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  • “N’ayant rien et pourtant possédant tout”
    La Tour de Garde 1976 | 1er janvier
    • ceux qui l’aiment et qui font sa volonté y compris aux “autres brebis”.

      27. a) Étant donné l’époque où nous vivons, quel point de vue devons-​nous garder concernant les richesses ? b) Quel privilège et quelle joie avons-​nous ?

      27 Puissions-​nous tous garder une bonne vue spirituelle en ne perdant pas le bon point de vue sur l’argent, en nous souvenant que toutes les richesses du présent système de choses sont destinées à passer et à perdre toute valeur (Ézéch. 7:19 ; Luc 16:9) ! Bientôt, quand toutes les nations de la terre disparaîtront lors de la “grande tribulation”, les richesses du présent monde perdront toute valeur, aussi bien pour ceux qui périront que pour ceux qui survivront. Suivons donc le conseil de Jésus et utilisons nos biens pour glorifier Dieu (Jean 15:8). Montrons, non seulement par nos paroles, mais aussi par nos actions, que nous accordons la première place aux richesses spirituelles en profitant pleinement des nombreuses dispositions qu’a prises Jéhovah. Faisons connaître la bonne nouvelle du Royaume à nos semblables, aidons-​les à acquérir des richesses spirituelles, maintenons toujours les choses matérielles à leur place et faisons-​nous une belle réputation aux yeux de notre Père qui est au ciel. Ayons la joie et le privilège d’être “comme pauvres mais faisant bien des riches, comme n’ayant rien et pourtant possédant tout”. — II Cor. 6:10.

  • Questions des lecteurs
    La Tour de Garde 1976 | 1er janvier
    • Questions des lecteurs

      ● Si un non-croyant se sépare de son conjoint croyant, celui-ci peut-​il considérer cette séparation comme un motif biblique de divorce en invoquant I Corinthiens 7:15 où Paul dit : “Dans ces conditions le frère ou la sœur ne sont pas asservis, mais Dieu vous a appelés à la paix.”

      Non. L’apôtre ne parle pas du divorce, mais rassure simplement les chrétiens en leur disant qu’un frère, ou une sœur, ne doit pas penser qu’il est désapprouvé par Dieu si son conjoint non croyant le quitte volontairement malgré tous ses efforts consciencieux pour vivre avec lui dans la paix.

      Juste avant Paul encourageait le conjoint croyant à ne pas quitter le non-croyant si celui-ci ‘consent à habiter avec lui’. Pourquoi ? “Car le mari non croyant est sanctifié quant à sa femme, et la femme non croyante est sanctifiée quant au frère ; autrement vos enfants seraient vraiment impurs, mais maintenant ils sont saints.” — I Cor. 7:12-14.

      Eu égard à cela, on peut naturellement se demander quelle sera alors la situation du conjoint croyant si, malgré ses efforts, le non-croyant se sépare. Le conjoint croyant aura-​t-​il le sentiment d’être désapprouvé par Dieu ou que ses enfants sont impurs à cause de cette séparation forcée qu’il ne peut empêcher ?

      Non, car l’apôtre dit : “Si le non-croyant se sépare, qu’il se sépare ; dans ces conditions le frère ou la sœur ne sont pas asservis, mais Dieu vous a appelés à la paix.” Ayant fait tout ce qu’il était possible et raisonnable de faire pour éviter la séparation, le conjoint croyant ne doit pas penser qu’il a la responsabilité d’aller rechercher son conjoint non croyant pour tenter de lui être ‘asservi’. Si le non-croyant était resté et avait manifesté le désir de vivre en paix avec son conjoint croyant, ce dernier aurait été ‘asservi’, c’est-à-dire dans l’obligation d’assumer ses responsabilités conjugales. Mais l’apôtre reconnaît que la séparation forcée rend impossible pareille attitude de la part du croyant.

      Le chrétien dispose désormais d’une certaine paix pour servir Jéhovah, bien que de la séparation résultent généralement certains changements sur les plans physique et affectif. D’autre part, en cherchant à imposer une réconciliation, on risque de rendre les relations encore plus tendues. Il est possible qu’avec le temps le non-croyant désire revenir au foyer. Cela serait souhaitable, le but étant de vivre ensemble dans la paix avec l’espoir que le non-croyant deviendra croyant. Cette attitude est conforme aux instructions générales que Paul donne aux 1Co 7 versets 10 et 11, à savoir que dans le cas d’une séparation le conjoint croyant n’a pas le droit de ‘se remarier’, mais il peut ‘se réconcilier’ avec son conjoint.

      Cependant, cela n’empêchera pas la femme chrétienne, qui le juge nécessaire et judicieux, de faire les démarches prévues par la loi pour que son mari subvienne à ses besoins et à ceux des enfants. Les Écritures, et bien souvent la loi du pays, confient au mari et père la responsabilité de pourvoir aux besoins de sa famille.

      Jésus n’a pas dit qu’un croyant pouvait se remarier si son conjoint non croyant le quittait et obtenait un divorce légal. L’apôtre Paul ne va pas au delà de ce qu’a dit Jésus et il ne donne pas ici ce que les autorités catholiques appellent le “privilège paulinien”. Paul argumente

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