BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • La voie de l’hospitalité
    La Tour de Garde 1957 | 1er juin
    • à l’étranger ? Dans les groupes où les serviteurs se font un devoir de bien accueillir tout le monde, les étrangers comme les frères, il règne une telle atmosphère que les frères ont de la peine à quitter la Salle du Royaume après une réunion.

      18, 19. a) Que se produit-​il quand les serviteurs oublient la pratique de l’hospitalité ? b) Comment, sans présentation, le frère d’un naturel réservé peut-​il aborder les étrangers ?

      18 Mais il arrive que les serviteurs oublient la pratique de l’hospitalité. Et tout le groupe les suit. Que se produit-​il alors ? Au lieu d’une ambiance pleine de chaleur, la Salle du Royaume ressemble à une gare. Vous connaissez l’atmosphère de la gare. Quand vous entrez dans la salle d’attente, personne ne fait attention à vous ; nul ne vous adresse la parole. Vous coudoyez des voyageurs mais nul ne vous regarde ni ne se soucie de vos faits et gestes. Vous prenez place à côté d’un monsieur qui ne prend même pas la peine de lever la tête de son journal. Si quelqu’un vous regarde et que vous lui adressez un sourire, il ne vous rend pas votre sourire. Ce n’est qu’un lieu pour s’asseoir et attendre et vous êtes bien content d’en sortir. Telle est l’atmosphère de la gare. Que se produit-​il quand les serviteurs tolèrent une telle atmosphère et qu’un étranger visite la Salle du Royaume ?

      19 L’étranger se dira ceci : “ Quel accueil ! Ils sont gentils quand je leur adresse la parole au coin de la rue ou quand ils viennent frapper à ma porte. Mais maintenant que je suis parmi eux, ils ne m’ont même pas remarqué. Je suis peut-être indésirable. Je me demande s’il faut revenir. ” Cela peut arriver. C’est arrivé. Ne permettez en aucun cas que cela arrive dans votre groupe. Veillez à bien accueillir l’étranger. Si des frères sont réservés par nature, ils réussiront à aborder les étrangers sans difficulté par des questions de ce genre : “ Avez-​vous aimé le discours ? ” ou “ Nos réunions sont différentes de celles que tiennent les autres religions, n’est-​ce pas ? ” Et, bien entendu, on n’hésitera jamais à parler de ce qui est évident : le temps qu’il fait. Après une seule visite à la Salle du Royaume, l’étranger devrait avoir perdu sa qualité d’étranger ; on devrait l’accueillir avec chaleur, comme si c’était un frère. “ Accueillez-​vous donc les uns les autres, comme Christ vous a accueillis. ” — Rom. 15:7.

      20. Que signifie pratiquer l’hospitalité ?

      20 Nous observerons donc cette recommandation apostolique : “ Exercez l’hospitalité. ” La pratique de l’hospitalité implique davantage que l’intention d’être hospitalier ; il faut que l’intention devienne acte. Il faut veiller à pratiquer la bonté en tout temps et à saisir toutes les occasions pour répandre “ l’huile et le vin ” sur les plaies spirituelles de l’étranger. Mais ne croyez pas que la pratique enrichissante de l’hospitalité doit se borner aux étrangers. Car c’est par notre bonté et notre hospitalité que nous pouvons aussi donner un témoignage convaincant de notre amour fraternel : “ Pour ce qui est de l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin qu’on vous en écrive ; car vous avez vous-​mêmes appris de Dieu à vous aimer les uns les autres (...) Mais nous vous exhortons, frères, à abonder toujours plus dans cet amour. ” En pratiquant l’hospitalité envers nos frères, en pourvoyant aux besoins des saints, nous abonderons dans l’amour. — Rom. 12:13 ; I Thess. 4:9, 10.

  • Partagez avec autrui
    La Tour de Garde 1957 | 1er juin
    • Partagez avec autrui

      1. Faites la différence entre l’hospitalité chrétienne et celle de ce monde.

      L’HOSPITALITÉ chrétienne exprime l’amour ; l’hospitalité de ce monde exprime la vanité. Il y a une grande différence entre les deux. La première est stimulée par l’amour et la bonté, l’autre par la vanité et l’égoïsme. Les personnes de ce monde pratiquent l’hospitalité “ devant les hommes, pour en être vus ”. Elles s’attendent souvent à être payées de retour. “ Je partagerai mon repas avec toi à condition que tu en fasses autant avec moi ”, voilà la loi de l’hospitalité de ce monde. Mais l’hospitalité chrétienne est différente. Le chrétien partage avec son semblable non par vanité ou dans l’espoir d’être payé en retour, mais par un profond amour pour Dieu et pour l’homme. Alors que la personne de ce monde donne à quelqu’un en prenant ses biens en considération, le chrétien donne à son semblable en prenant en considération sa qualité de prochain, de frère. Le temps est proche où tout humain pratiquera l’hospitalité chrétienne et ressemblera ainsi à son Père céleste. — Mat. 6:1.

      2, 3. a) Quel sentiment se manifeste quand on reçoit la vérité ? b) Comment les brebis, à la différence des boucs, ont-​elles répondu au message des frères du Roi ?

      2 Après avoir reçu les abondants bienfaits spirituels de Jéhovah, la personne au cœur droit se sent poussée à se montrer hospitalière, à partager les choses matérielles avec d’autres — tout cela dans le dessein ultime de partager la bonne nouvelle avec autrui. Ne sont-​ce pas les brebis de la parabole de Jésus qui partagèrent avec le Roi ? Voici les paroles du Roi aux brebis : “ Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; j’étais nu, et vous m’avez vêtu ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus vers moi. ” Comment les brebis ont-​elles pu agir de la sorte envers un roi céleste ? Jésus leur déclara : “ Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites. ” — Mat. 25:35, 36, 40.

      3 Cela s’est vérifié lors de l’accomplissement de la parabole au temps de la fin. Dans l’intérêt de la prédication de la bonne nouvelle, les frères du Roi, les membres oints du reste, ont enduré les persécutions et l’adversité. Qui est venu à leur aide ? Les boucs ? Jamais ! Ils refusent de partager quoi que ce soit avec les frères du Roi, pas plus leur sympathie que leur temps. Aux frères spirituels du Roi ils n’offrent pas plus d’aide ou d’appui qu’ils ne le feraient au Roi s’il était sur la terre. Mais les brebis, reconnaissantes pour les biens spirituels reçus, ne répondent pas seulement par une aide hospitalière au reste des disciples du Christ, elles offrent davantage : la fidélité de cœur au Frère du reste, le Roi. C’est à cause de l’aide apportée aux frères du Roi que ce dernier dit aux brebis : “ Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. ” — Mat. 25:34.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager