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  • Bithynie
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • en mission spéciale en Bithynie, signala dans sa lettre à l’empereur romain la présence de nombreux chrétiens dans la province. Il déclara qu’au début du deuxième siècle, le christianisme n’était ‘pas limité aux seules villes, mais que l’infection s’était propagée dans les villages et les campagnes environnantes’.

      Dans les temps préchrétiens, la région fut gouvernée par une dynastie de rois indépendants, et le dernier, Nicomède IV, la légua à la République romaine en 74 avant notre ère. Aux jours des apôtres, elle était limitée par la Propontide et la Mysie à l’ouest, par l’Asie et la Galatie au sud, et par le Pont à l’est, bien que les Romains lui aient rattaché le Pont pour former une seule province (65-​63 av. n. è.). La Bithynie est une région fertile, en grande partie montagneuse, qui se prête très bien à la culture de la vigne. Au sud, la chaîne de l’Olympe “de Mysie” est couverte d’importantes forêts de chênes, de hêtres, de châtaigniers et de noyers.

  • Bitume
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    • BITUME

      Asphalte minéral noir ou brunâtre désigné en hébreu par trois mots différents. Deux d’entre eux le différencient selon sa consistance: zépheth (poix) est le produit à l’état liquide et ḫêmâr (bitume), à l’état solide. Le troisième terme, kôphér (goudron), indique l’usage qui en était fait: comme enduit appliqué sur des constructions en bois.

      Ni les découvertes qui ont été faites au cours des siècles ni la technologie moderne n’ont fait connaître une substance naturelle plus imperméable et plus résistante à la vermine que ce bitume. En raison de ses qualités, ce produit s’est révélé utile à l’homme avant même le déluge. En effet, lorsque Noé reçut des instructions pour construire l’arche, Dieu lui dit de “l’enduire de goudron en dedans et en dehors”. — Gen. 6:14.

      L’arche de papyrus dans laquelle se trouvait le nouveau-né Moïse et qui flotta parmi les roseaux du Nil était étanche parce qu’elle avait été enduite à la fois “de ce bitume et de poix”. (Ex. 2:3.) Les Égyptiens se servaient du bitume pour assurer l’étanchéité de leurs bateaux, mais peut-être aussi pour embaumer leurs morts.

      Les bâtisseurs de la ville de Babylone constatèrent que le bitume, à la fois imperméable et adhérent, était un mortier très utile pour leurs briques cuites au four. — Gen. 11:3.

      À une certaine époque, la vallée de Siddim, non loin de Sodome et de Gomorrhe, à l’extrémité sud de la mer Morte, était célèbre pour ses “puits de bitume”. (Gen. 14:10.) Encore aujourd’hui, du bitume est rejeté de temps en temps sur la rive, ce qui laisse à penser que Siddim se trouve actuellement sous les eaux de la mer Morte. Le Bitume est une matière inflammable, ce à quoi Ésaïe faisait allusion quand il prophétisa que le pays d’Édom devrait “devenir comme de la poix embrasée”. — És. 34:9.

  • Biziothiah
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    • BIZIOTHIAH

      {Article non traduit.}

  • Biztha
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    • BIZTHA

      {Article non traduit.}

  • Blaireau
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    • BLAIREAU

      {Article non traduit.}

  • Blâme
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    • BLÂME

      Voir MALÉDICTION.

  • Blanc
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    • BLANC

      {Article non traduit.}

  • Blanchisseur
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    • BLANCHISSEUR

      Dans les temps bibliques, celui qui nettoyait les vêtements usagés et qui apprêtait aussi les étoffes neuves en les blanchissant, les rétrécissant et les dégraissant avant de les teindre. Le mot hébreu vient d’un terme qui signifie “fouler aux pieds”, c’est-à-dire laver une étoffe en la foulant aux pieds pour en éliminer la saleté. En grec, le mot utilisé désigne celui qui apprête une étoffe neuve ou qui lave et nettoie des vêtements souillés. — Marc 9:3.

      L’ALCALI

      Le mot hébreu pour alcali est néthér, un carbonate de soude appelé aussi “natron”. On en parle comme de l’“alcali minéral” pour le distinguer de l’“alcali végétal”. Le natron est un carbonate naturel de sodium cristallisé, dont les sous-produits commercialisés sont le carbonate de soude ou les cristaux de soude. Proverbes 25:20 fait allusion à l’effervescence qui résulte du mélange de l’alcali avec un acide faible. Bien que certaines traductions rendent le mot hébreu par “nitre”, il ne faut pas le confondre avec le nitre moderne, appelé aussi salpêtre, qui peut être un nitrate de soude ou de potasse.

