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  • Emmanuel
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    • parce que Jéhovah ne voulait pas que l’attention des générations postérieures fût détournée du Grand Emmanuel qui devait, lui, apparaître comme un signe du ciel. En faisant venir sur la terre son Fils bien-aimé en tant que Messie, “postérité” promise (Gen. 3:15) et héritier légal du trône de David, Jéhovah fournissait le meilleur signe qui soit pour montrer qu’il n’avait abandonné ni l’humanité ni l’alliance du Royaume. Jésus pouvait donc, mieux que quiconque, porter le titre d’Emmanuel, car sa présence même constituait un signe du ciel. Lorsque ce représentant principal de Dieu se trouvait parmi les hommes, Matthieu, divinement inspiré, put déclarer avec juste raison: “Avec nous est Dieu.”

  • Emmaüs
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    • EMMAÜS

      Village vers lequel se dirigeaient Cléopas et un autre disciple quand Jésus Christ matérialisé les rejoignit le jour de sa résurrection. Toutefois, ils ne reconnurent Jésus que lorsqu’il se fut “étendu à table avec eux”, après leur arrivée à Emmaüs. Le soir même, dès que Jésus disparut de devant eux, les deux disciples s’en retournèrent à Jérusalem (Luc 24:13-33). On ne connaît pas exactement l’emplacement d’Emmaüs.

  • Empan
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    • EMPAN

      Mesure de longueur qui représentait approximativement l’intervalle compris entre l’extrémité du pouce et celle du petit doigt, lorsque la main est ouverte (Ex. 28:16; 39:9; I Sam. 17:4; Ézéch. 43:13). Deux empans équivalent à une coudée, et trois palmes, à un empan. Les faits indiquent que la coudée généralement utilisée par les Israélites mesurait 44,5 centimètres de long (voir COUDÉE). En conséquence, un empan devait mesurer 22,25 centimètres.

      Mettant l’accent sur la grandeur de Jéhovah, le prophète Ésaïe dit: “Qui a (...) pris à l’empan les dimensions des cieux?” — És. 40:12.

  • Énaïm
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    • ÉNAÏM

      {Article non traduit.}

  • Énam
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    • ÉNAM

      {Article non traduit.}

  • Énan
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    • ÉNAN

      {Article non traduit.}

  • Encens
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    • ENCENS

      Gomme-résine aromatique qui brûle lentement en répandant un parfum. Les mots hébreux qetôréth et qetôrah viennent de la racine qâtar qui signifie ‘brûler, fumiger ou fumer, particulièrement en faisant brûler du bois odoriférant ou des épices; faire de la fumée sacrificielle ou faire monter des sacrifices en fumée’. L’équivalent dans les Écritures grecques chrétiennes est thumiama, de thumiaô.

      L’encens sacré prescrit pour l’utilisation dans le Tabernacle, au désert, se composait de produits coûteux offerts par la congrégation (Ex. 25:1, 2, 6; 35:4, 5, 8, 27-29). À propos des quatre ingrédients qui entraient dans la composition de ce mélange, Jéhovah dit à Moïse: “Procure-​toi des parfums: des gouttes de stacté, et de l’onyx, et du galbanum parfumé, et de l’oliban pur. De chacun il devra y avoir la même portion. Et tu devras en faire un encens, un mélange d’aromates, œuvre de fabricant d’onguents, salé, pur, quelque chose de saint. Et tu devras en piler une partie en poudre fine et en mettre une partie devant le Témoignage dans la tente de réunion, où je me présenterai à toi. Ce devra être pour vous une chose très sainte.” Puis, pour faire bien comprendre aux Israélites le caractère exclusif et sacré de l’encens, Jéhovah ajouta: “Quiconque en fait de semblable pour en humer l’odeur devra être retranché de son peuple.” — Ex. 30:34-38; 37:29.

      Plus tard, les rabbins ajoutèrent d’autres ingrédients à l’encens du temple, treize épices au parfum agréable, selon Josèphe (La guerre des Juifs, liv. V, chap. XIV, par. 11). Selon Maimonide, ces épices comprenaient de l’ambre, de la casse, du cinnamome, de la myrrhe, du safran et du nard.

      À l’extrémité occidentale de la partie du Tabernacle appelée Saint, près du rideau qui la sépare du Très-Saint, se trouvait “l’autel de l’encens”. (Ex. 30:1; 37:25; 40:5, 26, 27.) Il y avait aussi un autel de l’encens similaire dans le temple de Salomon (I Chron. 28:18; II Chron. 2:4). Matin et soir, on faisait brûler de l’encens sacré sur ces autels (Ex. 30:7, 8; II Chron. 13:11). Une fois l’an, le jour des Propitiations, le grand prêtre prenait des charbons de dessus l’autel, charbons qu’il mettait dans un encensoir ou porte-feu, puis muni de cet ustensile et de deux poignées d’encens, il entrait dans le Très-Saint où il faisait fumer l’encens devant le propitiatoire de l’arche du Témoignage. — Lév. 16:12, 13.

