BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Le mariage théocratique au sein d’un monde étranger
    La Tour de Garde 1957 | 15 janvier
    • parents exposent encore les jeunes gens à la fornication quand ils leur permettent de faire ensemble pendant huit ou quinze jours des randonnées à bicyclette ou du camping. À camper l’un près de l’autre, les deux excursionnistes se soumettent à des tentations et souvent y succombent. L’apôtre Paul a dit : “ Abstenez-​vous de toute espèce de mal. ” — I Thess. 5:22.

      22. Quand se manifeste la tendance à se marier hors de l’union avec le Seigneur ? Quelle responsabilité est encourue ?

      22 Il est du devoir de chacun de suivre rigoureusement le conseil divin qui dit de ne se marier qu’entre membres du peuple de Jéhovah, qu’entre personnes qui sont de fidèles disciples de son Fils Jésus-Christ. Dans les endroits où les jeunes femmes l’emportent en nombre sur les frères d’âge à se marier, les parents sont tentés de les unir à des hommes du présent siècle afin qu’elles aient un mari et qu’eux-​mêmes soient soulagés d’un fardeau. D’autre part, quand les frères en âge de se marier sont plus nombreux, il y a cette tendance passionnelle à faire fi de la loi et de la mise en garde divines et à conclure des mariages hors de l’union avec le Seigneur, hors de la société du Monde Nouveau. Quiconque fait cela ou arrange un semblable mariage doit en assumer la responsabilité devant le Dieu du mariage théocratique pur et voir les effets de sa faute dans les funestes conséquences résultant d’un joug inégal.

      23. a) Que faut-​il faire pour que le mariage soit théocratique, heureux ? b) Comment faut-​il se conduire en période de fiançailles ?

      23 Tant de choses étant liées à la solennelle union qu’est le mariage, chacun devrait sonder le passé du conjoint qu’il désire et déterminer ensuite s’il est théocratique ou propice à son bonheur de demander telle personne en mariage ou d’accepter une offre. Si quelqu’un contracte des fiançailles, il se conduira moralement afin de faire paraître devant lui une compagne pure, comme il en fut pour Jésus et son assemblée : “ (...) afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. ” — Éph. 5:27.

  • La cérémonie et les conditions du mariage
    La Tour de Garde 1957 | 15 janvier
    • La cérémonie et les conditions du mariage

      1. Quelles coutumes de mariage avaient cours chez les Israélites ?

      LES livres de la Bible écrits à l’intention des chrétiens ne leur préconisent nulle forme de cérémonie nuptiale. Ils indiquent, en revanche, qu’une période de fiançailles d’environ un an s’ouvrait pour la jeune femme vierge après que le mariage était arrangé par les parents et par l’intermédiaire. Quand arrivait le soir des noces, le fiancé se rendait au domicile de sa future femme pour l’emmener vers la nouvelle demeure. Le couple était suivi par un joyeux cortège. C’est ainsi que la noce passait dans le domaine public, devenait un acte public. L’introduction de la fiancée dans son nouveau foyer était suivie d’un banquet préparé par les parents du jeune homme. Heureux les invités à ce souper de noces ! La future épouse n’imposait à son fiancé aucune attente avant de faire son apparition. C’est elle qui l’attendait, parée de ses plus beaux atours, prête à lui être donnée par son père ou son tuteur. — Mat. 1:24 ; 22:1-11 ; 25:1-10 ; Jean 2:1-11 ; 3:29 ; Marc 2:19 ; És. 61:10 ; 62:5 ; Apoc. 19:7, 8 ; 21:2, 9-11.

      2. Quels faits relatifs au mariage ressortent du texte biblique ?

      2 Il faut garder présent à l’esprit que les premiers chrétiens étaient des Israélites, de même que Jésus. Il est naturel de penser que les chrétiens primitifs importèrent dans le système chrétien les coutumes et les arrangements matrimoniaux du système social d’Israël. Mais il importe de noter un fait : Depuis le temps d’Abraham jamais aucun prêtre, lévite ou notable religieux n’était présent pour célébrer une cérémonie nuptiale. Pourtant le mariage était valide, reconnu par Jéhovah. L’acte en était établi au bureau de l’état civil du village. Ce bureau enregistrait également les naissances. Les deux généalogies de Jésus furent sans aucun doute extraites par Matthieu et Luc des actes publics de Bethléhem. Cela soulève les questions suivantes : Qui peut célébrer les mariages chrétiens valides ? Un mariage civil a-​t-​il la même validité qu’un mariage religieux ? Ou bien le mariage est-​il un sacrement et ne produit-​il ses effets que lorsqu’il est célébré religieusement ?

      3. Que révèle la Bible sur la manière dont eut lieu le mariage d’Isaac ?

      3 Le mariage n’est pas un sacrement nécessitant la présence et les rites d’un ecclésiastique ou d’un ministre chrétien. En sa qualité de prophète, Abraham était le prêtre divinement reconnu de sa nombreuse maison, mais il n’est rapporté nulle part que le patriarche était présent quand son plus ancien serviteur, de retour de Mésopotamie, amena Rebecca vers Isaac habitant le Negeb de Palestine. Isaac se promenait seul, absorbé dans ses méditations, lorsque le serviteur lui présenta Rebecca et relata comment il la lui avait acquise. Ensuite, dit la Bible, “ Isaac conduisit Rebecca dans la tente de Sara, sa mère ; il prit Rebecca, qui devint sa femme ”. Mais lorsque Isaac la prit pour femme, il y eut des témoins publics, à savoir l’agent matrimonial d’Abraham, “ ses gens ”, la “ nourrice ” de Rebecca et les autres servantes (Gen. 24:2, 54, 59-61, 66, 67). Isaac ne s’était pas fait accorder une dispense de publication ; pas plus que cela n’est nécessaire en certains pays, qui n’exigent aucune publication. Le père d’Isaac, Abraham, le chef de l’organisation théocratique, avait donné son autorisation, et Jéhovah, ayant été consulté, avait dirigé toutes les démarches devant aboutir à cette union. Aucune dispense de publication n’était donc nécessaire. Il n’en reste pas moins que lorsque Isaac prit Rebecca pour femme, il y eut plus de quatre témoins. Cet acte fut porté sur les états de la maison théocratique d’Abraham et il est évidemment consigné dans la Bible. Il n’y eut aucune cérémonie religieuse bien que la volonté divine fût consultée et recherchée tout au long de cette affaire.

      4. a) Que ne prescrivit pas la Loi à propos des mariages ? b) Quelle sorte d’affaire était le mariage ? Comment prenait-​il effet ?

      4 Il n’est pas fait la moindre mention d’une cérémonie religieuse lorsque le fils d’Isaac, Jacob, épousa Léa et Rachel (Gen. 29:18-30). Dans les centaines de lois que Jéhovah fit promulguer à Israël, aucune ne prescrivit une cérémonie nuptiale. Le privilège et le devoir de célébrer les mariages ne furent conférés ni à la famille sacerdotale d’Aaron ni aux auxiliaires lévites du temple. Des fiançailles à l’union des fiancés dans la demeure du père du futur époux, le mariage restait une affaire privée, un arrangement de familles sans participation des prêtres ou des lévites (en dehors de la

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager