÉVOLUTION

6 La science de l’archéologie contredit l’évolution au lieu de la défendre. Il est intéressant de noter le passage suivant : “ Devant les affirmations formelles de l’école évolutionniste, il est étrange que nous ne trouvions en Égypte aucune preuve d’une évolution de l’homme. En outre, la doctrine selon laquelle l’homme avait au commencement une intelligence à l’état rudimentaire et qu’il développa progressivement la culture élevée et particulière qui est la sienne est réfutée par les témoignages que nous livre ce pays. C’est le contraire qui est vrai. Au lieu de prouver l’évolution, l’histoire de l’homme telle qu’on la lit dans l’archéologie de l’Égypte montre sans jamais se contredire qu’il y a dégénération. L’éminent Sayce, un des archéologues les plus compétents dans toute l’histoire de cette grande science, exprima son étonnement et son émerveillement devant la culture supérieure que révèlent les documents les plus anciens concernant le peuple égyptien. D’autres autorités, Baikie par exemple, ont abondamment discuté ce sujet. On avait espéré que, lorsque les chercheurs mettraient à jour des tombes vierges de la première dynastie, ils découvriraient l’aube de la culture égyptienne... Par-delà les premières tombes notre regard plonge dans une culture encore plus ancienne qui stupéfie l’intelligence humaine. Au lieu d’apercevoir l’aube d’une humanité en voie de développement, nous découvrons l’homme déjà parvenu au zénith des réalisations culturelles... L’Égypte, comme d’autres terres, ne nous permet pas d’attribuer à ses habitants un commencement obscur et rudimentaire ; au contraire, à notre grande surprise, elle nous les présente dotés d’un haut degré de culture... Il ne faut pas croire que cette condition est particulière à l’Égypte, à une race ou à un pays quelconque. On peut observer des différences semblables entre les théories trompeuses de la philosophie sur l’évolution organique et les faits historiques concernant l’homme, partout où l’archéologie a pu éclairer du flambeau de la découverte un territoire donné. ” — H. Rimmer, Dead Men Tell Tales, pages 41, 42, 49 et 50.

7 Bien que la Bible soit prouvée par une connaissance en progrès, certains membres du clergé s’opposent à ce livre pour se ranger du côté de la science. Le Morning Call d’Allentown (Pennsylvanie), du 3 mai 1952, rapporte les paroles suivantes du “ Révérend ” Joseph B. Mohr : “ Il est regrettable que pour beaucoup la doctrine de l’infaillibilité de la Bible implique que toutes les parties des Écritures, même celles qui sont contraires aux idées scientifiques actuelles, gardent aujourd’hui la même valeur et imposent les mêmes obligations. ” Cet ecclésiastique essaie de faire accroire que la Parole de Dieu n’est pas digne de confiance, que si les hommes qui l’ont écrite avaient connu la science ils l’auraient rédigée différemment, que si Dieu, son inspirateur, avait su ce que les savants savent aujourd’hui il l’aurait fait composer d’une autre manière, que lorsqu’il faut choisir entre la science et la Bible, nous devrions choisir la science. Cette attitude est caractéristique de nombreux membres du clergé car ils bâtissent sur les sables mouvants de la science et non sur le roc inébranlable de la Parole de Dieu.

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