la fornication, l’impureté, la conduite dissolue, (...) ceux qui pratiquent de telles choses n’hériteront pas le royaume de Dieu.”

Éph. 5:3, 4 “Que la fornication et toute espèce d’impureté ou l’avidité ne soient pas même mentionnées parmi vous, comme il convient à des hommes saints ; pas non plus de conduite indigne, ni de propos absurdes, ni de plaisanteries obscènes, choses qui ne conviennent pas, mais plutôt des actions de grâces.”

Prov. 7:7-23 “Je remarquai parmi les jeunes gens un garçon dépourvu de sens. Il passait dans la rue, près de l’angle (...). Et voici, il fut abordé par une femme ayant la mise d’une prostituée et la ruse dans le cœur. (...) Elle le saisit (...) et d’un air effronté lui dit : (...) Viens, enivrons-​nous d’amour jusqu’au matin, livrons-​nous joyeusement à la volupté. Car mon mari n’est pas à la maison, il est parti pour un voyage lointain. (...) Elle le séduisit à force de paroles (...). Il se mit tout à coup à la suivre, comme le bœuf qui va à la boucherie, comme un fou qu’on lie pour le châtier, jusqu’à ce qu’une flèche lui perce le foie, comme l’oiseau qui se précipite dans le filet, sans savoir que c’est au prix de sa vie.”

Devant les sollicitations de l’immoralité, certains choisissent la protection du mariage

I Cor. 7:1-9, 36 “Pour ce qui est des choses dont vous m’avez écrit, il est bon pour l’homme de ne pas toucher de femme ; cependant, à cause de la généralité de la fornication, que chaque homme ait sa propre femme et que chaque femme ait son propre mari. (...) Mais s’ils n’ont pas de maîtrise de soi, qu’ils se marient, car il vaut mieux se marier que d’être enflammé de passion. (...) si quelqu’un pense qu’il agit de manière inconvenante envers sa virginité, si celle-ci a passé l’épanouissement de la jeunesse, et que c’est ainsi que cela doit avoir lieu, qu’il fasse ce qu’il veut ; il ne pèche pas. Qu’ils se marient.”

À César ce qui est à César

La position de César, empereur romain, correspond à celle d’un chef politique ou d’un gouvernement dans n’importe quel pays

Marc 12:17 “Jésus leur dit : ‘Rendez les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu.’”

Jean 19:12, 15 “Pilate continuait à chercher comment le relâcher. Mais les Juifs crièrent, disant : ‘Si tu relâches cet homme, tu n’es pas ami de César.’ (...) Les principaux prêtres répondirent : ‘Nous n’avons de roi que César.’”

Respect dû aux chefs de ce monde

Rom. 13:1, 7 “Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures (...). Rendez à tous ce qui leur est dû, (...) à celui qui exige la crainte, une telle crainte ; à celui qui exige l’honneur, un tel honneur.”

Tite 3:1 “Continue de leur rappeler d’être soumis et obéissants envers les gouvernements et envers les autorités comme chefs.”

I Tim. 2:1-3 “Je demande donc, tout d’abord, qu’on fasse des supplications, des prières, des intercessions, des actions de grâces à propos de toutes sortes d’hommes, à propos de rois et de ceux qui sont haut placés, afin que nous puissions continuer de mener une vie paisible et calme, avec un entier pieux dévouement et avec sérieux. C’est là ce qui est excellent et agréable au regard de notre Sauveur, Dieu.”

Actes 26:1-3 “Agrippa dit à Paul : ‘Il t’est permis de parler en ta faveur.’ Alors Paul, étendant la main, se mit à dire pour sa défense : ‘Au sujet de toutes les choses dont je suis accusé par les Juifs, Roi Agrippa, je m’estime heureux que c’est devant toi que je dois présenter ma défense aujourd’hui, surtout que tu connais à fond toutes les coutumes ainsi que les controverses parmi les Juifs. Aussi, je te prie de m’écouter avec patience.”

Voir aussi Actes 26:25.

Acquittement des impôts pour services rendus

Luc 20:21-25 “Ils le questionnèrent, disant : (...) ‘Nous est-​il permis ou non de payer l’impôt à César ?’ Mais il s’aperçut de leur astuce et leur dit : ‘Montrez-​moi un denier. De qui porte-​t-​il l’image et l’inscription ?’ Ils dirent : ‘De César.’ Il leur dit : ‘Mais oui, donc, rendez les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu.’”

Rom. 13:7 “Rendez à tous ce qui leur est dû, à celui qui exige l’impôt, l’impôt ; à celui qui exige le tribut, le tribut.”

Voir aussi Mat. 17:24-27.

Pour que le mariage “soit honoré de tous” il faut se conformer aux prescriptions légales

Héb. 13:4 “Que le mariage soit chose honorable chez tous, et le lit conjugal sans souillure, car Dieu jugera les fornicateurs et les adultères.”

I Tim. 3:2, 7 “Le surveillant doit donc être irrépréhensible, mari d’une seule femme (...). De plus, il doit aussi avoir un excellent témoignage des gens du dehors.”

Reconnaître les distinctions sociales établies par la loi

I Tim. 6:1, 2 “Que tous ceux qui sont esclaves sous un joug ne cessent de considérer leurs propriétaires comme dignes de tout honneur, pour qu’on ne parle pas en mal du nom de Dieu et de l’enseignement. De plus, que ceux qui ont des propriétaires croyants ne les méprisent pas, parce qu’ils sont frères. Au contraire, qu’ils soient d’autant plus volontiers esclaves, parce que ceux qui reçoivent le profit de leur bon service sont des croyants et des bien-aimés.”

Tite 2:9, 10 “Que les esclaves soient soumis à leurs propriétaires en toutes choses et leur donnent satisfaction, ne répliquant pas, ne commettant pas de vols, mais se montrant entièrement fidèles, afin de parer l’enseignement de notre Sauveur, Dieu, en toutes choses.”

Éph. 6:5 “Esclaves, soyez obéissants envers ceux qui sont vos maîtres au sens charnel, avec crainte et tremblement, dans la sincérité de votre cœur, comme envers le Christ.”

I Pierre 2:18 “Que les serviteurs de maison soient soumis à leurs propriétaires, avec toute la crainte voulue, non seulement à ceux qui sont bons et raisonnables, mais aussi à ceux qui sont difficiles à satisfaire.”

Philém. 10-16 “Je t’exhorte au sujet de mon enfant, pour qui je suis devenu un père dans mes liens de prisonnier, Onésime, qui jadis ne te fut pas utile mais qui est maintenant utile à toi et à moi. Celui-là même je te le renvoie, oui, lui, c’est-à-dire mes propres tendres affections. Je désirerais le retenir pour moi-​même (...). Mais sans ton consentement je ne veux rien faire (...). Peut-être vraiment, pour cette raison, s’est-​il échappé pour une heure pour qu’il te soit rendu pour l’éternité, non plus comme un esclave mais bien mieux qu’un esclave, comme un frère bien-aimé.”