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  • LES CONGRÉGATIONS NAISSENT
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Les témoins de Jéhovah dans les desseins divins
jp chap. 4 p. 23-27

Chapitre 4

Préparatifs pour la rentrée de la moisson

LOÏS: Avant d’aller plus loin ce soir, Jean, j’aimerais que vous m’éclairiez sur un point: Où le pasteur Russell voulait-​il en venir? Les notes biographiques que vous nous avez lues disaient qu’il n’essayait pas de lancer une nouvelle religion, et c’est ce que vous nous avez dit vous-​même en expliquant le nom de témoins de Jéhovah. Si une nouvelle religion est vraiment née ou pas, ce n’est pas ce qui compte pour le moment. Le côté le plus significatif de son message, à mon avis, c’est que la présence du Christ était imminente; mais que demandait-​il aux gens de faire et, d’après lui, quels événements devaient se produire au retour de Jésus?

JEAN: Tout d’abord, le pasteur Russell et ceux qui s’étaient joints à lui croyaient que la présence invisible du Christ, sous forme spirituelle, avait déjà commencé en 1874. Ils avaient compris que l’œuvre principale du Christ consistait, à cette époque-​là, à rassembler les siens, et à les affranchir des nombreux enseignements contradictoires concernant la volonté divine à leur égard. Ils croyaient que le but du retour du Christ était de les rassembler, de rétablir le vrai culte puis, en 1914, à la fin des “temps des Gentils”, de les faire entrer dans le Royaume de Dieu, tel un fiancé qui viendrait chercher sa fiancée. Cela signifiait que la première chose à faire, c’était de quitter la religion apostate de la chrétienté, d’apprendre à connaître la vérité pour ensuite la faire activement connaître à autrui.

LES CONGRÉGATIONS NAISSENT

THOMAS: Comment se sont-​ils organisés pour accomplir cette œuvre?

JEAN: Ma foi, c’était un jour de petites choses; ils ont commencé avec peu. Néanmoins, ils s’efforçaient d’organiser immédiatement des congrégations partout où les gens montraient de l’intérêt pour le message. C’est dans cette intention que Russell et quelques-uns de ses proches se sont mis à rendre visite à ceux qui s’étaient abonnés à La Tour de Garde, pour les réunir en groupes d’étude. Au cours de ces deux premières années, 1879 et 1880, ils ont fondé une trentaine de congrégations dans les États de Pennsylvanie, New Jersey, New York, Massachusetts, Delaware, Ohio et Michigan. Puis, en 1880, le pasteur Russell a pris des dispositions pour visiter lui-​même ces trente congrégations, afin d’y passer au moins un jour dans chacune. Le programme qu’il présentait était intensif, puisque Russell dirigeait chaque jour au moins six heures d’étude dans chaque groupea.

LOÏS: C’était là un programme d’étude bien chargé. Quel genre de réunions tenaient-​ils donc?

JEAN: Bien entendu, lors de ces premières visites, le pasteur Russell prononçait des allocutions sur la Bible, et il répondait aux questions. Par la suite, pour prendre un exemple, la congrégation de Pittsburgh-Allegheny se réunissait régulièrement le dimanche après-midi, de 14h.30 à 16 heures. Cette réunion était surtout destinée au public, car on y présentait des exposés bibliques. Le mercredi, de 19h.30 à 21 heures, on se réunissait pour les “Cottage Meetings” (réunions dans les foyers). Plus tard, on les a nommées “réunions de prières, de louanges et de témoignages”, car les assistants se levaient pour prononcer une prière ou pour raconter des témoignages personnels se rapportant aux efforts qu’ils avaient accomplis et aux résultats obtenus dans la prédication chrétienne. On y chantait aussi des cantiques de louanges. Cette réunion du mercredi a été à l’origine de ce que les témoins de Jéhovah appellent à présent la réunion de service. Le vendredi soir, leur étude de la Bible se fondait sur des sujets traités dans leurs livres, ceux qui avaient paru jusque-​là. Ces études étaient appelées “Cercles de l’aurore”, parce que les premiers livres, publiés par la Société, étaient connus sous le nom de série de “L’aurore du Milléniumb”. Ils possédaient en outre un petit recueil de cantiques, appelé “Cantiques de l’Épousec”.