      Employé seul ou comme composant du savon, cet alcali est un détergent très puissant, ce qui donne de la force aux paroles de Jéhovah qui, parlant de la gravité du péché d’Israël, déclara: “Quand bien même tu laverais avec de l’alcali et que tu prendrais pour toi de grandes quantités de lessive, ta faute resterait une tache devant moi.” — Jér. 2:22.

      LA LESSIVE

      Le mot hébreu bôrîth, traduit par “lessive” (ou “savon” dans certaines versions), se rapporte à l’“alcali végétal”, ce qui le distingue de néthér, appelé “alcali minéral”. La distinction n’est pas fonction de leur composition chimique, mais plutôt de leur origine différente. Les deux mots figurent en Jérémie 2:22. La lessive de la Bible était du carbonate de soude ou de potasse, selon le genre de cendres d’où on l’obtenait: les cendres de plantes qui poussaient près de la mer, donc sur un sol salin, ou celles de plantes qui poussaient à l’intérieur des terres. On extrayait ce produit chimique des cendres par lessivage ou filtrage à l’eau. Cette lessive est différente du produit moderne du même nom, l’hydroxyde de potasse très caustique. La lessive des anciens blanchisseurs ne servait pas seulement à nettoyer les vêtements (Mal. 3:2), mais aussi à affiner certains métaux, tels que le plomb et l’argent. — És. 1:25.

      LA POTASSE

      Le mot hébreu zâkkak, qui signifie “pur” ou “rendre pur”, est traduit par “potasse” (MN), “savon” (Dh) ou “lessive” (CT) en Job 9:30. Il est question d’utiliser ce produit pour se laver les mains. On pense qu’il s’agissait du carbonate de potasse ou de soude. Pour l’obtenir, on filtrait de la cendre (asch en néerlandais) de bois, puis on faisait bouillir la solution dans un pot (pot en néerl.), d’où le mot “potasse” (potasch, “cendre de pot”, en néerl.).

  • Blasphème
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    • BLASPHÈME

      Forme francisée du grec blasphêmia dont le sens premier est “injure”, propos diffamatoires ou outrageants. On l’employait aussi bien en rapport avec Dieu qu’avec les humains. Cependant, le mot français a généralement un emploi plus limité; il désigne des paroles outrageantes ou irrévérencieuses à l’égard de Dieu ou de choses sacrées. C’est le genre de propos tout à fait contraires à ceux que l’on utilise pour adorer la Personne divine.

      LE BLASPHÈME ET LA LOI

      Les trois premiers commandements des “Dix Paroles” ou Dix Commandements exaltent la position unique de Jéhovah Dieu, le Souverain universel, et son droit exclusif d’être adoré; le troisième donne cet avertissement: “Tu ne dois pas prendre le nom de Jéhovah, ton Dieu, d’une manière futile, car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom d’une manière futile.” (Ex. 20:1-7). La Loi condamnait aussi celui qui appelait le mal sur Dieu ou qui maudissait un chef (Ex. 22:28). Le premier cas de blasphème rapporté ensuite dans les Écritures est celui du fils d’une Israélite mariée à un Égyptien. Au cours d’une rixe avec un Israélite, il “commença à mal parler du Nom et à appeler le mal sur lui”. Jéhovah ordonna qu’on mît à mort le blasphémateur en le lapidant. Il fixa ainsi le châtiment qui devrait être infligé à tout indigène Israélite ou résident étranger qui ‘parlerait mal du nom de Jéhovah’. — Lév. 24:10-16.

      LE BLASPHÈME ET LES CHRÉTIENS

      L’apôtre Paul montra quel était le sens premier de blasphêmia en utilisant le verbe correspondant, blasphêméô, en Romains 2:24 où il cite Ésaïe 52:5 et Ézéchiel 36:20, 21.

      Par blasphémateur, on entend aussi celui qui s’arroge des attributs ou des prérogatives qui appartiennent à Dieu ou qui les prête à une autre personne ou à une chose (comparez avec Actes 12:21, 22). Les conducteurs religieux juifs accusèrent Jésus Christ de blasphème et cherchèrent à le lapider parce qu’il prétendait accorder le pardon des péchés à certaines personnes (Mat. 9:2, 3; Marc 2:5-7; Luc 5:20, 21) et parce qu’il se disait le Fils de Dieu (Jean 10:33-36). Quand il comparut devant le Sanhédrin, Jésus fit connaître le dessein de Dieu à son égard et la position glorieuse qu’il lui réservait. Ce fut le prétexte invoqué par le grand prêtre pour déchirer ses vêtements et accuser Jésus de blasphème, ce qui valut à celui-ci d’être condamné à mort (Mat. 26:63-66; Marc 14:61-64). Comme ils n’étaient pas autorisés par les Romains à exécuter les sentences de mort, les chefs religieux juifs conduisirent Jésus devant Pilate et, agissant avec beaucoup de malice, ils ne l’accusèrent plus de blasphème, mais de sédition. — Jean 18:29 à 19:16.

