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  • Évolution
  • « Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
  • Intertitres
  • Nie la vérité fondamentale attestée par tout l’univers : l’existence de Dieu
  • La vie est issue de Jéhovah, existait en lui avant la matière inanimée
  • La première œuvre de Dieu possédait la vie, n’est pas sortie de la matière brute par voie d’évolution
  • La matière inanimée et les organismes vivants furent produits par Jéhovah au moyen de son Fils
  • Une espèce créée ne se transformait pas en une autre par voie d’évolution ; chacune se reproduisait ‘selon son espèce’, à sa ressemblance
  • Un couple humain seulement fut créé
  • Chaque organe du corps fut conçu, créé directement dans le premier homme
  • Les variétés sont en majeure partie le fait des propriétés que recèle la constitution génétique de l’espèce créée
  • Chaque organisme vivant a été créé pour s’adapter à l’élément dans lequel il vit ; n’a pas évolué pour s’adapter
  • Les choses nécessaires à la subsistance de tous sont l’œuvre du Créateur suprême
  • L’homme a dégénéré, au lieu d’évoluer vers un stade supérieur
  • Pour avoir abandonné Jéhovah, l’homme connaît la dégénérescence physique et mentale
  • Les descendants ont hérité le péché d’Adam, leur père
  • Documents archéologiques
  • Le témoignage des fossiles
  • Procédés de datation
  • Les mutations
  • Pourquoi on croit à l’évolution
« Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
ms p. 202-209

L’évolution

Nie la vérité fondamentale attestée par tout l’univers : l’existence de Dieu

Ps. 19:2 19:1, NW “Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains.”

Rom. 1:20 “Ses qualités invisibles se voient clairement depuis la création du monde, parce qu’on les perçoit par les choses qui ont été faites, oui sa puissance éternelle et sa Divinité, de sorte qu’ils sont inexcusables.”

Ps. 10:4 (NW) “Le méchant dans son arrogance ne cherche pas ; toutes ses idées sont : Il n’y a pas de Dieu.”

És. 29:16 “Quelle perversité est la vôtre ! Le potier doit-​il être considéré comme de l’argile, pour que l’ouvrage dise de l’ouvrier : Il ne m’a point fait ?”

La vie est issue de Jéhovah, existait en lui avant la matière inanimée

Ps. 36:10 36:9, NW “Auprès de toi est la source de la vie.”

Ps. 90:2 “Avant que les montagnes fussent nées, et que tu eusses créé la terre et le monde, d’éternité en éternité tu es Dieu.”

I Tim. 1:17 “Or au Roi d’éternité, incorruptible, invisible, le seul Dieu, soient honneur et gloire aux siècles des siècles.”

Jér. 10:10 “L’Éternel est Dieu en vérité, il est un Dieu vivant et un roi éternel.”

La première œuvre de Dieu possédait la vie, n’est pas sortie de la matière brute par voie d’évolution

Rév. 3:14 “Ce sont ici les choses que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu.”

Prov. 8:22, 23, 30 (Jé) “Yahvé m’a créée au début de ses desseins, avant ses œuvres les plus anciennes. Dès l’éternité je fus fondée, dès le commencement, avant l’origine de la terre. (...) j’étais à ses côtés comme le maître d’œuvre.”

La matière inanimée et les organismes vivants furent produits par Jéhovah au moyen de son Fils

Gen. 1:1 “Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.”

Ps. 100:3 (Da) “Sachez que l’Éternel est Dieu. C’est lui qui nous a faits, et ce n’est pas nous.”

Rév. 4:11 “Tu es digne, Jéhovah, oui notre Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance, parce que tu as créé toutes choses, et à cause de ta volonté elles ont existé et ont été créées.”

Jér. 27:4, 5 “Ainsi parle l’Éternel des armées, le Dieu d’Israël : Voici ce que vous direz à vos maîtres : C’est moi qui ai fait la terre, les hommes et les animaux qui sont sur la terre, par ma grande puissance et par mon bras étendu.”

Jean 1:1-3, 10 “Au commencement la Parole était, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était dieu. Celui-ci était au commencement avec Dieu. Toutes choses vinrent à l’existence par lui, et en dehors de lui pas même une seule chose ne vint à l’existence. (...) Il était dans le monde, et le monde vint à l’existence par lui.”

