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  • Hysope
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    • fines sont recouvertes d’un duvet et, rassemblées en bouquet, elles peuvent très bien retenir un liquide et servir à asperger. Le fait que la marjolaine pousse dans les crevasses des rochers et sur les murs concorde tout à fait avec ce que dit I Rois 4:33. Toutefois, certains exégètes qui identifient l’hysope à la marjolaine partout ailleurs dans les Écritures hébraïques avancent que dans ce passage, précisément, l’“hysope qui sort de la muraille” pourrait désigner une fougère, telle que l’asplénium rutamuraria ou l’adiantum (cheveu de Vénus).

      Quand à l’hysope mentionnée en rapport avec la mise au poteau de Jésus Christ (Jean 19:29), on pense qu’il s’agissait du sorgho commun, une plante haute, à petites graines et à feuilles longues et larges. Étant donné qu’en Palestine cette plante atteint couramment une hauteur de deux mètres, elle pouvait fournir une tige ou un “roseau” suffisamment long pour qu’on puisse porter l’éponge imbibée de vin aigre jusqu’à la bouche de Jésus (Mat. 27:48; Marc 15:36). D’autres commentateurs croient que même dans ce cas-​là l’hysope désignerait la marjolaine et qu’il s’agirait d’un bouquet de marjolaine que l’on aurait attaché au bout du “roseau” dont parlent Matthieu et Marc. D’après une autre opinion, Jean 19:29 ne disait pas à l’origine hussôpôï (hysope), mais hussôï (pic, javelot); d’où la traduction “à un javelot”. (Li.)

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    • ICONIUM

      Ancienne ville d’Asie Mineure à environ 1 000 mètres au-dessus du niveau de la mer. La ville moderne, qui a été rebaptisée Konya, se trouve à 240 kilomètres au sud d’Ankara, à la limite sud-ouest du plateau central de la Turquie. Arrosée par les rivières qui descendent des montagnes situées quelques kilomètres à l’ouest, la région se prête à la culture des céréales, de la canne à sucre et du lin. Elle possède aussi beaucoup de jardins et de vergers irrigués. Sous le règne de l’empereur Claude, la ville reçut le nom de Claudiconium, mais il fallut attendre le règne d’Hadrien (IIe siècle de n. è.) pour qu’elle devienne une colonie romaine.

      Au premier siècle de notre ère, Iconium était une des principales villes de la province romaine de Galatie et elle se trouvait sur le plus important axe commercial reliant Éphèse et la Syrie. La population juive qui y vivait avait une grande influence. Paul et Barnabas avaient été forcés de quitter Antioche de Pisidie, aussi vinrent-​ils prêcher dans la ville d’Iconium et dans sa synagogue, et ils aidèrent nombre de Juifs et de Grecs à devenir croyants. Cependant, après qu’on eut tenté de les lapider, ils s’enfuirent à Lystres. Des Juifs d’Antioche et d’Iconium les y suivirent bientôt et excitèrent les foules jusqu’à ce qu’elles aient lapidé Paul. Après cela, Paul et Barnabas partirent à Derbé; puis, avec beaucoup de courage, ils retournèrent à Lystres, à Iconium et à Antioche, affermissant les frères et établissant des “aînés” ou anciens dans chacune des congrégations. — Actes 13:50, 51; 14:1-7, 19-23.

      Par la suite, lorsque la question de la circoncision eut été soulevée et que les apôtres et les anciens de la congrégation de Jérusalem l’eurent réglée, il semble que Paul soit revenu à Iconium. C’est au cours de ce deuxième voyage missionnaire qu’il prit avec lui Timothée, un jeune chrétien au sujet duquel les frères de Lystres et d’Iconium rendaient un bon témoignage. — Actes 16:1-5; II Tim. 3:10, 11.

      Iconium se trouvait à la frontière entre la Phrygie et la Lycaonie. C’est ce qui explique peut-être que certains écrivains du passé, dont Strabon et Cicéron, l’aient située en Lycaonie, alors que Xénophon en a parlé comme de la dernière ville de Phrygie. D’un point de vue géographique, Iconium appartenait à la Lycaonie, mais, ainsi que l’ont montré des découvertes archéologiques, cette ville était phrygienne par sa culture et son parler. Sur le site de la ville, on a découvert en 1910 des inscriptions qui indiquent que deux cents ans après l’époque de Paul on utilisait toujours la langue phrygienne en ce lieu. C’est donc à juste raison que le rédacteur du livre des Actes n’a pas mentionné Iconium parmi les villes où l’on parlait le “lycaonien”. — Actes 14:6, 11.

