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  • Amandier
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    • fleurs blanches groupées par deux. En Ecclésiaste 12:5, l’amandier en fleur est utilisé comme une image pour représenter la chevelure blanche du vieillard. Ses feuilles lancéolées ont un pourtour dentelé. Son fruit est oblong et pointu à une extrémité. Les amandes ont toujours été considérées comme un mets délicat. Jacob en donna à ses fils pour qu’ils les emportent comme présent en Égypte où ils retournaient (Gen. 43:11). On en tire une huile précieuse, à raison de quelque 20 kilogrammes pour 45 kilogrammes de fruits.

  • Amariah
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    • AMARIAH

      {Article non traduit.}

  • Amasa
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    • AMASA

      (fardeau, porteur de fardeau).

      Fils d’Abigaïl, sœur de David, et de Jéther (Ithra), et cousin d’Absalom et de Joab (II Sam. 17:25; I Chron. 2:16, 17). Dans le livre de Samuel, Jéther est appelé l’Israélite et, dans celui des Chroniques, l’Ismaélite peut-être. Certains prétendent qu’Amasa est une forme abrégée d’Amasaï, nom d’un des hommes qui se rallièrent à l’armée de David à Ziclag, mais cette identification n’est pas certaine. — I Chron. 12:18.

      Des années plus tard, quand Amasa prit parti pour Absalom dans sa rébellion contre David, Absalom l’établit à la tête de son armée, à la place de Joab (II Sam. 17:25). L’insurrection fut écrasée, et Joab tua Absalom, le fils de David. Celui-ci proposa alors à Amasa de remplacer Joab à la tête de son armée, car, lui fit dire David, “n’es-​tu pas mon os et ma chair?”. — II Sam. 18:9-15; 19:13.

      Une nouvelle rébellion éclata, cette fois à l’instigation de Schéba qui ne voulait avoir aucune part en David (II Sam. 20:1, 2). Le roi donna trois jours à Amasa pour rassembler une armée. Amasa ne s’étant pas présenté au terme du délai fixé, Abischaï reçut l’ordre de prendre avec lui les serviteurs de David et de poursuivre les rebelles. Joab, frère d’Abischaï, et ses hommes partirent avec eux à la poursuite de Schéba. Quand le retardataire Amasa vint à leur rencontre, Joab lui saisit la barbe d’une main, sous le prétexte de lui donner un baiser affectueux, et il l’éventra avec l’épée qu’il tenait de l’autre main (II Sam. 20:4-12). Si Amasa subit là un juste châtiment pour s’être rallié à Absalom, il n’est certainement pas juste qu’il ait été exécuté par Joab. C’est pourquoi David ordonna à Salomon de venger Amasa en faisant mourir Joab. — I Rois 2:5, 32.

  • Amasaï
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    • AMASAÏ

      {Article non traduit.}

  • Amaschsaï
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    • AMASCHSAÏ

      {Article non traduit.}

  • Amasiah
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    • AMASIAH

      (Yah[u] est puissant).

      Roi de Juda. Il monta sur le trône en 858 avant notre ère à l’âge de vingt-cinq ans et il régna pendant vingt-neuf ans, depuis l’assassinat de Joas, son père, jusqu’à sa mort en 829. Sa mère s’appelait Jéhoaddin (Jéhoaddan), et sa femme Jécoliah (II Rois 14:1, 2; 15:2; II Chron. 25:1; 26:3). Quand le royaume fut affermi en sa main, il abattit ceux qui avaient assassiné son père, mais il observa la loi de Moïse qui interdisait de punir leurs fils (II Rois 14:5, 6; Deut. 24:16). Son règne fut marqué par un certain zèle pour le culte pur, mais pas “d’un cœur complet” et non sans certaines fautes graves qui causèrent à la fois son malheur et celui de la nation de Juda. L’histoire a surtout retenu de son règne deux campagnes militaires. — II Chron. 25:2.

