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  • Madian
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    • l’Horeb, ce qui donne à penser qu’il habitait dans les environs du golfe d’Aqaba. Toutefois, on ne peut savoir si la région de l’Horeb faisait alors partie du “pays de Madian”. — Ex. 2:15-22; 3:1; 4:18-20; 18:1-4; Actes 7:29, 30.

      Il semble que le territoire situé près de Paran et à l’est d’Édom faisait également partie de Madian. C’est là que, sous le règne de David, certains serviteurs royaux et le fils du roi d’Édom cherchèrent refuge quand les Édomites furent complètement assujettis par les Israélites. — I Rois 11:14-18.

  • Madmen
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    • MADMEN

      {Article non traduit.}

  • Madménah
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    • MADMÉNAH

      {Article non traduit.}

  • Madon
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    • MADON

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  • Magadan
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    • MAGADAN

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  • Magasin
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    • MAGASIN

      Entrepôt ou bâtiment dans lequel sont emmagasinés des denrées alimentaires, du vin, de l’huile, voire des pierres ou des métaux précieux et d’autres marchandises. On emmagasine les céréales dans des granges. Dans l’Antiquité, il y avait beaucoup de greniers, de tours et de magasins (I Chron. 27:25; II Chron. 32:27, 28; Joël 1:17; Aggée 2:19), et certaines villes servaient principalement de centres d’entreposage. — Ex. 1:11.

      Au lieu d’encourager ses lecteurs à compter sur les biens matériels et, partant, à en amasser une grande quantité, le sage rédacteur des Proverbes déclare: “Honore Jéhovah avec tes choses de valeur (...). Alors tes dépôts de ravitaillement seront pleins d’abondance.” (Prov. 3:9, 10). L’histoire de la nation d’Israël illustre la véracité de cette affirmation. Quand cette nation servait fidèlement Jéhovah et apportait toutes les dîmes au sanctuaire, elle était abondamment bénie (Deut. 28:1, 8; I Rois 4:20; II Chron. 31:4-10; Mal. 3:10). À ce sujet, il semble qu’en Psaume 144:11-15 le roi David établit un contraste pour montrer quel peuple est vraiment heureux. Eu égard au contexte (voir les versets 11, 12 144:11, 12), on peut penser qu’il présente les individus qui se confient en leurs provisions de choses matérielles comme étant en train de se vanter de leur fortune et disant: “Nos greniers sont pleins, fournissant des produits d’une sorte après l’autre (...). Heureux le peuple pour qui il en est ainsi!” À cela David rétorque: “Heureux le peuple dont le Dieu est Jéhovah!”, sans doute afin d’identifier la véritable Source du bonheur, source qui ne réside pas dans les richesses.

      USAGE FIGURÉ

      Afin d’avertir les Pharisiens et les Sadducéens qu’ils étaient dans une situation dangereuse, Jean le Baptiseur compara ceux qui se repentaient vraiment au blé prêt à être engrangé, mais ces conducteurs religieux à la bale. Il leur dit: “Celui qui vient après moi (...) recueillera son blé dans le magasin, mais il brûlera la bale au feu inextinguible.” (Mat. 3:7-12; Luc 3:16, 17). De son côté, Jésus annonça une “moisson” qu’il identifia à “la conclusion du système de choses” au cours de laquelle les “moissonneurs” angéliques ramasseraient la “mauvaise herbe” symbolique pour la brûler, tandis que le “blé” serait recueilli dans le “magasin” de Dieu. Ce magasin représente de toute évidence la condition des disciples de Jésus une fois rétablis et rassemblés, condition dans laquelle ils jouiraient de la faveur et de la bénédiction divines. — Mat. 13:24-30, 36-43.

      Les choses auxquelles Jéhovah a fixé des limites par les forces ou lois physiques dont il est la Source, ainsi que celles dont il dispose pour réaliser ses desseins particuliers, sont à ses yeux comme dans des “magasins”. Il parle par exemple de la mer ‘rassemblée comme par une digue, mise dans des magasins’. (Ps. 33:7.) À propos d’autres phénomènes naturels qu’il a parfois utilisés contre ses ennemis, il interrogea Job en ces termes: “Es-​tu entré dans les magasins de la neige ou bien vois-​tu les magasins de la grêle, que j’ai réservées pour le temps de détresse, pour le jour de combat et de guerre?” (Job 38:22, 23; voir Josué 10:8-11; Juges 5:20, 21; Psaumes 105:32; 135:7). Jéhovah cite même les armées des Mèdes et des Perses conduites par le roi Cyrus parmi les “armes de ses invectives” dont il allait se servir contre Babylone après les avoir sorties de son “magasin”. — Jér. 50:25, 26.

