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    « Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
    • que l’on connaisse. (...) Pourquoi ne trouvons-​nous pas des dépôts riches en fossiles appartenant à ces périodes primitives antérieures à l’époque cambrienne ? C’est là une question à laquelle je ne peux faire aucune réponse satisfaisante.” — L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la lutte pour l’existence dans la nature de Charles Darwin, traduit sur l’édition anglaise définitive par Ed. Barbier, Paris, p. 369, 383, 384.

      “Sans aucun doute, la question la plus troublante de toute l’histoire de l’évolution est la suivante : Quelle est l’origine absolue de l’homme ? (...) Malheureusement, toutes les réponses que peuvent actuellement recevoir ces questions reposent sur des preuves indirectes et, partant, en grande partie sur des conjectures, car les documents paléontologiques des Hominidés sont encore incomplets.” — The Fossil Evidence for Human Evolution, deuxième édition (Chicago ; 1964), par W. E. LeGros Clark, p. 174.

      “La plus grande énigme des pages de l’histoire de la vie sur la terre : l’apparition soudaine (...) de la plupart des grands groupes des règnes végétal et animal. Il n’existe pratiquement pas de documents sur la naissance de ces groupes. Ainsi il manque toute la première partie de l’histoire de l’évolution.” — The New York Times du 25 octobre 1964, sect. 4, p. 8E.

      “Chaque groupe, chaque ordre ou chaque famille semble avoir pris naissance soudainement ; nous trouvons bien rarement les formes qui les relient à la lignée précédente. Quand nous les découvrons, elles sont déjà complètement différenciées. Non seulement nous ne rencontrons en fait aucune forme de transition, mais, en général, il est impossible de relier à coup sûr un nouveau groupe à un ancien.” — L’homme et sa destinée de Lecomte du Noüy, p. 74.

      Procédés de datation

      “Toute augmentation des intensités radioactives (...) ruinerait à coup sûr certains de nos procédés perfectionnés de datation des vestiges du passé. (...) Si l’intensité radioactive du carbone 14 a été moindre dans le passé, du fait d’une protection magnétique plus grande contre les rayons cosmiques, notre estimation du temps qui s’est écoulé depuis la mort de l’organisme sera trop forte.” — Science Digest de décembre 1960, p. 19.

      “La datation par le carbone, la limite étant de 50 000 ans, a aussi été expérimentée sur des objets dont l’âge était connu. Cependant, on a quelquefois découpé en plusieurs morceaux des échantillons du même site pour les remettre à des institutions scientifiques chargées de les dater à l’aide du carbone. Chaque laboratoire a présenté un chiffre différent.” — Science News Letter du 5 août 1961, p. 83.

      “Grâce aux procédés de datation par la radioactivité, on a fixé approximativement l’âge de la terre à 4 500 millions d’années. Un chiffre nouveau et plus élevé — 6 500 millions d’années — a été fourni par E. K. Gerling du Laboratoire de Géologie précambrienne de l’Académie des Sciences de l’URSS. Les roches précambriennes, qui se sont formées à de grandes profondeurs sous la surface de la terre, ont été datées par le professeur Gerling et ses collègues à l’aide du procédé par le potassium-40 et l’argon-40. (...) Le nouveau chiffre avancé par le Soviétique pour l’âge de la terre est peut-être dû à l’oubli de quelque facteur dans la technique de datation potassium-​argon.” — Science Digest de décembre 1962, p. 35.

      “Les renseignements actuels dépendent en grande partie de la conjecture et de l’interprétation.” — Science du 30 décembre 1960, tome CXXXII, no 3444, p. 1914.

      Les mutations

      “Les gènes mutants exercent d’ordinaire une action si nocive qu’ils ont tendance à tuer l’organisme. S’ils ne sont pas carrément létaux, ils jouent ordinairement dans le sens de la régression et empêchent plutôt qu’ils n’aident l’organisme à remplir les fonctions de son existence. Il faut s’attendre à pareils résultats quand des changements accidentels surviennent dans une organisation complexe, quelle qu’elle soit. Une race, dès lors, tendra à dégénérer graduellement dans tous les cas où la sélection (naturelle ou artificielle) n’éliminera pas sans relâche les mutations dégénératives qui continueront de survenir.” — The Encyclopædia Britannica (1946), tome XXII, p. 989.

      “Actuellement, tout le concept d’évolution repose sur ces mutations. (...) Que des mutations de toute sorte soient provoquées en laboratoire ou qu’elles surviennent naturellement, dans la grande majorité des cas, elles sont de nature nocive et déterminent des tares et des difformités. Ce n’est que rarement qu’une mutation produit un changement estimé utile. Toutefois, c’est par les cas rares de mutations favorables, d’innombrables sortes et en nombre infini, survenues successivement sur des périodes très étendues, que peut actuellement s’expliquer tout le mécanisme de l’évolution.” — The New You and Heredity par Amram Scheinfeld, J. B. Lippincott Cie (New York ; 1950), pp. 473, 476.

