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  • Hadadrimmon
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    • Méguiddo (Zach. 12:11). Hadadrimmon est souvent identifié à Rummâné, à environ sept kilomètres au sud-sud-est de Méguiddo.

      La ‘grande lamentation’ de Hadadrimmon, lamentation dont parle la prophétie de Zacharie, est peut-être une allusion aux plaintes qui accompagnèrent la mort du roi Josias, tué en bataille à Méguiddo (II Rois 23:29; II Chron. 35:24, 25). Les paroles que Jéhovah prononça par l’entremise de Zacharie font partie d’une prophétie sur le Messie, ou le deuil mené sur un fidèle roi de Juda a logiquement valeur d’illustration prophétique. — Comparez Jean 19:37; Révélation 1:7 avec Zacharie 12:10-14.

  • Hadar
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    • HADAR

      {Article non traduit.}

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    • HADASCHAH

      {Article non traduit.}

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    • HADASSAH

      Voir ESTHER.

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    • HADÈS

      Telle est la transcription française courante du mot grec hadês, qui signifie littéralement “lieu invisible”. En tout et pour tout, le mot Hadès apparaît dix fois dans les manuscrits les plus anciens des Écritures grecques chrétiennes. — Mat. 11:23; 16:18; Luc 10:15; 16:23; Actes 2:27, 31; Rév. 1:18; 6:8; 20:13, 14.

      Les traducteurs de la Septante, version grecque des Écritures hébraïques (de la Genèse à Malachie), employèrent le mot Hadès soixante-treize fois, dont soixante fois pour rendre l’hébreu sheʼôl, habituellement transcrit “Schéol”. Luc, rédacteur inspiré du livre des Actes, montra sans équivoque que l’Hadès était bien l’équivalent grec du Schéol lorsqu’il traduisit la citation que Pierre avait faite de Psaume 16:10 (Actes 2:27). Réciproquement, neuf traductions hébraïques modernes des Écritures grecques chrétiennes rendent Hadès par “Schéol” en Révélation 20:13, 14, tandis que la version syriaque emploie le terme apparenté Shiûl.

      Chaque fois qu’il est employé dans les Écritures grecques chrétiennes, le terme Hadès est associé à la mort, soit par le verset lui-​même, soit par le contexte immédiat, hormis dans les deux cas exposés au paragraphe suivant. L’Hadès n’est ni une tombe individuelle (gr. taphos), ni un tombeau (gr. mnêma), ni un tombeau commémoratif (gr. mnêméion), mais la tombe commune à l’humanité, où les morts, ensevelis, deviennent invisibles pour les vivants. Ce terme a donc la même signification que son équivalent Schéol, comme en témoigne l’examen des dix passages où il est employé.

      Dans le premier de ces textes, en Matthieu 11:23, Jésus, réprimandant Capernaüm pour son manque de foi, utilise le mot Hadès pour illustrer le degré d’abaissement que cette ville atteindrait, par opposition à la hauteur du ciel, hauteur à laquelle elle prétendait s’élever. Un passage parallèle se trouve en Luc 10:15. On notera un emploi similaire du mot Schéol en Job 11:7, 8.

      JÉSUS ET SA CONGRÉGATION EN SONT DÉLIVRÉS

      En Matthieu 16:18, Jésus dit: “les portes de l’Hadès [“la Puissance de la mort”, TOB] n’auront pas raison” de la congrégation chrétienne. De même, à l’article de la mort, le roi Ézéchias s’exclama: “Au milieu de mes jours j’entrerai dans les portes du Schéol.” (És. 38:10). Manifestement donc, quand Jésus promit la victoire sur l’Hadès, il voulait dire que ses “portes” s’ouvriraient pour relâcher les chrétiens au moyen d’une résurrection, tout comme il en fit lui-​même l’expérience.

      Puisque le mot Hadès désigne la tombe commune de toute l’humanité, c’est-à-dire un endroit plutôt qu’une condition, Jésus entra par les “portes de l’Hadès” lorsque Joseph d’Arimathée l’ensevelit. Le jour de la Pentecôte de l’an 33, Pierre dit à son sujet: “Il n’a pas été abandonné à l’Hadès et (...) sa chair non plus n’a pas vu la corruption. Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité: ce dont nous, nous sommes tous témoins.” (Actes 2:25-27, 29-32; Ps. 16:10). Alors que les “portes de l’Hadès” (Mat. 16:18) retenaient toujours David à l’époque de Pierre (Actes 2:29), elles s’étaient ouvertes toutes grandes pour Jésus Christ lorsque son Père l’en ressuscita. Depuis lors, grâce au pouvoir qui lui a été donné de ressusciter les morts (Jean 5:21-30), Jésus détient “les clés de la mort et de l’Hadès”. — Rév. 1:17, 18.

      AU SENS FIGURÉ

      Dans l’image dépeinte en Révélation 6:8, l’Hadès suit de près la Mort personnifiée, qui monte le cheval blême, pour accueillir les victimes de la guerre, de la famine, des plaies et des bêtes sauvages meurtrières.