  • Magbisch
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    • MAGBISCH

      {Article non traduit.}

  • Magdalène (Marie la)
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    • MAGDALÈNE (MARIE LA)

      {Article non traduit.}

  • Magdiel
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    • MAGDIEL

      {Article non traduit.}

  • Magie et sorcellerie
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    • MAGIE ET SORCELLERIE

      Art de produire des œuvres surnaturelles par des procédés et des pouvoirs mystérieux qui sont associés au spiritisme et aux puissances occultes. On dit que la magie “noire” consiste en sortilèges, en malédictions spéciales et à jeter le “mauvais œil” en vue de nuire à un ennemi. En revanche, la magie “blanche”, selon ceux qui la pratiquent, a de bons effets en ce sens qu’elle rompt les sortilèges et conjure les malédictions. Chez certains peuples de l’Antiquité, la magie “noire” était interdite sous peine de mort. Mais la Bible, elle, va plus loin en interdisant toute forme de magie (Lév. 19:26; Deut. 18:9-14). Au moyen de formules magiques obtenues, dit-​on, grâce à une connaissance et à une sagesse surnaturelles, le mage tente d’exercer une influence sur les individus et de modifier le cours des événements à venir. Sous ce rapport la magie diffère de la divination qui est essentiellement l’art de découvrir l’avenir, et non celui d’influer sur les événements à venir ou de les modifier. — Voir DIVINATION.

      Les pratiques spirites, que l’on appelle “sciences”, ont leur origine chez les Chaldéens de Babylonie. Il y a de cela seize siècles, Épiphane émit l’avis que ‘Nimrod avait créé les sciences de la magie et de l’astronomie’. Au huitième siècle avant notre ère, Ésaïe déclara que la Babylone de son époque abondait en sorcelleries de toutes sortes (És. 47:12-15). Plus d’un siècle après, aux jours de Daniel, les prêtres-magiciens faisaient encore partie de la cour babylonienne (Dan. 1:20; 2:2, 10, 27; 4:7; 5:11). L’expression “prêtres-magiciens” est la traduction littérale et explicite de l’hébreu.

      Les Babyloniens avaient grand-peur des personnes difformes appelées sorciers et sorcières, qu’ils croyaient versées dans la magie “noire”. En revanche, ils disaient des prêtres qu’ils étaient les maîtres de la magie “blanche”. Ils étaient persuadés qu’une formule incantatoire guérissait un malade ou tuait un homme, selon qu’elle était prononcée par un prêtre ou par un sorcier.

      Quand les humains se dispersèrent sur la terre consécutivement à la confusion des langues à Babel, il est possible qu’ils emportèrent avec eux certains secrets de l’art magique (Gen. 11:8, 9). Aujourd’hui, des millions de gens pratiquent la magie de mantra, autrement dit la magie qui consiste en formules et hymnes mystiques et en prières incantatoires de l’hindouisme populaire. Chez les peuples primitifs du monde entier on trouve des prêtres-magiciens, des sorciers et guérisseurs de toutes sortes, comme il en existait au dix-huitième siècle avant notre ère, au temps de Joseph (Gen. 41:8, 24). Plus de deux siècles après que Joseph eut été vendu en esclavage, les prêtres-magiciens de l’Égypte reproduisirent, en apparence et dans une certaine mesure, les deux premiers miracles opérés par Moïse (Ex. 7:11, 22; 8:7). Mais ils se révélèrent impuissants lorsqu’ils voulurent faire apparaître des moustiques; ils durent admettre que c’était “le doigt de Dieu”. Pareillement, ils furent incapables de se préserver de la plaie des furoncles. — Ex. 8:18, 19; 9:11.

      CONDAMNÉS PAR LA BIBLE

      La Bible se distingue tout particulièrement des autres récits des peuples de l’Antiquité par le fait que toutes ses références aux pouvoirs surnaturels et aux arts magiques sont, sans exception, condamnatoires. Nulle part il n’y est recommandé de recourir à la magie “blanche” pour conjurer les maléfices de la magie “noire”. Au contraire, la Bible exhorte à la foi, à la prière et à la confiance en Jéhovah pour se protéger contre les “forces spirituelles méchantes” qui sont invisibles et contre toutes les pratiques qui s’y rattachent, y compris les influences de la magie (Éph. 6:11-18). Selon les Psaumes, le juste prie pour être délivré du mal. Jésus aussi nous a enseigné à prier pour être ‘délivrés du méchant’. — Mat. 6:13.

  • Magistrat
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    • MAGISTRAT

      Fonctionnaire public ou officier civil investi d’une autorité juridictionnelle, administrative ou politique.

      En Job 31:11, 28, l’expression traduite par “relevant des magistrats” et qui a valeur d’adjectif qualifie des fautes qui sont passibles d’un jugement. C’est pourquoi An American Translation la rend par “péché abominable” (v. 31:11) et “crime abominable” (v. 31:28) au lieu de “faute relevant des magistrats”. La “faute” mentionnée au verset 11 31:11 est l’adultère (vv. 31:9, 10), crime qui, aux jours de Job, était peut-être jugé par les anciens à la porte de la ville (voir Job 29:7). Cependant, au verset 28 31:28, la “faute” en question inclut le matérialisme et l’idolâtrie pratiquée en secret (vv. 31:24-27), de mauvaises attitudes du cœur et de l’esprit qui ne peuvent être confirmées par la bouche de témoins. Aucun magistrat humain n’était donc en mesure d’établir la culpabilité de celui qui avait de telles pensées. Toutefois, Job croyait sans doute que Dieu pouvait juger de telles transgressions et que celles-ci étaient suffisamment graves pour mériter un jugement de sa part.

