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Idole, idolâtrieAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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annonçaient qu’on ferait terriblement pression sur tous les habitants de la terre pour qu’ils adorent la “bête sauvage” symbolique et son “image”. Aucun de ceux qui continuent à pratiquer un tel culte idolâtrique ne recevra de Dieu la vie éternelle. “C’est ici que doit se montrer l’endurance des saints.” — Rév. 13:15-17; 14:9-12.
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Idoles (Viande offerte aux)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IDOLES (VIANDE OFFERTE AUX)
Les païens du premier siècle avaient coutume d’offrir de la viande aux idoles. Certaines parties de la victime sacrificielle étaient déposées sur l’autel, une part allait aux prêtres et le reste revenait aux adorateurs, qui le mangeaient lors d’un repas ou d’un festin, dans le temple ou en privé. Cependant, à cause d’un besoin d’argent ou par appât du gain, il arrivait souvent que les gens revendent des morceaux de cette viande sur le makkellon ou marché aux viandes.
Avant de devenir chrétiens, beaucoup mangeaient les viandes offertes aux idoles avec un sentiment de vénération pour l’idole (I Cor. 8:7). En faisant cela, ces anciens païens s’étaient associés au dieu démon que l’idole représentait (I Cor. 10:20). Avec juste raison, le collège central de la congrégation chrétienne primitive, guidé par l’esprit saint, envoya de Jérusalem une lettre qui condamnait la consommation rituelle des viandes offertes aux idoles; le but était de préserver ainsi les chrétiens d’une forme d’idolâtrie. — Actes 15:19-23, 28, 29.
Pour des chrétiens comme ceux de la ville païenne de Corinthe, cette coutume soulevait un certain nombre de questions. Pouvaient-ils, en toute bonne conscience, entrer dans un temple païen et manger de la viande s’ils ne la mangeaient pas dans le but d’honorer l’idole? Y avait-il une objection à ce qu’on achète sur le makkellon des viandes qui avaient été offertes aux idoles? Enfin, que devait faire le chrétien lorsqu’il était invité à un repas?
Sous l’inspiration divine, Paul donna aux chrétiens de Corinthe des instructions qui venaient à point nommé pour les aider à prendre de bonnes décisions. Voici la teneur de ces instructions: Même si “une idole n’est rien”, il ne conviendrait pas qu’un chrétien entre dans un temple pour manger de la viande, car des personnes spirituellement faibles qui le verraient risqueraient de mal interpréter sa conduite. Elles en déduiraient peut-être que le chrétien adore l’idole, et cela pourrait les faire trébucher ou les inciter à manger de la viande sacrifiée aux idoles au cours de cérémonies religieuses, ce qui irait directement à l’encontre du décret pris par le collège central. Le chrétien qui mangerait de la viande au temple courrait également le danger de violer sa propre conscience et de se laisser aller à rendre un culte à l’idole. — I Cor. 8:1-13.
Puisque le fait qu’elle ait été offerte à une idole ne changeait rien à la viande elle-même, le chrétien pouvait en toute bonne conscience l’acheter sur un marché qui était en partie approvisionné par les temples. Cette viande avait perdu sa signification “sacrée”. Elle était aussi comestible qu’une autre, et le chrétien n’était donc pas obligé d’en rechercher la provenance.
De même, le chrétien qui était invité à un repas pouvait manger de la viande en toute tranquillité de conscience, sans s’inquiéter du lieu où on l’avait achetée. Toutefois, si un autre convive faisait remarquer que la viande avait été “offerte en sacrifice”, alors le chrétien s’abstiendrait de la manger pour ne pas être une cause d’achoppement. — I Cor. 10:25-29.
Les paroles que le Christ glorifié adressa à Jean au sujet des congrégations de Pergame et de Thyatire indiquent que certains chrétiens ne respectaient pas le décret apostolique disant de se garder pur des choses sacrifiées aux idoles. — Rév. 2:12, 14, 18, 20.