Col. 1:13, 15, 16 “[Le] Fils (...) est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute création ; car par son moyen toutes les autres choses furent créées dans les cieux et sur la terre, les choses visibles et les choses invisibles, que ce soient des trônes, ou des seigneuries, ou des gouvernements, ou des autorités. Toutes les autres choses ont été créées par lui et pour lui.”

Une espèce créée ne se transformait pas en une autre par voie d’évolution ; chacune se reproduisait ‘selon son espèce’, à sa ressemblance

Gen. 1:11, 12, 21, 24, 25 “Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. Dieu vit que cela était bon. Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.”

Gen. 5:3 “Adam, âgé de cent trente ans, engendra un fils à sa ressemblance, selon son image.”

I Cor. 15:39 “Toute chair n’est pas la même chair, mais il y a celle des hommes, et il y a une autre chair : de bovins, et une autre chair : d’oiseaux, et une autre : de poissons.”

Un couple humain seulement fut créé

Gen. 1:27 (Da) “Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle.”

Gen. 3:20 “Adam donna à sa femme le nom d’Ève : car elle a été la mère de tous les vivants.”

Actes 17:26 “Il a fait d’un seul homme chaque nation d’hommes, pour demeurer sur toute la surface de la terre, et il a décrété les époques fixées et les limites assignées de la demeure des hommes.”

Chaque organe du corps fut conçu, créé directement dans le premier homme

Job 10:8, 9 (Da) “Tes mains m’ont formé et m’ont façonné tout à l’entour en un tout (...). Souviens-​toi, je te prie, que tu m’as façonné comme de l’argile.”

Ps. 139:14-16 (Da) “Je te célébrerai de ce que j’ai été fait d’une étrange et admirable manière. (...) Mes os ne t’ont point été cachés (...). Tes yeux ont vu ma substance informe, et dans ton livre mes membres étaient tous écrits.”

Prov. 20:12 “L’oreille qui entend, et l’œil qui voit, c’est l’Éternel qui les a faits l’un et l’autre.”

Les variétés sont en majeure partie le fait des propriétés que recèle la constitution génétique de l’espèce créée

“Quelle est la cause des différences entre individus ? Voilà un problème de biologie d’un ordre très général. De même, en effet, qu’il ne se rencontre pas deux personnes absolument identiques, il n’existe probablement pas deux individus identiques dans aucune espèce biologique. On attribue en partie cette variation à l’influence du milieu et l’on sait qu’en partie elle est héréditaire. (...) Toute personne vient au monde avec un certain patrimoine génétique hérité au stade de l’union de l’œuf et du spermatozoïde dont elle est issue. Ce patrimoine permet à l’individu de survivre dans un milieu donné. Qu’est-​ce qui détermine, dès lors, l’orientation que prendra son développement ? Le patrimoine génétique, le génotype de l’individu, conjugue son action avec celle des milieux particuliers — intra-utérin, individuel, familial, groupe, classe, région et nation — au sein desquels la personne vit sa vie propre. Ces actions conjuguées déterminent les caractéristiques auxquelles se reconnaît la personne.” — Radiation, Genes and Man par le prof. Bruce Wallace et le prof. Th. Dobzhansky, Henry Holt et Cie (New York ; 1959), p. 15, 17.

“Comme on l’a souligné d’abord, les différences héréditaires individuelles sont une affaire de différences de gènes. (...) La variabilité au sein de presque tous les groupes humains étant très grande, les comparaisons de l’amateur n’ont aucune signification, sauf pour quelques caractères manifestes. Celui-ci, par exemple, hasardera la généralisation suivante : ‘Les Irlandais ont les cheveux roux et les Fidjiens, les cheveux noirs’, alors que des dénombrements précis révéleront l’existence de quantité d’Irlandais aux cheveux noirs et de Fidjiens aux cheveux roux.” — Heredity and Human Life par le prof. Hampton L. Carson, Columbia University Press (New York ; 1963), p. 158.

Chaque organisme vivant a été créé pour s’adapter à l’élément dans lequel il vit ; n’a pas évolué pour s’adapter

Gen. 1:20, 24 “Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l’étendue du ciel. Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi.”