LOÏS: Et la communion? Est-​ce qu’ils la célébraient?

JEAN: Ils avaient rompu avec la coutume pratiquée dans les Églises de la chrétienté. Chez les catholiques, la “communion” ou “messe” peut être célébrée de nombreuses fois par an. Mais cela est tout à fait contraire aux Écritures. Puisque la disposition prise par Jésus devait servir de commémoration de sa mort, il convenait de célébrer cette commémoration le jour même où Jésus est mort, c’est-à-dire à la date exacte de la Pâque juive. Or celle-ci tombe le 14 abib ou nisan. Le mois juif de nisan commence avec la nouvelle lune la plus proche de l’équinoxe du printemps, observée en Palestined. En raison de sa nature, ces premiers étudiants de la Bible ont appelé cette fête le “souper anniversaire”, car pour eux il s’agissait de célébrer ce souper lors de l’anniversaire, et une seule fois par année. De nos jours, les témoins de Jéhovah l’appellent la Commémoration, ce qui indique la même chose; c’est une fête en souvenir de la mort du Christ. Nous la désignons aussi sous le nom de “repas du soir” du Seigneur, d’après les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveaue.

Dans ces premières années, la congrégation de Pittsburgh était à la fois la plus grande et la plus ancienne. C’était là, en général, que se célébrait la Commémoration. Parmi les chrétiens qui vivaient dans d’autres parties des États-Unis, tous ceux qui le pouvaient se rendaient alors à Pittsburgh, une fois par an, pour cette célébration. Ils imitaient en quelque sorte les Juifs qui montaient jadis à Jérusalem pour célébrer la Pâque. Seules les petites congrégations célébraient la Commémoration séparément. Ce rassemblement à Pittsburgh répondait à un double but: d’une part, il leur permettait de célébrer la Commémoration ensemble, dans l’unité d’esprit et, d’autre part, il leur fournissait l’occasion de tenir un congrès de deux jours. De cette manière, ces premiers frères étaient consolidés sur le plan de l’esprit; ils croissaient dans l’unité en s’assemblant. Ils pouvaient se voir face à face, ce qui servait de stimulant, car à part cela, rien ne les unissait. En partageant la compagnie de leurs frères et en recevant la nourriture spirituelle ensemble, ils puisaient les forces nécessaires pour faire progresser plus rapidement cette œuvre naissantef.

THOMAS: Vous avez dit qu’à part cela, rien ne les unissait. Que voulez-​vous dire par là?

JEAN: Chaque congrégation accomplissait son service plus ou moins indépendamment, tout en prenant modèle sur la première congrégation de Pittsburgh. Or, sur le plan de l’organisation, ces congrégations n’étaient pas pour autant rattachées à celle de Pittsburgh. Il est vrai qu’elles assimilaient la même nourriture spirituelle, dispensée dans les colonnes de La Tour de Garde. C’était là un lien important, car ces membres provenaient de diverses organisations religieuses: ils avaient été catholiques, presbytériens, congrégationalistes, luthériens ou autres. Ainsi, l’étude de La Tour de Garde contribuait grandement à créer l’unité, quoique, dans une large mesure, ces membres aient apporté avec eux les pensées et les procédés suivis par les diverses Églises et sectes. Cela a eu pour effet que les premières congrégations des témoins de Jéhovah étaient régies par une sorte d’administration ecclésiastique calquée sur le style presbytérien et congrégationaliste. On appelait ces congrégations des “ecclésias”, d’après le mot grec qui signifie “congrégation”. Chacune avait à sa tête un comité de presbytres appelés les “aînés”, tout comme dans l’Église presbytérienne. Ces “aînés” étaient chaque fois élus d’une manière démocratique pour un an au maximum, comme dans l’Église congrégationaliste. Réunis en comité, ils désignaient les divers orateurs, déterminaient la matière à étudier, et ainsi de suite. C’était là une manière de procéder bien différente de celle suivie par les témoins de Jéhovah actuels.