      La mer (qui s’est parfois faite tombe) est mentionnée en plus de l’Hadès, qui est dans ce cas la tombe commune de terre. Cela souligne que, lorsque Révélation 20:13, 14 dit que la mer, la mort et l’Hadès doivent rendre les morts qui s’y trouvent ou en être vidés, ce sont bien tous les morts qui sont concernés. Après quoi la mort et l’Hadès (mais pas la mer) sont jetés dans “le lac de feu”, “la seconde mort”. C’est ainsi qu’ils ‘périssent’ à leur tour, ce qui représente la fin de l’Hadès (ou Schéol), la tombe commune de l’humanité, et celle de la mort héritée d’Adam.

      Enfin, le mot Hadès se trouve en Luc 16:22-26, dans le passage relatif à “l’homme riche” et à “Lazare”. Tout montre que ce récit utilise un langage allégorique et que, compte tenu de tous les passages examinés précédemment, il n’est pas à prendre au sens littéral. Il est toutefois bon de remarquer que l’“homme riche” de la parabole dut “enterré” dans l’Hadès, ce qui vient encore prouver que ce dernier n’est pas autre chose que la tombe commune de l’humanité.

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      {Article non traduit.}

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  • Haie
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    • HAIE

      Les vergers et les vignes étaient généralement clôturés par des haies d’épines destinées à les protéger contre les voleurs et contre les ravages causés par les animaux (És. 5:5). Les Écritures emploient l’expression ‘dresser une haie’, dans un sens figuré, pour évoquer la protection (Job 1:10). Par ailleurs, le verbe ‘enclore’, c’est-à-dire entourer d’une haie, signifie parfois élever des obstacles ou des barrières pour placer un individu, ou même une nation, dans une situation d’impuissance ou d’abandon sans issue (Job 3:23; Osée 2:6; voir Job 19:8; Lamentations 3:7-9). Faisant allusion à la corruption qui régnait chez les Israélites de son époque, Michée écrivit que “le plus droit [d’entre eux] est pire qu’une haie d’épines”, autrement dit piquant, néfaste et blessant. — Michée 7:4; voir RONCES, HAIE DE RONCE.

  • Haine
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    • HAINE

      Dans les Écritures, le mot “haine” recouvre une gamme de sentiments. Il peut dénoter une hostilité intense, une malveillance durable souvent accompagnée de méchanceté. Cette forme de haine peut devenir dévorante au point d’inciter à nuire à la personne haïe. Le mot “haine” peut aussi signifier une forte aversion, mais sans intention de causer du tort à celui qui en est l’objet, suscitant, au contraire, le désir de l’éviter en raison du sentiment de dégoût qu’il inspire. La Bible emploie aussi le mot “haine” dans le sens d’aimer à un moindre degré (Gen. 29:31, 33; Deut. 21:15, 16). Ainsi, Jésus Christ déclara: “Si quelqu’un vient à moi et ne hait pas son père, et sa mère, et sa femme, et ses enfants, et ses frères et ses sœurs, et jusqu’à sa propre âme, il ne peut être mon disciple.” (Luc 14:26). Il est évident que Jésus ne voulait pas dire que ses disciples devaient éprouver de l’hostilité ou de l’aversion à l’égard de leurs familles ou d’eux-​mêmes, ce qui viendrait contredire le reste des Écritures. — Voir Marc 12:29-31; Éphésiens 5:28, 29, 33.

      La loi que Dieu donna à Israël stipulait: “Tu ne devras pas haïr ton frère en ton cœur.” (Lév. 19:17). Une des conditions requises pour qu’un homme puisse se présenter comme un meurtrier involontaire et recevoir protection dans une ville de refuge était qu’il n’ait pas nourri de haine envers sa victime. — Deut. 19:4, 11-13.

      FAUT-​IL HAÏR SES ENNEMIS?

      Le conseil de Jésus d’aimer ses ennemis est en parfaite harmonie avec l’esprit des Écritures hébraïques (Mat. 5:44). Le fidèle Job reconnaissait qu’il aurait mal agi s’il s’était réjoui méchamment des malheurs qui frappaient celui qui le haïssait profondément (Job 31:29). La Loi mosaïque commandait aux Israélites de venir en aide à leurs compatriotes même s’ils les considéraient comme leurs ennemis (Ex. 23:4, 5). Il est conseillé aux serviteurs de Dieu, non de se réjouir des malheurs qui affectent un ennemi, mais d’agir comme suit: “Si celui qui te hait a faim, donne-​lui du pain à manger; et s’il a soif, donne-​lui de l’eau à boire.” — Prov. 24:17, 18; 25:21.