Voir aussi “La création”, pages 138-141.

Les choses nécessaires à la subsistance de tous sont l’œuvre du Créateur suprême

Ps. 145:15 “Les yeux de tous espèrent en toi, et tu leur donnes la nourriture en son temps.”

Gen. 2:9 “L’Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger.”

Job 39:1, 3 38:39, 41, NW “Chasses-​tu la proie pour la lionne, et apaises-​tu la faim des lionceaux (...) ? Qui prépare au corbeau sa pâture ?”

Mat. 6:26 “Regardez attentivement les oiseaux du ciel, car ils ne sèment pas de semence, ni ne moissonnent, ni ne recueillent dans des magasins ; cependant votre Père céleste les nourrit.”

L’homme a dégénéré, au lieu d’évoluer vers un stade supérieur

Gen. 5:5 ; Ps. 90:10 “Tous les jours qu’Adam vécut furent de neuf cent trente ans ; puis il mourut.” “Les jours de nos années s’élèvent à soixante et dix ans, et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans ; et l’orgueil qu’ils en tirent n’est que peine et misère.”

Eccl. 7:29 “Seulement, voici ce que j’ai trouvé, c’est que Dieu a fait les hommes droits ; mais ils ont cherché beaucoup de détours.”

Deut. 32:4, 5 (Li) “Le Rocher, son œuvre est parfaite (...). Ils ont agi d’une manière indigne envers lui ceux qui ne sont pas ses fils, mais une race fausse et perverse.”

Pour avoir abandonné Jéhovah, l’homme connaît la dégénérescence physique et mentale

Jér. 8:9 “Voici, ils ont méprisé la parole de l’Éternel, et quelle sagesse ont-​ils ?”

Jacq. 1:14, 15 “Chacun est éprouvé en étant attiré et séduit par son propre désir. Puis, quand le désir est devenu fécond, il donne naissance au péché ; de son côté, le péché, quand il a été accompli, engendre la mort.”

Les descendants ont hérité le péché d’Adam, leur père

Rom. 5:12 “Par un seul homme le péché est entré dans le monde et la mort par le péché, et (...) ainsi la mort s’est étendue à tous les hommes, parce qu’ils ont tous péché.”

Job 14:4 “Comment d’un être souillé sortira-​t-​il un homme pur ? Il n’en peut sortir aucun.”

Voir aussi Ps. 51:5 51:3, NW; Lament. 5:7.

Documents archéologiques

“Un des plus célèbres faux dévoilés par les méthodes scientifiques fut l’homme de Piltdown, découvert dans le Sussex, en Angleterre, entre 1908 et 1915 et que certains estimaient vieux d’un demi-million d’années. Après bien des controverses, il se révéla que ce n’était pas du tout un homme primitif mais un composé de crâne d’homme actuel et de mâchoire de singe. La mystification fut découverte grâce à des tests microchimiques, à l’emploi du spectroscope à rayons X et à l’analyse cristallographique (...). La mâchoire avait été ‘maquillée’ au bichromate de potassium et au sel de fer pour lui donner l’air plus fossilisée.” — Science News Letter (tome LXXIX, no 8), 25 février 1961, p. 119.

“Pendant des décennies, on a admis l’existence d’une série évolutive allant de l’homme de Heidelberg et l’homme de Pékin, via les Néanderthaliens, à l’Homo sapiens (...). De nouvelles fouilles, des trouvailles de grande portée et, surtout, des recherches scientifiques plus sérieuses ont concouru à détruire irrémédiablement la vieille illusion d’une progression évolutive de l’homme-singe à l’intelligence créatrice. (...) les premiers hommes (...) n’étaient ni des bêtes brutes, ni des demi-singes, ni des créatures simiesques au psychisme rudimentaire. C’est pourquoi les reconstitutions qui prétendent représenter l’homme de Néanderthal ou l’homme de Pékin, sont grotesques. Les musées des grandes villes exhibent des têtes d’individus hirsutes, à la peau couleur de terre, à la barbe d’une longueur démesurée, au front fuyant et atteints de prognathisme. En fait on ne sait rien de la couleur de peau, des traits ni de la pilosité de l’homme du Pléistocène ; l’Américain T. D. Stewart avoue qu’il est impossible de reconstituer quoi que ce soit dans de telles conditions. ‘Il est néanmoins probable que la physionomie de l’homme archaïque n’était pas moins aimable que celle de l’homme moderne.’ Quand un musée présente, côte à côte, des modèles de l’homme de Pékin, de l’homme de Néanderthal et de l’actuel Homo sapiens, il renforce une conception du développement physique et intellectuel qui est en désaccord avec les vues de la science contemporaine. (...) En fait, l’Homo sapiens a traversé sans discontinuité les millénaires, depuis le commencement. Il y a eu de nombreuses variétés du type sapiens et les formes de vie qui étaient distinctes du type sapiens n’ont jamais abouti à lui et se sont quelquefois engagées dans les impasses de l’extinction.” — Man, God and Magic (New York ; 1961) par Ivar Lissner, p. 303-305.