      Sous l’administration de Babylone, les officiers de police nommés dans les districts juridictionnels étaient des magistrats civils qui avaient étudié la loi et qui exerçaient un pouvoir judiciaire limité. Ils étaient au nombre des fonctionnaires que Nébucadnezzar convoqua pour qu’ils se prosternent devant la statue d’or qu’il avait fait dresser. — Dan. 3:2, 3.

      Dans les colonies romaines, l’autorité était entre les mains de magistrats civils connus généralement sous le nom latin de duumviri. Ces magistrats pouvaient être au nombre de trois, quatre, plus généralement cinq, et même parfois jusqu’à dix ou douze. Ils avaient pour devoirs de maintenir l’ordre, de gérer les finances, de juger les transgresseurs de la loi et d’ordonner l’exécution des sentences. Leurs noms et titres figuraient parfois sur les pièces de monnaie frappées par une ville. Les appariteurs ou licteurs étaient attachés à leur service et devaient exécuter leurs ordres. — Voir APPARITEUR.

      À Philippes, colonie romaine, les magistrats civils avaient fait mettre aux ceps Paul et Silas sans les avoir jugés (Actes 16:12). Le lendemain, apprenant que les deux hommes étaient citoyens romains, ils envoyèrent des appariteurs pour les faire libérer. Mais Paul, qui voulait défendre publiquement et légalement la bonne nouvelle qu’il prêchait, exigea que les magistrats viennent eux-​mêmes les libérer. Craignant des ennuis avec Rome parce qu’ils avaient fait flageller des citoyens romains, les magistrats supplièrent Paul et Silas et les relâchèrent. — Actes 16:19-39.

      Dans le gouvernement municipal des villes libres d’Asie Mineure soumises à la domination de l’Empire romain, le premier magistrat (gr. grammateus, “scribe, homme de lettres”) était le fonctionnaire public le plus important. Il était, semble-​t-​il, élu par le peuple et c’était le membre le plus influent du gouvernement municipal. Nous pourrions le comparer à certains égards au maire d’une ville à notre époque; il est d’ailleurs appelé chef ou chancelier de la ville dans plusieurs traductions. Il avait donc un rôle très influent dans les affaires de la ville, et le peuple accordait à cette fonction très honorable une considération autrement plus grande que ne le laissent entendre des termes comme “scribe” ou “secrétaire” utilisés dans certaines traductions en Actes 19:35. En effet, le mot grammateus figure ici dans un sens et un contexte différents de ceux où il apparaît habituellement lorsqu’il est question de scribes juifs. L’influence du premier magistrat de la ville se voit quand on considère de quelle façon celui d’Éphèse calma la foule qui s’était assemblée pour s’opposer à Paul et à ses compagnons. — Actes 19:35-41.

      Dans les villes d’Asie, le premier magistrat était en effet responsable devant le pouvoir romain du respect de la loi et du maintien de l’ordre dans sa juridiction. Cela explique, du moins en partie, l’inquiétude du premier magistrat d’Éphèse lorsque les orfèvres soulevèrent les habitants de la ville contre la prédication effectuée par l’apôtre Paul. Il s’agissait d’un attroupement tumultueux, d’une réunion illégale dans le théâtre. Comme le magistrat l’expliqua à la foule, une telle action pouvait justifier une accusation de sédition. Il craignait que les Romains le tiennent personnellement pour responsable de cette situation.

  • Magistrat, II
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    • MAGISTRAT, II

      {Voir MAGISTRAT (entrées “City Recorder”, “Justices” et “Magistrate” regroupées).}

  • Magistrat, III
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    • MAGISTRAT, III

      {Voir MAGISTRAT (entrées “City Recorder”, “Justices” et “Magistrate” regroupées).}

  • Magog
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    • MAGOG

      Fils de Japhet et petit-fils de Noé. Il figure parmi les patriarches dont sont issus les premiers groupements nationaux qui furent disséminés sur la surface de la terre après le déluge. — Gen. 10:1, 2, 5; I Chron. 1:5.

      Ce nom réapparaît dans la prophétie d’Ézéchiel qui décrit l’attaque impétueuse de “Gog du pays de Magog” contre le peuple rassemblé par Jéhovah. Il semble que le prophète veuille désigner ainsi un pays ou une région “des parties les plus reculées du nord”, d’où sortent les armées de Gog, des bandes de pillards “montés sur des chevaux, une grande congrégation, oui, des forces militaires nombreuses” maniant l’épée

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