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IduméeAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IDUMÉE
(gr. “[pays] des Édomites”).
Du temps des Maccabées et des Romains, les frontières géographiques de l’Idumée n’englobaient pas le cœur de l’ancien pays d’Édom, à l’est de l’Arabah, mais seulement une partie du territoire qui avait appartenu jadis aux tribus de Siméon et de Juda. D’après le premier livre apocryphe des Maccabées (4:29, 61; 5:65, Jé), l’Idumée incluait la région d’Hébron, jusqu’au nord de Beth-Zur, à 26 kilomètres au sud-sud-ouest de Jérusalem. On lit aussi que Judas Maccabée infligea une défaite cuisante aux Iduméens (I Maccabées 5:3). Selon Josèphe, Jean Hyrcan soumit plus tard tous les Iduméens et leur permit de rester dans le pays à la condition qu’ils acceptent de se faire circoncire et d’observer la loi juive. Plutôt que de quitter le pays, les Iduméens préférèrent se plier à ces conditions (Histoire ancienne des Juifs, liv. XIII, chap. XVII, par. 2). Il y avait des habitants de l’Idumée parmi les gens qui vinrent vers Jésus après avoir appris “combien de choses il faisait”. — Marc 3:8; voir ÉDOM, ÉDOMITES.
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IézerAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IÉZER
{Article non traduit.}
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IgalAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IGAL
{Article non traduit.}
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IgdaliahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IGDALIAH
{Article non traduit.}
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IimAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IIM
{Article non traduit.}
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IjonAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IJON
{Article non traduit.}
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IkkeschAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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IKKESCH
{Article non traduit.}
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IlaïAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ILAÏ
{Article non traduit.}
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ÎleAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ÎLE
Le mot hébreu ʼi (pluriel ʼiyyim) ne désigne pas seulement une terre beaucoup plus petite qu’un continent et entièrement entourée d’eau (És. 11:11; 24:15), mais aussi la terre sèche (És. 42:15) ou le(s) pays côtier(s) (És. 20:6; 23:2, 6; Jér. 2:10). Au sens figuré, ʼi désigne également les habitants des îles ou des pays côtiers (Gen. 10:5, NW, éd. de 1953, note en bas de page; Da; És. 49:1; 51:5; 59:18; 60:9, NW, éd. de 1958, notes en bas de page). Par “îles”, on entend parfois aussi les parties les plus reculées de la terre et leurs habitants (És. 41:5; 66:19; Ézéch. 39:6). Ainsi, rien n’est trop éloigné ni trop isolé, comme les îles de la mer, pour échapper aux conséquences du tremblement de terre symbolique qui dévastera Babylone la Grande (Rév. 16:18-21; voir Révélation 6:12-14). Du point de vue de Dieu, toutes les îles ne sont qu’“une fine poussière”. — És. 40:15.
Parmi les îles nommément désignées dans la Bible, citons Chypre (Actes 13:4-6), Cos et Rhodes (Actes 21:1), la Crète (Actes 27:7), Cauda (Actes 27:16), Malte (Actes 28:1) et Patmos. — Rév. 1:9.
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IllégitimeAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ILLÉGITIME
Non conforme à la loi. Le mot hébreu traduit par enfant illégitime est mamzér. D’étymologie incertaine, il est peut-être apparenté à un terme arabe qui signifie “corrompu, impur, pollué”, et désignerait donc le côté impur ou corrompu des relations qui sont à l’origine de la naissance d’un tel enfant.
En Deutéronome 23:2, la Loi dit: “Aucun fils illégitime ne pourra entrer dans la congrégation de Jéhovah. Même à la dixième génération aucun des siens ne pourra entrer dans la congrégation de Jéhovah.” Puisque le chiffre dix désigne la plénitude, ce qui est complet, par “dixième” génération il faut entendre que
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