  • Idalah
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    • IDALAH

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      {Article non traduit.}

  • Iddo
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    • IDDO

      {Article non traduit.}

  • Idole, idolâtrie
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    • IDOLE, IDOLÂTRIE

      Une idole est une image, une représentation quelconque, un symbole matériel ou imaginaire qui est l’objet d’une vénération fervente. Généralement parlant, l’idolâtrie est la vénération, l’amour, le culte ou l’adoration d’une idole. Cet hommage est destiné le plus souvent à une puissance supérieure réelle ou fictive, soit qu’on prête à cette puissance une existence animée (dans le cas d’un dieu humain ou animal, ou encore d’une organisation), soit qu’il s’agisse d’une chose inanimée (une force ou un élément naturel inerte). D’ordinaire, l’idolâtrie suppose des formes précises, des cérémonies ou un rituel.

      TOUTES LES IMAGES NE SONT PAS DES IDOLES

      La loi de Dieu qui interdisait de se faire des images (Ex. 20:4, 5) ne visait pas toutes sortes de représentations et de statues. En effet, Jéhovah ordonna plus tard de fabriquer deux chérubins en or sur le couvercle de l’Arche et de broder des représentations de chérubins sur les dix toiles de tente qui devaient recouvrir l’intérieur du tabernacle et sur le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint (Ex. 25:18; 26:1, 31, 33). De même, l’intérieur du temple de Salomon, dont les plans architecturaux avaient été donnés à David par l’inspiration divine (I Chron. 28:11, 12), était richement orné de sculptures de chérubins, de palmiers et de fleurs. En outre, deux chérubins en bois d’arbre à huile recouverts d’or se tenaient dans le Très-Saint de ce temple (I Rois 6:23, 28, 29). Quant à la mer en métal fondu, elle reposait sur douze taureaux de cuivre, et les parois des chariots de cuivre réservés à l’usage du temple étaient décorées d’images de lions, de taureaux et de chérubins (I Rois 7:25, 28, 29). Enfin, douze lions gardaient les marches qui conduisaient au trône de Salomon. — II Chron. 9:17-19.

      Cependant, ces représentations n’étaient pas l’objet d’un culte idolâtrique. En effet, seuls les prêtres qui officiaient pouvaient voir ces images placées d’abord à l’intérieur du tabernacle, puis à l’intérieur du temple. Le grand prêtre était le seul à entrer dans le Très-Saint, et encore ne le faisait-​il normalement qu’une fois l’an, le Jour des Propitiations (Héb. 9:7). Aussi les Israélites ne risquaient-​ils pas d’être pris au piège, d’être incités à idolâtrer les chérubins en or du sanctuaire. En fait, ces représentations étaient essentiellement là pour servir d’image des chérubins célestes (voir Hébreux 9:24, 25). Étant donné que l’on ne devait pas même adorer les anges en personne, il va sans dire qu’on ne pouvait non plus vénérer leur image. — Col. 2:18; Rév. 19:10; 22:8, 9.

      Parfois, bien entendu, certaines représentations qui n’avaient pas été initialement conçues pour servir d’objets de vénération devinrent des idoles. Ainsi, le serpent de cuivre que Moïse avait fabriqué dans le désert en vint à être adoré, ce qui décida le fidèle roi Ézéchias à le pulvériser (Nomb. 21:9; II Rois 18:1, 4). De même, l’éphod confectionné par le juge Gédéon devint un “piège” pour lui et pour sa maisonnée. — Juges 8:27.

      L’EMPLOI D’IMAGES DANS LE CULTE

      Les Écritures n’approuvent pas l’emploi d’images pour la prière. Une telle pratique s’oppose au principe selon lequel ceux qui cherchent Jéhovah doivent l’adorer avec l’esprit et la vérité (Jean 4:24; II Cor. 4:18; 5:6, 7). Dieu ne tolère pas la fusion des pratiques idolâtriques et du culte pur. À titre de preuve, rappelons qu’il a condamné le culte du veau, bien que les Israélites aient affublé cette idole de son nom (Ex. 32:3-10). Jéhovah ne saurait partager sa gloire avec les images taillées. — És. 42:8.

      Il n’y a pas dans les Écritures un seul texte indiquant que les serviteurs fidèles de Jéhovah aient recouru à de tels supports visibles pour prier Dieu, ni qu’ils leur aient voué un culte relatif de quelque façon que ce soit. Bien sûr, il en est peut-être qui invoqueront à ce propos Hébreux 11:21, où nous lisons ce qui suit, selon la version catholique de Douay (angl.): “Par la foi, Jacob, mourant, bénit chacun des fils de Joseph et adora le sommet de son bâton.” Dans une note en bas de page, cet ouvrage explique que Jacob aurait rendu une vénération et un hommage relatifs au sommet du bâton de Joseph, puis il ajoute ce commentaire: “Certains traducteurs, qui ne sont pas favorables à cette idée d’honneur relatif, ont dénaturé le texte en le traduisant ainsi: Il adora, appuyé sur le sommet de son bâton.” (Voir Crampon, édition de 1904, et note en bas de page). Toutefois, loin d’être une altération du texte, comme le prétend l’ouvrage précité, cette leçon s’accorde avec le sens du texte hébreu de Genèse 47:31, et elle a été adoptée, à quelques variantes près, par bon nombre de traductions catholiques, dont la Bible de Jérusalem.

