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  • Aidons les personnes âgées à connaître et à servir Jéhovah
    La Tour de Garde 1970 | 15 septembre
    • “En chemin, j’ai saisi l’occasion pour lui parler de la Bible. Sensible à ma bonté, elle a accepté que je lui rende visite pour continuer la discussion.

      “Quand je suis allée la voir, nous avons commencé à étudier la Bible ensemble, cette femme a fait de rapides progrès. Aujourd’hui, elle assiste à la plupart des réunions à la Salle du Royaume et participe à l’étude de La Tour de Garde. Elle a quatre-vingt-sept ans, et c’est un véritable plaisir de l’aider à connaître Jéhovah.”

      Au Pérou, une missionnaire a aidé une femme de quatre-vingt-neuf ans, clouée au lit, à étudier la Bible. À un moment donné, cette personne en est venue à s’attacher à la vérité et à l’organisation de Dieu. Elle savait que la prédication est une des exigences divines auxquelles elle devait satisfaire pour être agréable à son Créateur. Toutefois, elle ne savait pas comment s’en acquitter : ses visiteurs étaient peu nombreux ; elle n’avait pas le téléphone et elle n’écrivait pas d’une main très ferme. L’horizon était sombre pour elle. La missionnaire l’a encouragée à prier Jéhovah et à lui demander sans cesse de lui frayer la voie, afin qu’elle puisse faire quelque chose et être ainsi un véritable témoin.

      La voie n’a pas tardé à lui être frayée. Sa famille, qui avait chargé une femme de ménage de s’occuper d’elle, a décidé sans raison apparente de prendre quelqu’un d’autre. Or, cette nouvelle personne, voyant la Bible et les manuels bibliques qui se trouvaient au chevet de la malade, a commencé à lui poser des questions.

      Comme cette femme exultait quand la missionnaire est venue pour l’étude ! Voilà que, dans sa propre chambre, elle rencontrait une personne au cœur humble ! Comment pourrait-​elle l’aider ? Pour qu’elle puisse s’occuper de la femme qui s’intéressait à la vérité, la missionnaire lui a tapé à la machine, en lettres majuscules, certaines questions qu’elle devait lire à sa femme de ménage. Au cours de l’étude, il était rare que la missionnaire eût besoin de faire d’autres observations. Cette femme âgée, qui venait d’apprendre à chanter les louanges de Jéhovah, était bientôt en mesure de s’occuper, seule, de cette personne intéressée à la vérité. Aujourd’hui, bien que clouée au lit, elle participe avec joie à l’œuvre consistant à rendre témoignage.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1970 | 15 septembre
    • Questions de lecteurs

      ● À quoi servait la “fiente de pigeon” dont il est question dans II Rois 6:25 ?

      Ce texte biblique décrit les conditions qui existaient dans la ville de Samarie assiégée par les Syriens à l’époque d’Élisée. Nous y lisons : “Il y eut une grande famine dans Samarie ; et ils la serrèrent tellement qu’une tête d’âne valait quatre-vingts sicles d’argent, et le quart d’un kab de fiente de pigeon cinq sicles d’argent.” — II Rois 6:25.

      Par conséquent, un tiers de litre de fiente de pigeon valait environ 13 francs français. Mais la question de savoir comment l’acheteur utilisait cette fiente a été largement discutée.

      Certains ont cru qu’il pouvait s’agir d’une plante ; ils se basent sur le fait que les Arabes emploient l’expression “fiente de moineau” pour désigner une plante que mangent les personnes ayant des ressources modestes et que, d’autre part, dans la région de Samarie, il pousse une plante dont le nom latin signifie “lait d’oiseau”. Toutefois, rien ne prouve que l’une ou l’autre de ces plantes ait jamais eu pour nom “fiente de pigeon” ou que les habitants de Samarie assiégée en aient eu à leur disposition.

      Si l’on prend cette expression au sens littéral, à quoi servait la fiente de pigeon ? On a émis l’idée que cette matière a été longtemps utilisée comme engrais en Orient. Mais il n’est guère probable que des gens, sur le point de mourir de faim, se soient préoccupés de fertiliser des récoltes dont ils ne pourraient profiter avant des mois.

      Il est possible que la fiente de pigeon servait de nourriture. Un jour, pour effrayer les habitants de Jérusalem, Rabschaké les avertit qu’ils se verraient contraints pendant le siège assyrien de “manger leurs excréments et (...) boire leur urine”. (II Rois 18:27.) L’idée de manger de la fiente nous inspire de la répugnance, et pourtant il est rapporté que la

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