DES MILLIERS SONT ATTEINTS GRÂCE À LA DIFFUSION DES TRACTS

LOÏS: Le pasteur Russell enseignait donc qu’il fallait étudier la Bible et participer à l’œuvre de la moisson. Comment s’y sont-​ils pris? J’entends les étudiants de la Bible, sans parler des aînés.

JEAN: Au début, on distribuait surtout des tracts. Quant au pasteur Russell, il avait alors déjà liquidé ses affaires, et il consacrait la plus grande partie de son temps à écrire et à prêcher. Puis, à partir de 1880, le petit groupe de Pittsburgh, en tant que bureau central, s’est mis à publier des tracts. Après 1891, ces tracts numérotés qui s’intitulaient d’abord “Tracts des Étudiants de la Bible” (Bible Student’s Tracts) ont aussi été appelés “Cahier trimestriel de théologie ancienne” (Old Theology Quarterly). Remis gratuitement aux lecteurs de La Tour de Garde pour que ceux-ci les distribuent au public, ces tracts devaient servir à démasquer les erreurs contenues dans les doctrines enseignées par les Églisesg. On publiait aussi des feuilles d’un plus grand format comme éditions supplémentaires de La Tour de Garde. Ainsi, en 1881, avaient paru les deux brochures “Les figures du Tabernacle” (Tabernacle Teachings) et “Nourriture pour les chrétiens réfléchis” (Food for Thinking Christians). De nos jours, nous appellerions ces publications des livres brochés. Ainsi, la brochure Nourriture pour les chrétiens réfléchis a paru comme édition spéciale de La Tour de Garde pour le mois de septembre 1881. À la page 162 de l’édition de 1884, le passage suivant de cette brochure attirait l’attention du lecteur sur la Société et sur l’œuvre accomplie par celle-ci:

Cette Société [Zion’s Watch Tower Tract Society] est organisée dans l’intention de répandre des publications semblables à cette brochure publiée par La Tour de Garde, périodique mensuel de huit pages. La présente brochure est un numéro de ce périodique, présentée dans un format plus pratique; ainsi, au cours des quatre dernières années, cette Société en a fait imprimer et diffuser, à ses frais, plus d’un million d’exemplaires gratuits.

THOMAS: Comment ce petit groupement pouvait-​il répandre un million d’exemplaires de cette brochure?

JEAN: C’est que de nombreux exemplaires en ont été distribués par les lecteurs de La Tour de Garde grâce à leurs contacts personnels. Mais on s’est également servi de deux autres méthodes peu courantes. En voici deux exemples décrits dans l’une des premières publications de la Société:

Le directeur du principal journal de la ville de New York accepta d’envoyer à tous ses abonnés un exemplaire du tract [Nourriture pour les chrétiens réfléchis]; de même, plusieurs autres journaux de Chicago, de Boston, de Philadelphie et de New York nous aidèrent d’une façon analogue dans l’œuvre, ce dont nous les remercions sincèrementh.

Et le pasteur Russell d’expliquer: “Nous ne citerons pas les noms des journaux simplement pour leur épargner l’ennui d’être sollicités par autrui. Ils disent n’avoir encore jamais accordé de tels privilèges à personne.” En outre, nous lisons au sujet de cette tâche d’envergure:

(...) Faible en apparence au début, le travail avec les tracts a connu un essor si considérable que 1 200 000 exemplaires en ont été distribués, (...) il a fallu le concours de centaines d’hommes, de femmes et de garçons pour la préparation et la distribution des tracts, près de 500 garçons étant employés à les distribuer à Londres et quelque 300 à New York, ainsi qu’un nombre correspondant dans d’autres villes. Dans les plus grandes villes, la distribution se fit le dimanche, à la porte des églisesi.

Afin d’encourager la distribution des tracts, deux des premiers compagnons de Russell ont été envoyés en Grande-Bretagne, en 1881. Dans leur rapport, ils racontent avoir distribué 100 000 brochures à Londres et 65 000 en Écosse, dans les villes de Glasgow, d’Édimbourg, de Dundee et d’Aberdeenj.

LOÏS: De quoi parlait donc cette brochure?

