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Que signifie pour vous le nom de Dieu ?La Tour de Garde 1973 | 1er août
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raisons de ‘parler en mal du nom de Dieu’ ? Par exemple, arrivez-vous fréquemment en retard à votre travail ? Accordez-vous l’“honneur” à votre patron, même quand il est absent ? Agissez-vous ainsi même s’il est exigeant ? Si votre patron est “croyant”, c’est-à-dire s’il est un de vos frères chrétiens, abusez-vous de sa bienveillance ? Si, pour vous, le nom de Jéhovah est réellement saint, vos relations dans le travail le démontreront.
Aimons le nom de Dieu en servant notre prochain
Nous montrons également si nous aimons le nom de Dieu par la façon dont nous agissons envers nos compagnons chrétiens. Remarquez ce qui est écrit dans Hébreux 6:10: “Car Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré pour son nom, en ce que vous avez servi les saints.”
Quand Paul écrivit cela, les “œuvres excellentes” incluaient sans aucun doute l’aide matérielle apportée aux autres chrétiens dans le besoin ou persécutés (Héb. 10:32-34). Pratiquez-vous l’hospitalité chrétienne ?
De ce que nous venons de considérer, il ressort de façon évidente que la question : “Que signifie pour vous le nom de Dieu ?” implique beaucoup plus que le simple fait de savoir prononcer le nom personnel de Jéhovah. Ce nom représente Dieu lui-même. C’est pourquoi ses qualités admirables doivent se refléter dans toutes nos actions chrétiennes.
Êtes-vous de ceux qui ne connaissent pas encore Jéhovah ? Ses témoins seront heureux de vous le faire connaître. Vous pouvez entrer en relation avec eux en écrivant aux éditeurs de ce périodique. Apprenez comment votre vie peut réellement honorer le “nom de Dieu”.
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Le rôle capital de Jésus-Christ dans les desseins de DieuLa Tour de Garde 1973 | 1er août
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Le rôle capital de Jésus-Christ dans les desseins de Dieu
AU PREMIER siècle de notre ère, l’apôtre Paul écrivit sous inspiration aux chrétiens de Corinthe : “Quel que soit le nombre des promesses de Dieu, elles sont devenues Oui par son moyen [celui de Jésus-Christ]. C’est pourquoi aussi c’est par lui que l’Amen est dit à Dieu.” — II Cor. 1:20.
En quel sens toutes les promesses de Dieu deviennent-elles “Oui” par Jésus-Christ, et comment est-ce “par lui que l’Amen est dit à Dieu” ? La réponse à cette question nous aide à comprendre le rôle capital que joue Jésus-Christ dans l’exercice de la souveraineté de Dieu.
Jéhovah Dieu jugea approprié de faire de son Fils premier-né le personnage central ou principal de la réalisation de tous ses desseins. Toutes les promesses divines rapportées dans les saintes Écritures deviennent “Oui” par Jésus-Christ en ce sens que c’est par son moyen, — par ce qu’il était en tant qu’individu et par ce qu’il a fait, — que toutes ces promesses s’accompliront. Dans Romains 15:8, il est dit que pour la nation d’Israël, “Christ devint en fait ministre (...) en faveur de la véracité de Dieu, afin de vérifier les promesses qu’Il [Dieu] a faites à leurs pères”. Par son Fils, Dieu a écarté toute raison de douter, toute incertitude ou équivoque dans l’esprit de ceux qui le servent et qui espèrent en ses promesses.
L’“Amen” dit à Dieu
Cela n’est pas seulement vrai pour les promesses et les prophéties que Jésus a réalisées durant sa vie humaine. Il a également donné l’assurance que Dieu accomplira ses promesses de bénédictions futures. Pourquoi Jésus a-t-il été en mesure de jouer un rôle aussi capital ? Pourquoi ce qu’il a fait durant sa vie sur la terre a-t-il une si grande importance ? C’est parce que cela a fourni la base légale permettant à Jéhovah Dieu de réaliser ces promesses et d’accorder les bénédictions promises. Étant un Dieu de sainteté et de justice, Jéhovah a fait en sorte que son Fils fournisse cette base légale en sacrifiant sa vie humaine comme rançon pour les hommes pécheurs. C’était l’élément indispensable permettant à Dieu d’entretenir des relations avec des humains imparfaits et d’effacer leurs péchés sur une base juste (voir Romains 3:23-26). Cela signifie que le rétablissement d’un ordre nouveau et juste sur la terre, la résurrection des morts, la disparition du péché et de l’imperfection ainsi que l’introduction de la perfection humaine, de la santé et de la vie éternelle sont autant de choses possibles grâce à ce que Jésus a fait quand il était sur la terre. C’est aussi à cause de cela que “par lui [Jésus-Christ] (...) l’Amen est dit à Dieu”. Le mot “amen” signifie “certainement”, “vraiment”, “vérité”. Celui qui utilise ce terme affirme donc la certitude de ce qui a été dit (ou de ce qui va être dit) et indique par là qu’il appuie et soutient de tout cœur la véracité de ces paroles. Jésus-Christ lui-même est appelé “l’Amen, le témoin fidèle et véritable”. (Rév. 3:14.) C’est par lui que Dieu nous a donné la confirmation et la garantie que toutes ses promesses sont vraies et seront réalisées. Grâce à la personne même de Jésus et à son œuvre, le mot “amen” que nous prononçons à la fin de nos prières, faites au nom de Jésus, a une réelle force — I Cor. 14:16 ; Jean 14:13, 14.
Il est bien que nous nous posions ces questions : Qu’en serait-il si le Fils de Dieu n’était pas venu sur la terre pour naître comme un humain parfait, s’il n’avait pas servi de “témoin fidèle et véritable” à propos des desseins de Dieu et s’il n’avait pas gardé son intégrité envers Dieu malgré les attaques de Satan, pour connaître une mort sacrificielle sur le poteau de torture ? Sans lui, de quelle valeur serait notre “amen” à la fin de nos prières ? S’il n’y avait pas le sacrifice rédempteur de Jésus-Christ grâce auquel nos péchés peuvent être pardonnés, avec quelle confiance pourrions-nous entretenir des relations avec Dieu, nous tenir debout devant lui ou nous approcher de lui ? Pourrions-nous espérer vivre éternellement dans un ordre nouveau et juste si Dieu n’avait pas “offert une garantie à tous les hommes en ce qu’il l’a ressuscité [Jésus-Christ] d’entre les morts” ? — Actes 17:31.
Toute la plénitude habite en lui
Dieu a fait un choix idéal en la personne de son Fils premier-né. Quand la vie de ce Fils fut transférée sur la terre, afin qu’il pût être conçu et élevé comme un humain parfait, il avait déjà derrière lui, sur des millions d’années, une activité sans égale au service de Dieu. En effet, il était avec son Père depuis le commencement de la création, car il est lui-même le “premier-né de toute création”. (Col. 1:15 ; Jean 1:1, 2.) Par son intermédiaire, Dieu fit toutes les autres créations : les créatures angéliques, les cieux étoilés, le soleil, la lune, la terre, les mers, les continents, les arbres, les plantes, les fleurs, les créatures marines, les oiseaux, les animaux terrestres et l’homme. Paul écrivit : “Il est avant toutes les autres choses et par son moyen toutes les autres choses ont été amenées à l’existence (...). Il est le commencement,
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