      À l’origine, le grand prêtre Aaron offrait l’encens sur l’autel (Ex. 30:7). Puis son fils Éléazar se vit confier la surveillance de l’encens et des autres ustensiles du Tabernacle (Nomb. 4:16). Il semble que brûler l’encens, sauf le jour des Propitiations, ne fut pas un privilège exclusivement réservé au grand prêtre, puisqu’il est question du prêtre Zacharie (père de Jean le Baptiseur) qui accomplit ce service (Luc 1:8-11). Peu de temps après l’institution du service au Tabernacle, les fils d’Aaron, Nadab et Abihu, furent frappés à mort par Jéhovah pour avoir tenté d’offrir de l’encens au moyen d’“un feu irrégulier”. (Lév. 10:1, 2; comparez avec Exode 30:9; voir ILLÉGITIME.) Plus tard, Coré et 250 autres, tous Lévites, mais non de la lignée sacerdotale, se rebellèrent contre la prêtrise aaronique. Pour les mettre à l’épreuve, Moïse leur dit de se procurer des porte-feu et d’y brûler de l’encens à l’entrée du Tabernacle, et Jéhovah indiquerait s’il les reconnaissait pour ses prêtres. Le groupe périt en pleine action, chacun avec son porte-feu dans la main (Nomb. 16:6, 7, 16-18, 35-40). Notons aussi que le roi Ozias fut frappé de lèpre pour avoir tenté présomptueusement de brûler de l’encens dans le temple. — II Chron. 26:16-21.

      Avec le temps, les Israélites se mirent à négliger le culte imposé par Jéhovah, à tel point qu’ils firent fermer le temple et brûlèrent de l’encens sur d’autres autels (II Chron. 29:7; 30:14). Chose plus grave, ils brûlèrent de l’encens à d’autres dieux devant lesquels ils se prostituèrent, et ils désacralisèrent le saint encens d’autres façons, tout cela étant détestable aux yeux de Jéhovah. — Ézéch. 8:10, 11; 16:17, 18; 23:36, 41; És. 1:13.

      SIGNIFICATION

      L’alliance de la Loi ne possédant qu’une ombre des bonnes choses à venir (Héb. 10:1), le fait de brûler de l’encens sous le code mosaïque semblait symboliser l’action de prier. Le psalmiste déclara: “Que ma prière soit préparée comme un encens devant toi [Jéhovah]!” (Ps. 141:2). Pareillement, le livre éminemment symbolique de la Révélation décrit ceux qui se tiennent autour du trône céleste de Jéhovah comme ayant “des bols d’or qui étaient pleins d’encens, et l’encens représente les prières des saints”. On lui a donné [à l’ange] une grande quantité d’encens pour l’offrir avec les prières de tous les saints sur l’autel d’or qui était devant le trône.” (Rév. 5:8; 8:3, 4). Sous différents aspects, l’encens que l’on brûlait est le symbole approprié des prières des saints qui sont ‘offertes’ (Héb. 5:7) nuit et jour (I Thess. 3:10) et sont un plaisir pour Jéhovah. — Prov. 15:8.

      Il va de soi que l’encens ne pouvait rendre agréables à Dieu les prières que lui adressaient les faux adorateurs (Prov. 28:9; Marc 12:40). En revanche, les prières d’un juste ont beaucoup de force (Jacq. 5:16). Également, quand une plaie venant de Dieu frappa le peuple, promptement Aaron ‘mit de l’encens et commença à faire propitiation pour le peuple’. — Nomb. 16:46-48.

  • Encens (Autel de l’)
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    • ENCENS (AUTEL DE L’)

      Voir AUTEL.

  • Encensoir
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    • ENCENSOIR

      Voir PORTE-FEU.

  • Enclos des brebis
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    • ENCLOS DES BREBIS

      Enceinte où l’on amenait généralement les brebis pour la nuit, afin de les protéger contre les voleurs et les prédateurs. Bien que des cavernes et d’autres abris naturels fussent également utilisés, les enclos étaient souvent des enceintes permanentes et entourées d’un mur de pierres (Nomb. 32:16; I Sam. 24:3; Soph. 2:6) et fermées par une porte (Jean 10:1). Comme à des époques plus récentes, il se pouvait qu’on ait mis sur les murs de pierres des branches épineuses. Du côté protégé de l’enclos, il y avait peut-être des bâtiments bas au toit plat où l’on parquait les bêtes durant les intempéries. Il n’était pas rare que plusieurs troupeaux partagent un même enclos; pourtant, il ne risquait pas d’y avoir de confusion. En effet, les brebis répondent uniquement à la voix de leurs bergers respectifs. Un portier gardait l’entrée de l’enclos, et c’est lui qui ouvrait aux bergers le matin. — Jean 10:2-4.

  • Encre
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    • ENCRE

      Le mot hébreu deyô n’apparaît qu’en Jérémie 36:18 et vient, selon certains biblistes, d’une racine qui signifie “couler lentement”; d’autres le font dériver d’une racine qui veut dire “qui est de couleur sombre”. Dans les Écritures grecques chrétiennes le mot mêlan ne figure que trois fois (II Cor. 3:3; II Jean 12; III Jean 13), et c’est la forme neutre de l’adjectif masculin mêlas qui a le sens de “noir”. — Mat. 5:36; Rév. 6:5, 12.