      “Les mutations dans un gène quelconque (sauf quelques rares exceptions qu’il est inutile d’examiner ici) sont des cas exceptionnels. C’est une autre façon de dire qu’ordinairement les gènes se reproduisent avec précision.” — Radiation, Genes, and Man par le prof. Bruce Wallace et le prof. Th. Dobzhansky, Henry Holt et Cie (New York ; 1959), p. 35.

      “Depuis quelque temps on met fortement en évidence les mutations géniques, leur attribuant un rôle décisif dans l’évolution des espèces. Il ne fait guère de doute que les mutations géniques, et probablement aussi les déviations chromosomiques et autres anomalies héréditaires qui surviennent dans la cellule reproductrice, ont de tout temps concouru à diversifier le contenu génétique au sein de populations vivantes. Toutefois, le caractère relativement rare de ces changements aberrants ou mutations, ainsi que leurs effets en général soustractifs et le plus souvent létaux sur le développement, nous empêchent de leur attribuer un rôle important dans la faculté d’adaptation des groupes. (...) Il convient de noter que la grande importance que l’on prête actuellement aux mutations des gènes en tant que facteurs de l’évolution s’explique en partie par les faux espoirs suscités au début par leur découverte (on a cru pendant quelque temps que des mutations isolées pouvaient soudainement donner naissance à de nouvelles espèces, du jour au lendemain en quelque sorte), et en partie par la valeur expérimentale grandissante qui s’attache aux formes mutantes, lesquelles dévient souvent de façon si frappante que les généticiens les utilisent comme indicateurs d’hérédité et d’ascendance, ce qui fait qu’elles révèlent le mouvement du génotype dans des populations élevées en laboratoire ou dans des populations naturelles.” — Progress and Decline par le prof. Hugh Miller, The Ward Ritchie Press (Los Angeles ; 1963), p. 38.

      Pourquoi on croit à l’évolution

      “Beaucoup croient à l’évolution en raison de la masse des écrits qui ont paru à ce sujet. Un coup d’œil sur l’un des gros ouvrages traitant de l’évolution donne l’impression que la théorie est bien démontrée, mais il suffit de le lire pour y trouver des faits constatés à propos d’expériences génétiques, d’études de cytologie, de fossiles des quatre coins du monde, de comparaisons de squelettes, etc., lesquels révèlent de légères modifications dans quelques espèces et une grande stabilité chez les autres. Le résultat est que le lecteur, avant d’arriver au bout du livre, se voit présenter quantité d’à-côtés intéressants qui lui font perdre de vue la définition courante de l’évolution. Il sera toutefois porté à croire qu’un homme capable de citer tant de faits réellement constatés doit avoir prouvé sa thèse principale, oubliant que ces observations n’appuient pas toutes cette thèse.” — Modern Science and Christian Faith (Wheaton, Illinois ; 1950), par des membres de l’American Scientific Affiliation, p. 65.

      “J’ai souvent constaté que, dans leur esprit, les étudiants étaient mal satisfaits des ‘preuves’ existantes de l’évolution. Ce qui les conduisait à l’admission de la théorie, c’était tout simplement le comportement des hommes de science, qui faisaient jouer tout le poids de leur autorité, leur méthode d’intimidation n’étant pas toujours très raffinée. Presque invariablement, s’il voulait garder sa réputation en face d’un homme de science plus expérimenté, le jeune candidat se voyait obligé d’admettre la théorie de l’évolution.” — Evolution, Creation, and Science (Washington, D.C.; 1947), par le prof. Frank L. Marsh, p. 10.

      “Plus on étudie la paléontologie, plus forte se fait sa certitude que l’évolution est fondée sur la foi seule.” — The Dogma of Evolution (Princeton University Press ; 1925), par le prof. Louis Trenchard More, p. 160.

      “Le biologiste moyen, qui accepte la théorie de l’évolution comme une confession de foi, ne distingue pas, dans ses écrits, entre le fait acquis et la théorie et, partant, expose des théories comme des vérités démontrées. À mon point de vue, pareille façon de faire est sans excuse dans un traité de science.” — More Difficulties of the Evolution Theory (Londres ; 1938), par Douglas Dewar, préface.

  • Exclusion
    « Assurez-vous de toutes choses ; restez attachés à ce qui est excellent »
    • L’exclusion

      Il faut être vigilant pour maintenir la pureté de la congrégation chrétienne

      Jude 3, 4 “J’ai jugé nécessaire de vous écrire pour vous exhorter à mener un dur combat pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. La raison que j’ai, c’est que certains hommes se sont glissés parmi vous, qui, il y a longtemps, ont été établis par les Écritures pour ce jugement, des hommes impies, qui changent la bonté imméritée de notre Dieu en excuse pour se conduire de manière dissolue.”

      II Pierre 2:2 “Beaucoup suivront leurs actes de conduite dissolue, et à cause d’eux on parlera en mal de la voie de la vérité.”

      Voir aussi “La conduite chrétienne”, pages 104-115.

      Des conduites individuelles eurent un effet sur la position que la congrégation tout entière occupait devant Dieu

      I Cor. 5:5, 6 “[Que] vous livriez un tel homme à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé au jour du Seigneur. (...) Ne savez-​vous pas qu’un peu de levain fait fermenter toute la masse ?”

      Josué 7:1-26 “Les enfants d’Israël commirent une infidélité

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