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  • Babylonie
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    • Petropolitanus. Ce manuscrit, qui date de 916 de notre ère, se trouve actuellement à Leningrad (U.R.S.S.). En 226 de notre ère, les rois parthes qui régnaient sur la Babylonie furent remplacés par la dynastie sassanide (perse) et, vers 640, les Arabes musulmans devinrent les nouveaux maîtres de la Babylonie. — Voir BABYLONE.

  • Baca
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    • BACA

      (héb. bâkâ).

      Plante qui joua un rôle important lors du combat que David engagea avec les prêtres “dans la basse plaine de Réphaïm”. (II Sam. 5:22-25; I Chron. 14:13-16.) On ne trouve qu’une seule autre mention de cette plante, en Psaume 84:6: “Passant par la basse plaine des bacas, ils la transforment en source.” C’est peut-être une allusion à la même “basse plaine de Réphaïm” où se déroula le combat de David et que l’on situe au sud-ouest de Jérusalem.

      Le mot hébreu pour baca est dérivé d’une racine signifiant “verser des larmes” ou “dégoutter”. Il semble donc désigner une plante, un arbuste ou un arbre qui secrète des larmes de gomme ou un suc laiteux. Toutefois, on ne peut l’identifier avec certitude. La Bible ne spécifie pas ce qui provoqua le “bruit de gens qui marchent”. Étaient-​ce les feuilles, les branches ou d’autres parties de la plante, les cosses ou les épines par exemple? Elle dit seulement que ce bruit se produisit “dans les cimes” des bacas. Ce ne fut peut-être qu’un simple bruissement qui servit de signal ou bien, comme le suggèrent certains, un bruit assez fort causé par un vent impétueux qui servit à couvrir ou même à simuler le bruit d’une armée en marche.

  • Bacbaccar
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    • BACBACCAR

      {Article non traduit.}

  • Bacbuc
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    • BACBUC

      {Article non traduit.}

  • Bacbukiah
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    • BACBUKIAH

      {Article non traduit.}

  • Bagages, I
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    • BAGAGES, I

      {Article non traduit.}

  • Bagages, II
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    • BAGAGES, II

      {Article non traduit.}

  • Baharumite
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    • BAHARUMITE

      {Article non traduit.}

  • Bahurim
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    • BAHURIM

      {Article non traduit.}

  • Bain
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    • BAIN

      Voir PUR, PURETÉ.

  • Baiser
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    • BAISER

      Dans les temps bibliques, le baiser sur les lèvres (Prov. 24:26), sur la joue ou, exceptionnellement, sur les pieds (Luc 7:37, 38, 44, 45) était une marque d’affection ou de respect. Il était courant pour les membres d’une même famille de s’embrasser, non seulement entre hommes et femmes (Gen. 29:11; 31:28), mais aussi entre hommes (Gen. 27:26, 27; 45:15; Ex. 18:7; II Sam. 14:33). C’était également une marque d’affection entre amis intimes (I Sam. 20:41, 42; II Sam. 19:39). Une bénédiction pouvait s’accompagner de baisers. — Gen. 31:55.

      Un accueil affectueux s’exprimait par des baisers auxquels se mêlaient parfois des larmes et des étreintes (Gen. 33:4). Dans l’illustration de Jésus sur le fils prodigue, le père se jeta au cour de son fils à son retour et il “l’embrassa tendrement”. (Luc 15:20.) On embrassait aussi une personne aimée lorsqu’on se séparait d’elle (Gen. 31:55; Ruth 1:9, 14). Quand l’apôtre Paul fut sur le point de quitter Milet, les anciens de la congrégation d’Éphèse furent si émus qu’ils versèrent des larmes, “se jetèrent au cou de Paul et l’embrassèrent tendrement”. — Actes 20:17, 37.

      La Bible parle très peu des baisers associés aux relations amoureuses entre un homme et une femme (Cant. 1:2; 8:1). Dans une mise en garde contre les artifices de la femme de mauvaise vie, le livre des Proverbes conseille de se défier du baiser séducteur de la prostituée. — Prov. 7:13.

      Les baisers pouvaient être hypocrites. Quand Absalom intriguait pour s’emparer du pouvoir, il embrassait les hommes qui s’approchaient pour se prosterner devant lui (II Sam. 15:5, 6). Le baiser du traître Joab signifia la mort pour Amasa qui l’avait accueilli sans méfiance (II Sam. 20:9, 10). C’est aussi par un baiser trompeur que Judas Iscariote trahit Jésus Christ. — Mat. 26:48, 49; Marc 14:44, 45.