      Les encres étaient ordinairement composées d’un pigment ou colorant mêlé à une solution de gomme, de colle ou de vernis qui servait à la fois de véhicule fluide et de liant pour maintenir le pigment sur la surface où il devait être appliqué. La plus ancienne formule d’encre et les plus anciens spécimens découverts révèlent que le pigment était du noir carboneux, soit sous la forme de suie amorphe obtenue par la combustion d’huile ou de bois, ou bien sous la forme de charbon cristallin d’origine végétale ou animale. Les pigments de l’encre rouge étaient constitués d’oxyde de fer. Les anciens utilisaient aussi certaines teintures. D’après Josèphe, l’exemplaire de la Loi envoyé à Ptolémée Philadelphe était écrit en lettres d’or (Histoire ancienne des Juifs, liv. XII, chap. II, par. 14). Si des jus de légumes ou des teintures ont jamais été utilisés dans l’encre, on n’en trouve plus trace depuis longtemps en raison de leur altérabilité.

      Fabriquer une encre de qualité exigeait beaucoup de temps pour réduire les pigments en poudre et les délayer dans leurs véhicules fluides. L’encre était généralement solidifiée pour être conservée sous forme de pains ou de bâtons que le scribe humidifiait comme il convenait et appliquait sur un pinceau ou son roseau.

      Pendant longtemps l’encre de Chine a été réputée pour sa noirceur et sa durabilité exceptionnelle. Des documents rédigés avec certaines de ces encres peuvent être plongés dans l’eau pendant plusieurs semaines sans subir d’altération. En revanche, d’autres encres étaient conçues pour être effacées à l’aide d’une éponge ou d’un linge mouillé. C’est peut-être pour cette raison que Jéhovah s’est exprimé en termes symboliques, disant: “Celui qui a péché contre moi, c’est lui que j’effacerai de mon livre.” — Ex. 32:33; voir aussi Nombres 5:23; Psaume 109:13, 14.

  • Encrier
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    • ENCRIER

      {Article non traduit.}

  • Encrier de secrétaire
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    • ENCRIER DE SECRÉTAIRE

      {Article non traduit.}

  • En-Dor
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    • EN-DOR

      (source de génération).

      Ville située dans une plaine, à l’intérieur du territoire d’Issacar, mais assignée à Manassé. Les Cananéens qui y habitaient ne furent pas complètement dépossédés, mais assujettis au travail forcé (Josué 17:11-13). On identifie généralement En-Dor à la localité du même nom qui se trouve à peu près à mi-chemin entre Méguiddo et l’extrémité méridionale de la mer de Galilée.

      En Psaume 83:9, 10, En-Dor est associée à la victoire que Jéhovah remporta sur Siséra. Bien que le récit de la bataille consigné en Juges, chapitres 4 et 5, ne la mentionne pas, cette ville se trouvait, selon toute apparence, à quelques kilomètres seulement au sud du mont Tabor, d’où descendit l’armée de Barak (Juges 4:6, 12). Elle était également assez proche de Taanasch, de Méguiddo et du ouadi de Kischon, où les forces de Siséra furent miraculeusement jetées dans la confusion (Josué 17:11; Juges 5:19). Par conséquent, le champ de bataille a dû s’étendre jusqu’à En-Dor, de sorte que le géographiques, put décrire l’anéantissement d’un grand nombre de Cananéens fugitifs à cet endroit. — Ps. 83:10.

  • Énée
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    • ÉNÉE

      Article non traduit.

  • En-Églaïm
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    • EN-ÉGLAÏM

      {Article non traduit.}

  • Enfantement
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    • ENFANTEMENT

      Voir DOULEURS DE L’ENFANTEMENT.

  • Enfants
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    • ENFANTS

      Jéhovah, le Créateur, fit en sorte que la race humaine se multiplie par le moyen de la procréation. Les enfants ainsi engendrés parviendraient à l’état adulte et, avec le temps, deviendraient eux-​mêmes des parents. L’ordre de procréer est exprimé en Genèse 1:28. Le désir d’avoir des enfants est légitime. Les Israélites de l’Antiquité souhaitaient particulièrement accroître leur famille en raison de la promesse divine de faire d’eux une nation puissante et aussi parce que la postérité d’Abraham en qui toutes les familles de la terre se béniraient devait venir par leur intermédiaire (Gen. 28:14). Dès lors, de nombreux enfants étaient un bienfait de Dieu (Ps. 127:3-5; 128:3-6), et la stérilité passait pour un opprobre. — Gen. 30:23.

      Dans les temps bibliques, la naissance d’un garçon était généralement un événement plus joyeux que celle d’une fille, bien que cette dernière fût autant aimée par ses parents que le garçon. La préférence pour le garçon était due au fait 1) qu’il assurerait la continuité de la lignée et du nom, et 2) que grâce à lui se maintiendrait le patrimoine familial. La priorité du garçon était également affirmée par le fait que la période de purification exigée par la Loi était doublée pour la naissance d’une

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