      Puisque Jésus est le Fils et le représentant direct de Dieu, les paroles outrageantes prononcées contre lui pouvaient être considérées fort justement comme blasphématoires (Luc 22:65). Pareillement, comme l’esprit saint ou force active de Dieu émane de la personne divine et lui est intimement associé, Jésus pouvait parler de “blasphème contre l’esprit”, qu’il définit comme le péché impardonnable (Mat. 12:31; Marc 3:28, 29; Luc 12:10). Puisque, selon Jésus, les blasphèmes naissent dans le cœur (Mat. 15:19; Marc 7:21, 22), les mobiles ou l’état du cœur ainsi que le degré de négligence ou d’obstination en cause doivent avoir un rapport avec le blasphème contre l’esprit. L’incident qui amena Jésus à déclarer impardonnable ce genre de péché montre qu’il consiste à s’opposer à l’action de l’esprit saint, non pas par erreur ou par faiblesse ni à cause de l’imperfection humaine, mais consciemment, délibérément. Les Pharisiens virent clairement l’esprit de Dieu agir sur Jésus, ce qui lui permit d’accomplir de belles œuvres, mais pour des raisons égoïstes ils attribuèrent ce pouvoir à Béelzébub, Satan le Diable, blasphémant ainsi contre l’esprit de Dieu. — Mat. 12:22-32; comparez avec Hébreux 6:4-6; 10:26, 27.

      Comme Jésus, Étienne fut livré au martyre après avoir été accusé de blasphème (Actes 6:11-13; 7:56-58). Avant de devenir l’apôtre Paul, Saul était un blasphémateur et il essayait de forcer les chrétiens à “abjurer” (littéralement à “blasphémer”), mais après être devenu lui-​même un disciple, il dut supporter des propos blasphématoires de la part des Juifs. À Éphèse, certains individus qualifièrent probablement l’enseignement de Paul de blasphématoire pour la déesse païenne Artémis (Diane) (Actes 13:45; 19:37; 26:11; I Tim. 1:13). Quand il exclut Hyménée et Alexandre, Paul les livra “à Satan pour qu’ils apprennent par la discipline à ne pas blasphémer”. (I Tim. 1:20; comparez avec II Timothée 2:16-18.) Jacques montra qu’en tant que classe, les riches avaient tendance à ‘blasphémer le beau nom’ que portaient les disciples (Jacq. 2:6, 7; comparez avec Jean 17:6; Actes 15:14). Dans les “derniers jours”, il devait y avoir beaucoup de blasphémateurs (II Tim. 3:1, 2), ce qu’annonçait également le livre de la Révélation de façon directe ou symbolique. — Rév. 13:1-6; 16:9-11, 21; 17:3.

  • Blastus
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    • BLASTUS

      {Article non traduit.}

  • Blatte
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    • BLATTE

      (ḫâsil, qui dériverait d’une racine hébraïque signifiant “achever”, “consumer”, “retrancher”, “dévorer”).

      On ne sait pas avec certitude quel insecte est désigné par le mot hébreu ḫâsil rendu indifféremment par “criquet”, “sauterelle” ou “blatte”. (Comparez Ésaïe 33:4 et Joël 1:4 dans Dh, TOB et MN.) Selon un lexique hébreu et araméen, celui de Koehler et Baumgartner, l’insecte nuisible désigné par le mot hébreu ḫâsil, probablement la blatte, est différent de l’ʼarbèh, mot généralement traduit par “sauterelle”.

      La blatte a de longues pattes puissantes qui lui permettent de se déplacer à une vitesse surprenante. C’est en fait un des insectes coureurs les plus rapides. Elle a une tête courte et aplatie, équipée de longues antennes filiformes, qui donne l’impression qu’elle regarde toujours vers le sol. Son corps, également très plat, lui permet de se glisser dans des fissures très étroites. La plupart des espèces sont de couleur foncée, noire ou brune, et ont un corps aplati et glissant, enveloppé d’une membrane luisante. N’aimant pas la lumière, les blattes cherchent généralement leur nourriture la nuit. Comme la blatte dévore pratiquement n’importe quoi: végétation, détritus,

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