      DANS LE FAUX CULTE

      Jéhovah interdisait de donner un baiser aux faux dieux en signe d’adoration, et il parla de 7 000 hommes qui n’avaient pas plié les genoux devant Baal et qui ne l’avaient pas embrassé (I Rois 19:18). Éphraïm fut tancé pour avoir fait des idoles et dit: “Que les sacrificateurs qui sont des hommes embrassent de simples veaux!” (Osée 13:1-3). Les Grecs et les Romains avaient coutume de se baiser la main en l’honneur de leurs idoles quand celles-ci leur étaient inaccessibles et de saluer de la même manière le soleil levant. Job 31:27 fait peut-être allusion à une telle pratique idolâtrique.

      LE “SAINT BAISER”

      Les premiers chrétiens pratiquaient le “saint baiser” (Rom. 16:16; I Cor. 16:20; II Cor. 13:12; I Thess. 5:26) ou “baiser d’amour” (I Pierre 5:14) qui ne s’échangeait peut-être qu’entre personnes du même sexe. Il est possible que cette façon de faire des premiers chrétiens corresponde à la coutume qu’avaient les anciens Hébreux de se saluer par un baiser. Bien que les Écritures ne fournissent aucun détail à ce sujet, le “saint baiser” ou “baiser d’amour” reflète de toute évidence les saines relations fraternelles empreintes d’amour et l’unité qui existaient dans la congrégation chrétienne. — Jean 13:34, 35.

      EMPLOI MÉTAPHORIQUE

      Quand les Écritures nous exhortent à ‘servir Jéhovah avec crainte’ et à ‘embrasser le fils pour qu’Il n’entre pas en courroux et que vous ne périssiez pas de dessus la voie’, le baiser symbolise alors le respect et l’attachement que l’on doit accorder à Jéhovah et à Jésus Christ (Ps. 2:11, 12). Ceux qui adoptent la bonne attitude et qui se soumettent au Roi et au Royaume de Dieu recevront de grandes bénédictions quand on pourra dire: “La justice et la paix — elles se sont embrassées”, parce que le lien entre ces deux choses sera aussi évident pour tous que les relations étroites et affectueuses qui unissent deux amis. — Ps. 85:10.

  • Balaam
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    • BALAAM

      (peut-être, dévorant ou dévoreur).

      Fils de Béor, il vécut au quinzième siècle avant notre ère à Péthor, ville araméenne de la haute vallée de l’Euphrate, près d’un autre fleuve, le Sajur. Sans être lui-​même Israélite, Balaam avait toutefois une certaine connaissance de Jéhovah qu’il reconnaissait comme le vrai Dieu. Il l’appela en une certaine occasion “Jéhovah, mon Dieu”. (Nomb. 22:5, 18.) C’était peut-être parce que de pieux adorateurs de Jéhovah (Abraham, Lot et Jacob) avaient séjourné dans la région de Haran, non loin de Péthor. — Gen. 12:4, 5; 24:10; 28:5; 31:18, 38.

      Balaam repoussa l’offre de la première délégation que lui avait envoyée Balak, le roi moabite, et qui avait apporté avec elle “les honoraires de la divination”. Il dit: “Jéhovah a refusé de me laisser aller avec vous.” (Nomb. 22:5-14). Lorsque “d’autres princes en plus grand nombre et plus éminents que les premiers” vinrent vers lui (Nomb. 22:15), Balaam demanda de nouveau à Dieu la permission de les suivre. Jéhovah lui répondit: “Lève-​toi, va avec eux. Mais c’est seulement la parole que je te dirai que tu pourras dire.” — Nomb. 22:16-21; Michée 6:5.

      En cours de route, par trois fois l’ange de Jéhovah se posta sur son chemin et obligea l’ânesse de Balaam, d’abord à s’écarter dans un champ, puis à presser le pied de Balaam contre un mur et enfin à se coucher. Chaque fois, Balaam frappa l’animal qui, par un miracle, se mit alors à parler pour lui adresser des reproches (Nomb. 22:22-30). Finalement, Balaam lui-​même vit l’ange de Jéhovah qui lui annonça: “Je suis sorti pour m’opposer, car ta voie va directement à l’encontre de ma volonté.” Cependant, Jéhovah permit une fois encore à Balaam de persister dans la voie qu’il avait choisie. — Nomb. 22:31-35.

      Du commencement à la fin, Dieu ne cessa de désapprouver toute malédiction prononcée contre Israël et il insista sur le fait que si Balaam répondait à l’invitation de Balak, il devrait bénir et non maudire (Josué 24:9, 10). Cependant, Dieu lui permit d’aller vers Balak. Comme dans le cas de Caïn, Jéhovah exprima sa désapprobation tout en permettant à l’individu de choisir lui-​même: soit de renoncer à sa mauvaise voie, soit de s’y enfoncer encore plus avant (Gen. 4:6-8). Comme Caïn, Balaam s’obstina et en tint aucun compte de la volonté de Jéhovah dans cette affaire, déterminé qu’il était à atteindre son objectif égoïste. Dans le cas de Balaam, c’est son désir avide de recevoir la récompense qui l’empêcha de voir l’erreur de sa conduite. Jude écrivit: “Balaam, fils de Béor, (...) aima le salaire de l’injustice, mais [il] reçut une réprimande pour sa violation de ce qui était juste. Une bête de somme sans voix, parlant avec une voix d’homme, fit obstacle à la conduite démente du prophète.” — Jude 11; II Pierre 2:15, 16.