“Aucun étudiant réfléchi ne croit que l’homme dérive de l’un des singes actuels ou de l’un de leurs ancêtres phylogénétiques immédiats. (...) Comme fait positif, nous avons l’augmentation assez rapide, au cours des trente dernières années, du nombre, relativement faible, des fragments d’os fossiles d’origine hominienne ayant fait l’objet d’une description. Mais il nous faut admettre que l’estimation de la plupart de ces restes s’est accompagnée de nombreuses controverses. Ici, la difficulté principale réside dans le fait que, dans la majorité des cas, les descriptions des spécimens fournis par ceux qui les ont découverts, sont arrangées de manière à laisser entendre que les fossiles en question occupent une place spéciale ou revêtent une importance particulière dans la généalogie des ancêtres directs de l’homme, par opposition à celle des singes. Si minces sont les chances que tous puissent jouir de cet honneur que, dans ces conditions, il ne serait pas surprenant de voir un observateur du dehors s’imaginer qu’en présence d’un fragment de squelette artificiellement fossilisé de l’un quelconque des grands singes vivants, un anatomiste entreprenant aurait peu de peine à démontrer qu’il existe des rapports plus étroits entre ce fragment et l’histoire de l’évolution de l’Homme qu’entre le même fragment et l’histoire du squelette dont il provient. (...) Dans le cas de l’évolution des primates, les conclusions sont quelquefois à peine fondées, du fait de l’insuffisance des documents. Ce dut être le cas, par exemple, lorsqu’une dent fossile, que l’on admet à présent être la propriété d’un pécari, fut attribuée à un genre particulier de primates appelé Hespéropithèque, lequel était censé offrir plus de ressemblance avec le type humain qu’aucun autre singe connu.” — Evolution as a Process, édité par Julian Huxley, George Allen & Unwin Ltd. (Londres ; 1958), article de S. Zuckerman, p. 300-302.

Le témoignage des fossiles

“Les considérations qui précèdent prouvent à n’en pouvoir douter l’extrême imperfection des documents que, dans son ensemble, la géologie peut nous fournir ; mais, si nous concentrons notre examen sur une formation quelconque, il devient beaucoup plus difficile de comprendre pourquoi nous n’y trouvons pas une série étroitement graduée des variétés qui ont dû relier les espèces voisines. (...) Il est une autre difficulté analogue, mais beaucoup plus sérieuse. Je veux parler de l’apparition soudaine d’espèces appartenant aux divisions principales du règne animal dans les roches fossilifères les plus anciennes que l’on connaisse. (...) Pourquoi ne trouvons-​nous pas des dépôts riches en fossiles appartenant à ces périodes primitives antérieures à l’époque cambrienne ? C’est là une question à laquelle je ne peux faire aucune réponse satisfaisante.” — L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la lutte pour l’existence dans la nature de Charles Darwin, traduit sur l’édition anglaise définitive par Ed. Barbier, Paris, p. 369, 383, 384.

“Sans aucun doute, la question la plus troublante de toute l’histoire de l’évolution est la suivante : Quelle est l’origine absolue de l’homme ? (...) Malheureusement, toutes les réponses que peuvent actuellement recevoir ces questions reposent sur des preuves indirectes et, partant, en grande partie sur des conjectures, car les documents paléontologiques des Hominidés sont encore incomplets.” — The Fossil Evidence for Human Evolution, deuxième édition (Chicago ; 1964), par W. E. LeGros Clark, p. 174.