      LES RITES IDOLÂTRIQUES

      Parmi les pratiques idolâtriques révoltantes dont la Bible parle figurent la prostitution cérémonielle, les sacrifices d’enfants, l’ivrognerie et des séances de mortification où les adorateurs se lacéraient jusqu’au sang (I Rois 14:24; 18:28; Jér. 19:3-5; Osée 4:13, 14; Amos 2:8). On vénérait les idoles en partageant avec elles la nourriture et la boisson (Ex. 32:6; I Cor. 8:10), en s’inclinant devant elles et en leur offrant des sacrifices, par des chants et des danses, voire en les embrassant (Ex. 32:8, 18, 19; I Rois 19:18; Osée 13:2). Parfois, l’acte d’idolâtrie consistait à dresser une table et à y disposer de la nourriture et de la boisson pour les faux dieux (És. 65:11), à leur offrir des libations, ainsi que de la fumée et des gâteaux sacrificiels (Jér. 7:18; 44:17), et à pleurer à l’occasion de certaines cérémonies religieuses (Ézéch. 8:14). Si la Loi interdisait aux Israélites de se faire des tatouages, des entailles dans la chair ou une calvitie artificielle sur le front, de couper les côtés de leur chevelure et de détruire l’extrémité de leur barbe, c’est peut-être parce que ces pratiques étaient associées aux rites idolâtriques des peuples voisins. — Lév. 19:26-28; Deut. 14:1.

      Il existe enfin des formes d’idolâtrie plus sournoises. Ainsi, la convoitise est une idolâtrie (Col. 3:5), car l’objet des désirs de l’homme avide détourne son affection du Créateur et devient par là même son idole. Au lieu de servir fidèlement Jéhovah, quelqu’un peut en arriver à être esclave de son ventre, c’est-à-dire de son désir ou de ses appétits charnels, et à faire de lui son dieu (Rom. 16:18; Phil. 3:18, 19). Puisque c’est par l’obéissance qu’on montre son amour pour Jéhovah (I Jean 5:3), ceux qui se rebellent et vont présomptueusement de l’avant commettent des actes comparables à l’idolâtrie. — I Sam. 15:22, 23.

      L’IDOLÂTRIE AVANT LE DÉLUGE

      L’idolâtrie n’a pas pris naissance dans le monde visible, mais dans les sphères invisibles. Un esprit glorieux a laissé croître en lui le désir avide de ressembler au Très-Haut. Sa convoitise était si puissante qu’elle a supplanté l’amour qu’il avait pour Jéhovah, son Dieu; son idolâtrie l’a poussé à se rebeller. — Job 1:6-11; I Tim. 3:6; voir Ézéchiel 28:13-15, 17.

      Pareillement, Ève est devenue la première idolâtre humaine en convoitant le fruit défendu, cultivant ainsi un mauvais désir qui allait l’amener à enfreindre le commandement divin. En laissant un désir égoïste entrer en concurrence avec son amour pour Jéhovah, puis en désobéissant à Dieu, Adam se rendit à son tour coupable d’idolâtrie. — Gen. 3:6, 17.

      Depuis la rébellion en Éden, seule une minorité d’humains s’est tenue à l’écart de l’idolâtrie. D’ailleurs, pendant la vie d’Énosch, petit-fils d’Adam, il semble que les hommes se mirent à la pratiquer ouvertement. “En ce temps-​là, dit la Bible, on commença à invoquer le nom de Jéhovah.” (Gen. 4:26). Mais cela ne signifie pas qu’on se mit alors à invoquer Jéhovah avec foi. En effet, le juste Abel avait déjà agi ainsi bien des années plus tôt, au point même de mourir en martyr, assassiné par son frère Caïn (Gen. 4:4, 5, 8). Apparemment donc, Énosch vit plutôt la naissance d’une forme de faux culte dans laquelle on faisait selon toute vraisemblance un mauvais usage ou une application incorrecte du nom de Jéhovah. Peut-être les hommes se sont-​ils octroyé le nom de Dieu ou l’ont-​ils donné à d’autres humains (par l’entremise desquels ils prétendaient s’approcher de Dieu), ou bien ils ont appliqué ce nom à des objets qui leur servaient d’idoles (c’est-à-dire de supports visibles et palpables pour tenter d’adorer le Dieu invisible).

      La Bible ne révèle pas dans quelle mesure on a pratiqué l’idolâtrie depuis l’époque d’Énosch jusqu’au déluge. Quoi qu’il en soit, la situation a dû se détériorer progressivement, si bien qu’aux jours de Noé “Jéhovah vit que la malice de l’homme était abondante sur la

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