      Dès le lendemain de son arrivée, en territoire moabite et de sa rencontre avec le roi Balak sur les rives de l’Arnon, Balaam se mit sans tarder au travail pour les adversaires du peuple de Jéhovah. Puis il se retira, dans l’espoir de rencontrer “de mauvais présages”. (Nomb. 23:3; 24:1.) Mais le seul présage qu’il reçut de Jéhovah fut une bénédiction pour Israël. On procéda de nouveau aux mêmes sacrifices, au sommet du Pisgah cette fois, et, là encore, il n’y eut “pas de maléfice contre Jacob”, mais seulement des bénédictions. Finalement, on répéta les mêmes rites au sommet du Péor, et, pour la troisième fois, “Dieu changea la malédiction en bénédiction”. — Nomb. 22:41 à 24:9; Néh. 13:2.

      Devant la tournure que prenaient les événements, “la colère de Balak flamba contre Balaam” et, battant des mains de colère, il s’exclama: “C’est pour prononcer des malédictions contre mes ennemis que je t’ai appelé et voici que tu les as bénis jusqu’à passer la mesure ces trois fois. Et maintenant, file chez toi. Je m’étais dit que je t’honorerais sans faute, mais voici que Jéhovah t’a empêché de recevoir l’honneur.” (Nomb. 24:10, 11). Balaam essaya de se disculper. S’il était incapable de maudire Israël, déclara-​t-​il, c’était la faute de Jéhovah, car il ne pouvait “passer outre à l’ordre de Jéhovah” et ‘ce que Jéhovah disait, c’est ce qu’il devait dire’. Alors, après avoir prononcé quelques paroles proverbiales contre les ennemis d’Israël, “Balaam se leva et s’en alla, et il retourna chez lui”. — Nomb. 24:12-25.

      Quand il est dit que Balaam “retourna chez lui”, cela ne signifie pas nécessairement qu’il regagna Péthor. En elles-​mêmes, les paroles de Balaam n’indiquent pas qu’il s’éloigna au delà des abords du mont Péor. Voici ce que dit un commentaire biblique (le Commentary de Cook) au sujet de Nombres 24:25: “Retourna chez lui. Non pas dans son pays, car il resta parmi les Madianites pour tramer un nouveau complot contre le peuple de Dieu, et pour périr dans son péché. (...) Cette expression idiomatique, qui revient souvent (cf. par ex. Gen. xviii. 33,; xxxi. 55; I S xxvi. 25; II S. xix. 39), signifie simplement que Balaam partit là ou il le désirait.”

      Balaam convoitait toujours la forte récompense pour laquelle il était venu de très loin et avait travaillé dur. Il se dit que si lui ne pouvait pas maudire Israël, Dieu appellerait peut-être la malédiction sur son propre peuple si celui-ci pouvait seulement être entraîné à pratiquer le culte phallique du Baal de Péor. Balaam enseigna donc “à Balak à mettre une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël pour qu’ils mangent des choses sacrifiées aux idoles et commettent la fornication”. (Rév. 2:14.) “Par la parole de Balaam”, les filles de Moab et de Madian “ont servi pour entraîner les fils d’Israël à commettre l’infidélité envers Jéhovah, dans l’affaire de Péor, de sorte que le fléau est venu sur l’assemblée de Jéhovah”. (Nomb. 31:16.) Quelles en furent les conséquences? Vingt-quatre mille hommes d’Israël moururent pour leur péché (Nomb. 25:1-9). Toutefois, ni Madian ni Balaam lui-​même n’échappèrent au châtiment divin. Jéhovah ordonna que tous les hommes, les femmes et les garçons de Madian fussent mis à mort; seules les vierges furent épargnées. “Et ils tuèrent par l’épée Balaam, fils de Béor.” (Nomb. 25:16-18; 31:1-18). Quant aux Moabites, l’entrée dans la congrégation de Jéhovah leur fut interdite jusqu’à “la dixième génération”. — Deut. 23:3-6.

  • Baladan
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    • BALADAN

      (il a donné un fils).

      Père de Mérodach-Baladan (És. 39:1; “Bérodach-Baladan” en II Rois 20:12). Mérodach-Baladan, fils de Baladan, régna à Babylone au moins pendant une partie du règne d’Ézéchias sur Juda (745-​716 av. n. è.).

      Dans le passé, certains affirmaient que la mention de Baladan était une erreur, parce que les annales assyriennes de Sargon II indiquaient que Mérodach-Baladan était fils de “Yakin”. Cependant, les

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