      L’idée qu’il fallait haïr ses ennemis était une des choses que les enseignants juifs de la tradition avaient ajoutées à la loi de Dieu. Comme la Loi ordonnait aux Israélites d’aimer leur prochain (Lév. 19:18), ces enseignants en avaient déduit qu’il fallait haïr ses ennemis. On en vint à penser que les termes “ami” et “prochain” s’appliquaient exclusivement aux gens de race juive, tandis que tous les autres étaient considérés comme des ennemis naturels. Étant donné le sens que ces enseignants donnaient traditionnellement au mot “prochain” et compte tenu de la haine et de l’hostilité notoires qu’ils nourrissaient pour les non-Juifs ou Gentils, il est facile de voir pourquoi ils ajoutèrent, sans y être autorisés, les mots “et haïr ton ennemi” au commandement contenu dans la loi de Dieu. — Mat. 5:43.

      Le chrétien, par contre, est dans l’obligation d’aimer ses ennemis, c’est-à-dire ceux qui se font ses ennemis personnels. Cet amour (gr. agapê) n’est pas à confondre, comme beaucoup le font, avec la sentimentalité qui ne repose que sur un attachement personnel. C’est un sentiment d’ordre moral ou social, fondé sur le consentement réfléchi de la volonté, par rapport aux principes, au devoir et aux convenances, un amour qui recherche sincèrement le bien des autres, selon la justice. L’agapê (amour) transcende les haines personnelles; il ne leur permet jamais de nous entraîner à renoncer aux principes justes et à rendre la pareille. Quant à ceux qui s’opposent à la voie du chrétien et qui le persécutent par ignorance, le serviteur de Dieu priera même pour eux afin que leurs yeux puissent s’ouvrir à la vérité concernant Dieu et son dessein. — Mat. 5:44.

      LA HAINE QUI EST JUSTIFIÉE

      Cependant, la haine est légitime dans certaines circonstances et à certains moments. “Il y a (...) un temps pour aimer et un temps pour haïr.” (Eccl. 3:1, 8). Même de Jéhovah il est dit qu’il haïssait Ésaü (Mal. 1:2, 3). Mais ce n’était pas là une attitude arbitraire de sa part. Ésaü se montra indigne de l’amour de Jéhovah en méprisant son droit d’aînesse. En le vendant, il fit en même temps peut de cas des promesses divines et des bénédictions qui s’y rattachaient. Qui plus est, il projetait de tuer son frère Jacob (Gen. 25:32-34; 27:41-43; Héb. 12:14-16). Dieu hait également les yeux altiers, la langue mensongère, les mains qui versent le sang innocent, le cœur qui forge des projets nuisibles, les pieds qui ont hâte de courir au mal, le faux témoin, quiconque sème des disputes entre frères, en somme, toute personnes et toute chose en opposition avec lui et avec ses justes lois. — Prov. 6:16-19; Deut. 16:22; És. 61:8; Zach. 8:17; Mal. 2:16.

      En conséquence, par fidélité envers Jéhovah, ses serviteurs haïssent et ce qu’il hait de ceux qui le haïssent (II Chron. 19:2; Ps. 139:21, 22). Mais cette haine ne s’accompagne pas du désir de nuire et elle n’est pas synonyme de rancune ou de malveillance. Elle consiste plutôt à avoir en horreur ce qui est méchant et à éviter ce qui est mal et ceux qui haïssent profondément Jéhovah (Rom. 12:9, 17, 19). Les chrétiens ont une haine légitime pour les ennemis confirmés de Dieu, tels que le Diable et ses démons, ainsi que pour les hommes qui ont délibérément et en connaissance de cause pris position contre Jéhovah.

      Alors qu’ils n’éprouvent aucun amour pour les personnes qui changent la faveur imméritée de Dieu en prétexte d’inconduite, les chrétiens ne haïssent pas celles qui sont tombées dans le péché, mais qui méritent qu’on leur fasse miséricorde. Ils haïssent non pas le pécheur repentant, mais sa mauvaise action, oui, “jusqu’au vêtement de dessous sali par la chair”. (Jude 4, 23.) En outre, ceux qui autrefois se haïssaient rejettent un tel sentiment lorsqu’ils deviennent chrétiens (Tite 3:3). Celui qui hait son frère marche encore dans les ténèbres et, s’il prétend aimer Dieu, il ment. Sa haine envers son frère équivaut à un homicide. — I Jean 2:9, 11; 4:20; 3:15.

      La sentimentalité peut nous faire adopter un point de vue déséquilibré sur l’amour et la haine, comme cela arriva apparemment à David en ce qui concernait son fils Absalom (II Sam. 18:33; 19:1-6). De même, “celui qui retient sa baguette hait son fils, mais celui qui l’aime qui le cherche avec discipline”. — Prov. 13:24.

      En respectant la vie privée des autres et en faisant preuve de considération à leur égard, on peut éviter de devenir inutilement l’objet de leur haine. D’où ce conseil: “Fais que ton pied soit rare dans la maison de ton semblable, pour qu’il n’ait pas son content de toi et ne te haïsse point.” — Prov. 25:17.

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