-
Y a-t-il des créatures intelligentes dans l’espace ?La Tour de Garde 1970 | 15 novembre
-
-
contre les autorités, contre les chefs mondiaux de ces ténèbres, contre les forces spirituelles mauvaises qui sont dans les lieux célestes”. — Éph. 6:11, 12.
Au cours de son ministère terrestre, Jésus affronta souvent ces forces mauvaises invisibles. En certaines occasions, elles ont pris possession de l’esprit et du corps de victimes imprudentes, et Jésus, rempli de pitié, a délivré ces personnes de leur influence (Mat. 8:16, 28-34). Après sa mort et sa résurrection, Jésus envoya sur la terre un messager angélique qui fit connaître par quelle action guerrière Satan le Diable serait “jeté sur la terre, et ses anges (...) avec lui”. Ces créatures méchantes de l’espace invisible sont maintenant confinées au voisinage de la terre, et elles sont ‘en grande colère, sachant qu’elles ont un court espace de temps’ avant d’être précipitées dans l’abîme. — Rév. 1:1 ; 12:9-12 ; 20:1-3.
Pour nous protéger contre leur influence, nous avons besoin de l’aide de Dieu et de ses anges fidèles. Heureusement, cette aide nous a été promise par Dieu, et il nous donne l’assurance réconfortante qu’il “ordonnera à ses anges de te garder dans toutes tes voies”. “L’ange de Jéhovah campe autour de ceux qui le craignent, et il les sauve du danger.” (Ps. 91:11 ; 34:8, AC 34:7, NW ; Héb. 1:7, 14). La délivrance des créatures fidèles signifiera finalement leur entrée dans un système de choses nouveau et magnifique qui sera bientôt introduit ici-bas sur la terre. Ainsi donc, dans un avenir très proche, conformément à la déclaration du messager angélique de Jésus, “la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur. Les choses anciennes ont disparu”. — Rév. 21:3, 4.
Il ne s’agit pas là d’une fiction. C’est un message divin, transmis par le truchement d’une puissante créature spirituelle venue du domaine invisible ou espace. Il exprime une sagesse de beaucoup supérieure à celle de l’homme, car il vient du Dieu tout-puissant lui-même. Et qui plus est, vous pouvez le lire dans votre propre exemplaire de la sainte Bible. Quelle joie merveilleuse de voir que ces communications venant de puissantes créatures intelligentes habitant l’espace ont été préservées à notre intention sous forme écrite ! Nous ferons bien d’étudier ces messages avec soin et d’en tenir compte.
-
-
Les joies que procure la persévérance dans toute bonne œuvreLa Tour de Garde 1970 | 15 novembre
-
-
Les joies que procure la persévérance dans toute bonne œuvre
Raconté par Charles J. Fekel
J’AVAIS trouvé la chose qui allait se révéler de la plus haute importance pour ma vie et mon bonheur. Et qui plus est, j’étais encore jeune alors. Je n’ai pas eu à passer des dizaines d’années, dans la peine et l’erreur, à la poursuite de ce trésor pour découvrir finalement que la plus grande partie de ma vie avait été dépensée inutilement. J’avais des forces et une jeunesse à utiliser dans une œuvre qui en valait la peine. Ce trésor précieux, c’était une compréhension exacte des desseins de Dieu me fournissant la réponse claire à des questions comme celles-ci : Pourquoi sommes-nous ici sur la terre ? La situation actuelle est-elle conforme à la volonté de Dieu ? L’homme peut-il espérer en un avenir heureux ?
Mes années d’enfance en Autriche-Hongrie ne m’ouvraient pas des perspectives radieuses. Ma mère m’emmenait à l’église catholique. Puis, lorsque nous avons habité chez des parents luthériens, elle m’a laissé fréquenter l’école du dimanche luthérienne. Plus tard, lorsque nous sommes devenus propriétaires de notre appartement, ce fut pour moi le retour à l’église catholique. En 1905, à la mort de mon père, nous sommes allés nous établir aux États-Unis, où nous avons vécu quelque temps chez des parents luthériens. La vie dans ce pays était très différente de celle que nous menions en Europe.
Puis, un jour, notre famille s’est retrouvée seule, chez elle, et ma mère m’a encouragé à retourner à la messe. Toutefois, je continuais de fréquenter l’école publique, l’enseignement à l’école catholique étant au-dessus de nos moyens. Plus tard, j’ai commencé à étudier le catéchisme catholique, une fois par semaine, au presbytère, pour me préparer à la confirmation. Mais je n’ai jamais reçu ce sacrement. De nombreuses raisons se sont liguées pour m’empêcher de faire ce pas.
-