“La plus grande énigme des pages de l’histoire de la vie sur la terre : l’apparition soudaine (...) de la plupart des grands groupes des règnes végétal et animal. Il n’existe pratiquement pas de documents sur la naissance de ces groupes. Ainsi il manque toute la première partie de l’histoire de l’évolution.” — The New York Times du 25 octobre 1964, sect. 4, p. 8E.

“Chaque groupe, chaque ordre ou chaque famille semble avoir pris naissance soudainement ; nous trouvons bien rarement les formes qui les relient à la lignée précédente. Quand nous les découvrons, elles sont déjà complètement différenciées. Non seulement nous ne rencontrons en fait aucune forme de transition, mais, en général, il est impossible de relier à coup sûr un nouveau groupe à un ancien.” — L’homme et sa destinée de Lecomte du Noüy, p. 74.

Procédés de datation

“Toute augmentation des intensités radioactives (...) ruinerait à coup sûr certains de nos procédés perfectionnés de datation des vestiges du passé. (...) Si l’intensité radioactive du carbone 14 a été moindre dans le passé, du fait d’une protection magnétique plus grande contre les rayons cosmiques, notre estimation du temps qui s’est écoulé depuis la mort de l’organisme sera trop forte.” — Science Digest de décembre 1960, p. 19.

“La datation par le carbone, la limite étant de 50 000 ans, a aussi été expérimentée sur des objets dont l’âge était connu. Cependant, on a quelquefois découpé en plusieurs morceaux des échantillons du même site pour les remettre à des institutions scientifiques chargées de les dater à l’aide du carbone. Chaque laboratoire a présenté un chiffre différent.” — Science News Letter du 5 août 1961, p. 83.

“Grâce aux procédés de datation par la radioactivité, on a fixé approximativement l’âge de la terre à 4 500 millions d’années. Un chiffre nouveau et plus élevé — 6 500 millions d’années — a été fourni par E. K. Gerling du Laboratoire de Géologie précambrienne de l’Académie des Sciences de l’URSS. Les roches précambriennes, qui se sont formées à de grandes profondeurs sous la surface de la terre, ont été datées par le professeur Gerling et ses collègues à l’aide du procédé par le potassium-40 et l’argon-40. (...) Le nouveau chiffre avancé par le Soviétique pour l’âge de la terre est peut-être dû à l’oubli de quelque facteur dans la technique de datation potassium-​argon.” — Science Digest de décembre 1962, p. 35.

“Les renseignements actuels dépendent en grande partie de la conjecture et de l’interprétation.” — Science du 30 décembre 1960, tome CXXXII, no 3444, p. 1914.

Les mutations

“Les gènes mutants exercent d’ordinaire une action si nocive qu’ils ont tendance à tuer l’organisme. S’ils ne sont pas carrément létaux, ils jouent ordinairement dans le sens de la régression et empêchent plutôt qu’ils n’aident l’organisme à remplir les fonctions de son existence. Il faut s’attendre à pareils résultats quand des changements accidentels surviennent dans une organisation complexe, quelle qu’elle soit. Une race, dès lors, tendra à dégénérer graduellement dans tous les cas où la sélection (naturelle ou artificielle) n’éliminera pas sans relâche les mutations dégénératives qui continueront de survenir.” — The Encyclopædia Britannica (1946), tome XXII, p. 989.

“Actuellement, tout le concept d’évolution repose sur ces mutations. (...) Que des mutations de toute sorte soient provoquées en laboratoire ou qu’elles surviennent naturellement, dans la grande majorité des cas, elles sont de nature nocive et déterminent des tares et des difformités. Ce n’est que rarement qu’une mutation produit un changement estimé utile. Toutefois, c’est par les cas rares de mutations favorables, d’innombrables sortes et en nombre infini, survenues successivement sur des périodes très étendues, que peut actuellement s’expliquer tout le mécanisme de l’évolution.” — The New You and Heredity par Amram Scheinfeld, J. B. Lippincott Cie (New York ; 1950), pp. 473, 476.