JEAN: Elle était doctrinale, bien entendu. Elle présentait un résumé de toutes les vérités que ces étudiants de la Bible avaient apprises et comprises jusqu’à l’année 1881. La brochure commençait sous forme de dialogue, et la discussion se poursuivait un peu comme chez vous, où nous discutons de l’histoire de la Société. Puis, après avoir réfuté quelques doctrines fondamentales enseignées par les grandes Églises, telles que l’immortalité de l’âme, la brochure poursuivait en expliquant de nombreux points du dessein divin des âges. À l’intention de la majorité des humains qui recevront la vie sur la terre, la brochure faisait ressortir ce qui suit:

Ceux qui forment le reste de notre race et qui avancent maintenant en foule sur la route large de la mort doivent être rétablis, car leur culpabilité et leurs péchés seront rachetés et pardonnés. Comme, par la désobéissance d’un seul homme, tous ont été placés sur la route large et qu’ils ont été engloutis dans la mort, de même, par l’obéissance d’un seul (Christ), tous seront pardonnés et ramenés à la vie. Mais quand ils seront ramenés à “leur condition antérieure” — la perfection telle qu’elle existait à l’origine — ils n’auront pas la vie dans le même sens que l’obtiendra la famille divine. Leur part ne sera pas d’avoir la vie en eux-​mêmes, mais la vie qui leur est fournie. La race humaine restaurée vivra sans doute éternellement. Dieu lui fournira les moyens de continuer à vivre aussi longtemps qu’elle sera obéissante, et il nous est dit que cela sera pour l’éterniték.

LA SOCIÉTÉ WATCH TOWER PREND CORPS

THOMAS: Quelles dispositions ce groupement avait-​il prises pour imprimer les tracts et le périodique La Tour de Garde?

JEAN: Au début, l’impression de ces écrits était presque entièrement assurée par des maisons d’édition commerciales. Notre premier bureau central se trouvait au 44, Federal Street, à Allegheny, en Pennsylvaniel. Russell avait compris que pour étendre la distribution des tracts et de La Tour de Garde, il faudrait accepter des contributions, et il serait alors nécessaire d’avoir une société sous une forme ou sous une autre. Ainsi, dans La Tour de Garde (angl.) d’avril 1881, on pouvait lire à la page 7, sous le titre “Watch Tower Tract Society”:

Les proportions immenses que semble prendre le travail avec les tracts ont fait naître l’idée d’un effort conjugué dans ce sens; et cela a eu pour effet la création de cette Société. Les tracts sont très demandés. Plus de 900 000 pages sont déjà sorties des presses, et nous allons passer des contrats pour plusieurs millions de pages. Nous sommes confiants que le Seigneur prendra plaisir à se servir de ces tracts comme moyens permettant d’ouvrir les yeux aux aveugles face aux beautés de sa Parole, comme jadis il se servit même de boue et de salive pour ouvrir des yeux naturels.

L’année d’après, Russell insérait ce qui suit dans les colonnes de La Tour de Garde concernant la Société:

Cette Société a été organisée, il y a moins d’un an, pour le but indiqué par son nom. (...) Nous ne solliciterons jamais de dons. Ceux qui possèdent des biens de ce monde, et qui se sont entièrement consacrés, doivent simplement apprendre comment ils peuvent s’en servir. La destination des dons versés à ce fonds devrait être spécifiéea.

En 1884, cette Société s’est constituée en corporation. C’est Russell lui-​même qui en a rédigé les statuts. À l’origine, la Société portait le nom de “Zion’s Watch Tower Tract Society”, mais aujourd’hui elle s’appelle “Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvaniab”. Le but de cette Société est énoncé sous l’article deux des statuts:

Le but pour lequel est constituée la corporation est la diffusion de vérités bibliques en différentes langues au moyen de la publication de tracts, de brochures, de journaux et d’autres écrits religieux, ainsi que par l’emploi de tout autre moyen légal que son conseil d’administration, dûment constitué, jugera opportun pour atteindre le but précité.

Les statuts prévoyaient un conseil composé de sept directeurs, dont trois devaient remplir les fonctions de président, vice-président et secrétaire-trésorierc.