      Tout d’abord, Amasiah combattit victorieusement Édom ou Séir avec une armée de 300 000 hommes de Juda et de Benjamin. Il avait également engagé 100 000 mercenaires de la nation d’Israël, mais sur le conseil d’un homme de Dieu, il les paya et les renvoya chez eux avant le combat. Jéhovah donna une victoire écrasante à Amasiah dans la Vallée du Sel, lui permettant de tuer 20 000 ennemis et de capturer la ville de Séla (Petra) qu’il rebaptisa du nom de Jocthéel. Toutefois, Amasiah emporta les dieux de Séir et se mit à les adorer, s’attirant ainsi la colère de Jéhovah qui lui dit: “Pourquoi as-​tu recherché les dieux de ce peuple, qui n’ont pas délivré leur propre peuple de ta main?” Amasiah ne fit qu’aggraver sa faute en faisant taire le prophète de Jéhovah. — II Rois 14:7; II Chron. 25:5-16.

      La deuxième campagne d’Amasiah fut désastreuse du début jusqu’à la fin. Sur le chemin du retour, les 100 000 hommes d’Israël qu’il avait renvoyés firent des incursions dans des villes de Juda. C’est peut-être cela qui incita Amasiah à défier sottement Joas, le roi du puissant royaume du nord. “Viens, lui dit-​il, regardons-​nous en face.” Joas lui répondit qu’il était insensé de la part de l’herbe épineuse d’affronter un grand cèdre du Liban pour finir piétinée par une bête sauvage. Mais Amasiah refusa d’écouter, apparemment parce qu’il était gonflé d’orgueil par sa récente victoire, mais en réalité parce que Jéhovah l’avait voué à la défaite en raison de son idolâtrie. La bataille se déroula à Beth-Schémesch. Juda s’enfuit, et Amasiah fut capturé. Les Israélites du nord ouvrirent une brèche d’environ cent quatre-vingts mètres dans la muraille de Jérusalem et emportèrent à Samarie une grande partie du trésor du temple ainsi que de nombreux otages. — II Rois 14:8-14; II Chron. 25:13, 17-24.

      À partir du moment où Amasiah s’écarta du culte de Jéhovah, on forma une conspiration contre lui, ce qui l’obligea finalement à s’enfuir à Lachis où il fut mis à mort par les conspirateurs. Son fils Azariah (Ozias), alors âgé de seize ans, lui succéda. — II Rois 14:17-21; II Chron. 25:25-28.

  • Amasiah, II
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • AMASIAH, II

      {Article non traduit.}

  • Ambassadeur
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    • AMBASSADEUR

      (gr. presbus, aîné).

      Dans les temps bibliques, les ambassadeurs étaient choisis parmi les hommes âgés et mûrs.

      Jésus Christ est venu en tant qu’“apôtre” ou “envoyé” de Jéhovah Dieu. C’est lui qui “a éclairé la vie et l’incorruptibilité grâce à la bonne nouvelle”. — Héb. 3:1; II Tim. 1:10.

      Une fois que Jésus Christ ne fut plus présent en personne sur la terre, après sa résurrection et son ascension au ciel, ses fidèles disciples furent établis pour le remplacer. Ils devinrent donc des ambassadeurs de Dieu “à la place de Christ”. Paul parle précisément de sa fonction d’ambassadeur (II Cor. 5:18-20). Comme tous les disciples oints de Jésus Christ, il fut envoyé aux nations et aux hommes éloignés de Jéhovah, le Souverain suprême, en tant qu’ambassadeur auprès d’un monde qui n’était pas en paix avec Dieu (Jean 14:30; 15:18, 19; Jacq. 4:4). Comme tel, Paul transmettait un message qui encourageait à la réconciliation avec Dieu par le moyen du Christ. Aussi parlait-​il de lui-​même, alors en prison, comme d’un “ambassadeur dans les chaînes”. (Éph. 6:20.) Son emprisonnement était une preuve de l’hostilité du monde envers Dieu, envers Christ et envers le Gouvernement ou Royaume messianique, car depuis des temps immémoriaux les ambassadeurs étaient considérés comme inviolables. Les nations qui méprisaient ainsi les ambassadeurs du Royaume de Dieu et du Christ révélaient par leur attitude une profonde inimitié et commettaient le pire des affronts.