“Les mutations dans un gène quelconque (sauf quelques rares exceptions qu’il est inutile d’examiner ici) sont des cas exceptionnels. C’est une autre façon de dire qu’ordinairement les gènes se reproduisent avec précision.” — Radiation, Genes, and Man par le prof. Bruce Wallace et le prof. Th. Dobzhansky, Henry Holt et Cie (New York ; 1959), p. 35.

“Depuis quelque temps on met fortement en évidence les mutations géniques, leur attribuant un rôle décisif dans l’évolution des espèces. Il ne fait guère de doute que les mutations géniques, et probablement aussi les déviations chromosomiques et autres anomalies héréditaires qui surviennent dans la cellule reproductrice, ont de tout temps concouru à diversifier le contenu génétique au sein de populations vivantes. Toutefois, le caractère relativement rare de ces changements aberrants ou mutations, ainsi que leurs effets en général soustractifs et le plus souvent létaux sur le développement, nous empêchent de leur attribuer un rôle important dans la faculté d’adaptation des groupes. (...) Il convient de noter que la grande importance que l’on prête actuellement aux mutations des gènes en tant que facteurs de l’évolution s’explique en partie par les faux espoirs suscités au début par leur découverte (on a cru pendant quelque temps que des mutations isolées pouvaient soudainement donner naissance à de nouvelles espèces, du jour au lendemain en quelque sorte), et en partie par la valeur expérimentale grandissante qui s’attache aux formes mutantes, lesquelles dévient souvent de façon si frappante que les généticiens les utilisent comme indicateurs d’hérédité et d’ascendance, ce qui fait qu’elles révèlent le mouvement du génotype dans des populations élevées en laboratoire ou dans des populations naturelles.” — Progress and Decline par le prof. Hugh Miller, The Ward Ritchie Press (Los Angeles ; 1963), p. 38.

Pourquoi on croit à l’évolution

“Beaucoup croient à l’évolution en raison de la masse des écrits qui ont paru à ce sujet. Un coup d’œil sur l’un des gros ouvrages traitant de l’évolution donne l’impression que la théorie est bien démontrée, mais il suffit de le lire pour y trouver des faits constatés à propos d’expériences génétiques, d’études de cytologie, de fossiles des quatre coins du monde, de comparaisons de squelettes, etc., lesquels révèlent de légères modifications dans quelques espèces et une grande stabilité chez les autres. Le résultat est que le lecteur, avant d’arriver au bout du livre, se voit présenter quantité d’à-côtés intéressants qui lui font perdre de vue la définition courante de l’évolution. Il sera toutefois porté à croire qu’un homme capable de citer tant de faits réellement constatés doit avoir prouvé sa thèse principale, oubliant que ces observations n’appuient pas toutes cette thèse.” — Modern Science and Christian Faith (Wheaton, Illinois ; 1950), par des membres de l’American Scientific Affiliation, p. 65.

“J’ai souvent constaté que, dans leur esprit, les étudiants étaient mal satisfaits des ‘preuves’ existantes de l’évolution. Ce qui les conduisait à l’admission de la théorie, c’était tout simplement le comportement des hommes de science, qui faisaient jouer tout le poids de leur autorité, leur méthode d’intimidation n’étant pas toujours très raffinée. Presque invariablement, s’il voulait garder sa réputation en face d’un homme de science plus expérimenté, le jeune candidat se voyait obligé d’admettre la théorie de l’évolution.” — Evolution, Creation, and Science (Washington, D.C.; 1947), par le prof. Frank L. Marsh, p. 10.

“Plus on étudie la paléontologie, plus forte se fait sa certitude que l’évolution est fondée sur la foi seule.” — The Dogma of Evolution (Princeton University Press ; 1925), par le prof. Louis Trenchard More, p. 160.

“Le biologiste moyen, qui accepte la théorie de l’évolution comme une confession de foi, ne distingue pas, dans ses écrits, entre le fait acquis et la théorie et, partant, expose des théories comme des vérités démontrées. À mon point de vue, pareille façon de faire est sans excuse dans un traité de science.” — More Difficulties of the Evolution Theory (Londres ; 1938), par Douglas Dewar, préface.

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