Au bout de quelques années, leur premier bureau central étant devenu trop exigu, ils décidèrent de faire construire un immeuble pour eux seuls. Achevé en 1889d, cet immeuble abritait une salle de réunions pour 200 personnes environ. De nos jours, on pourrait la comparer à une Salle du Royaume des témoins de Jéhovah. Dans cet immeuble se trouvaient une petite salle pour l’imprimerie, un service d’expédition au sous-sol, ainsi que des appartements pour les membres de la famille qui travaillaient comme personnel dans ce bureau central. Des locaux étaient également réservés à la rédaction. Et du côté de la rue, il y avait un entrepôt et un magasin où des écrits étaient distribués au public. Cet immeuble, appelé “Maison de la Bible”, a servi de bureau central à la Société pendant vingt ans.

Ainsi, le pasteur Russell n’a pas organisé la Société Watch Tower simplement pour recevoir des contributions et pour imprimer des écrits. Selon le but énoncé dans les statuts, la Société avait été organisée pour “la diffusion de vérités bibliques”. Or, pour atteindre ce but, il ne suffisait pas d’établir des congrégations pour l’étude, congrégations dont les membres distribueraient de temps en temps des tracts. En réalité, le pasteur Russell se proposait d’organiser tout cela sur une plus grande échelle. Mais de cela, je vous en parlerai la semaine prochaine.

[Notes]

a a w juin 1880, p. 8; w sept. 1880, p. 8; w nov. 1880, p. 8.

b b w janv. 1881, p. 7; w avril 1881, p. 8; w 1897, p. 158.

c c w sept. 1879, p. 4.

d d w 1897, p. 86.

e e I Corinthiens 11:25.

f f w 1892, p. 114; voir “Congrès des croyants”, assistance: 400.

g g w déc. 1880, p. 8; w janv. 1881, p. 3; w mars 1889, p. 7.

h h w oct.-nov. 1881, p. 5.

i i Ibid.

j j w oct.-nov. 1881, p. 6.

k k w sept. 1881, p. 144.

l l Ce bureau central porta par la suite le numéro 40, Federal Street, et puis le 151, Robinson Street, la rue ayant changé de nom (w déc. 1884, p. 1; w mars 1887, p. 1).

a m w janv.-fév. 1882, p. 2.

b n Le 13 décembre 1884, le juge F. H. Collier de la Cour des Plaids Communs [tribunal civil] du Comté d’Allegheny, État de Pennsylvanie, accorda à la Société un statut légal dûment enregistré le 15 décembre 1884 (w janv. 1885, p. 1). Le nom qu’elle portait à l’origine fut changé, en 1896, par un amendement légal en “Watch Tower Bible and Tract Society” (statuts de la Watch Tower Bible and Tract Society, pp. 4, 5). Le 1er novembre 1955 furent enregistrés les amendements légalisant son titre intégral actuel. Voir aussi Études des Écritures (1886), tome I, Préface “Biographie”, p. 19 (éd. angl. 1926).

c o Les premiers membres du bureau étaient C. T. Russell, le président; William I. Mann, le vice-président; Maria S. Russell, femme du pasteur Russell, la secrétaire-trésorière (Statuts de la Watch Tower Bible and Tract Society, pp. 1-3).

d p Sis au 56 et 60, Arch Street, Allegheny, North Side, Pittsburgh; la rue ayant été renumérotée, leur adresse devenait alors le 610-614, Arch Street (w janv. 1890, p. 1; w 1900, pp. 260, 272, photo; voir aussi wF oct. 1903, p. 8). À l’origine, cette propriété appartenait légalement à la Tower Publishing Company [La Tour, Maison d’édition], affaire privée dirigée par C. T. Russell. En avril 1898, le droit de propriété sur ces biens immobiliers et les installations fut transféré à la corporation légale, la Watch Tower Bible and Tract Society, lorsque le conseil d’administration de la Société accepta comme donation le droit de propriété sur ces biens (w 1898, pp. 114, 369).

[Illustrations, page 26]

SCEAU DE LA SOCIÉTÉ, 1884.

SCEAU DE LA SOCIÉTÉ, 1956.

[Illustration, page 27]

MAISON DE LA BIBLE, 1889.

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