      Dans son rôle d’ambassadeur, Paul respectait les lois du pays, mais adoptait une attitude de stricte neutralité envers les activités politiques et militaires du monde. Son attitude était conforme au principe selon lequel les ambassadeurs devaient obéir aux lois en vigueur dans le pays où ils étaient envoyés, mais n’étaient pas tenus pour autant de prêter serment d’allégeance au gouvernement de ce pays.

      À l’exemple de l’apôtre Paul, tous les fidèles disciples oints et engendrés de l’esprit, dont la citoyenneté est céleste, sont “ambassadeurs à la place de Christ”. — II Cor. 5:20; Phil. 3:20.

      L’attitude de Dieu envers telle personne sera fonction de la manière dont celle-ci reçoit ses ambassadeurs. Jésus Christ énonça ce principe dans une illustration, celle du propriétaire d’une vigne qui envoya ses esclaves puis son fils pour le représenter auprès des cultivateurs de la vigne. Ceux-ci ayant tué ses envoyés, le propriétaire de la vigne fit venir sur eux la destruction (Mat. 21:33-41). On retrouve ce principe dans une autre illustration de Jésus, celle du roi qui envoie ses esclaves appeler ceux qu’il a invités au festin de mariage, mais qui sont tués par certains de ces derniers. Les individus qui tuèrent les représentants du roi se firent ses ennemis (Mat. 22:2-7). Jésus énonça clairement le principe en question, disant: “Celui qui reçoit quiconque j’envoie, me reçoit aussi. Et celui qui me reçoit, reçoit aussi celui qui m’a envoyé.” — Jean 13:20; voir aussi Matthieu 23:34, 35; 25:34-46.

      Jésus prit aussi comme exemple l’ambassadeur et son activité en faveur de la paix, pour nous faire comprendre la nécessité de solliciter la paix avec Jéhovah Dieu et de renoncer à tout pour suivre les traces de son Fils, afin d’obtenir l’approbation divine et la vie éternelle (Luc 14:31-33). Inversement, il montra combien il est insensé de s’associer à ceux qui envoient des ambassadeurs parler en mal de celui à qui Dieu confère le pouvoir royal (Luc 19:12-14, 27). Les Gabaonites sont, par contre, un bel exemple pour ce qui est de réussir avec habileté à obtenir la paix. — Josué 9:3-15, 22-27.

      LES ENVOYÉS AVANT L’ÈRE CHRÉTIENNE

      Avant l’ère chrétienne, il n’y avait pas de fonction gouvernementale officielle correspondant à celle d’ambassadeur au sens où on l’entend aujourd’hui. Un gouvernement n’avait pas de représentant à demeure dans un pays étranger. C’est pourquoi les mots “messager” et “envoyé” définissent plus exactement les devoirs de ces hommes dans les temps bibliques. Toutefois, leur rang et leur statut étaient, sous de nombreux aspects, comparables à ceux des ambassadeurs. Nous verrons d’ailleurs quelques-uns de ces aspects. Ces hommes étaient des représentants officiels qui transmettaient les messages d’un gouvernement ou d’un chef à un autre.

      Contrairement aux ambassadeurs modernes, ces envoyés ou messagers, qui ne résidaient pas en permanence dans des capitales étrangères, n’étaient dépêchés dans celles-ci que dans des circonstances spéciales et dans des buts bien précis. Il s’agissait souvent de personnages de haut rang (II Rois 18:17, 18) dont la charge était très respectée. C’est pourquoi, lorsqu’ils se rendaient auprès d’autres monarques, leur personne était considérée comme inviolable.

      On estimait que si l’on traitait bien ou mal les messagers ou les envoyés d’un chef, c’étaient en fait ce chef et son gouvernement que l’on traitait de cette manière. Si donc Rahab agit avec bonté envers les espions que Josué avait envoyés à Jéricho, c’était parce qu’elle reconnaissait que Jéhovah était le Dieu et le Roi d’Israël. Par l’entremise de Josué, Jéhovah lui témoigna donc la même bonté (Josué 6:17; Héb. 11:31). Hanun, roi des Ammonites, à qui le roi David avait envoyé quelques-uns de ses serviteurs dans un geste d’amitié, viola de façon flagrante la coutume internationale qui voulait qu’on respectât les envoyés d’un roi. Ayant écouté ses princes, qui accusèrent

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