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  • Manassé
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    • seulement c’était à Jéhovah’. (II Chron. 33:14-17.) À la mort de Manassé, son fils Amon lui succéda sur le trône. — II Chron. 33:20.

  • Manassites
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    • MANASSITES

      {Article non traduit.}

  • Mandataire
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    • MANDATAIRE

      (héb. nâtsav, netsiv, “établir, placer”, et par suite “soutien, préfet ou mandataire”).

      Pendant le règne de Salomon (1037-​997 av. n. è.), douze mandataires avaient été nommés à des hautes fonctions administratives. Un mois par an et à tour de rôle, chacun d’eux avait la responsabilité de fournir la maisonnée royale en nourriture et autres approvisionnements. — I Rois 4:7.

      En guise d’impôt général pour les besoins du gouvernement, des denrées alimentaires étaient prélevées sur le produit de la terre. Les mandataires surveillaient donc la production, la récolte, l’entreposage et la livraison des quotas mensuels qui atteignaient une quantité considérable (I Rois 4:22, 23). En dehors de ce travail de surveillance, ces mandataires servaient peut-être aussi d’administrateurs civils dans les territoires dont ils avaient la charge.

      Les “mandataires princiers” assumaient également la fonction de contremaîtres et de surveillants des ouvriers engagés dans l’œuvre de construction qui fut entreprise pendant le règne de Salomon. Il semble que les deux dénombrements de ces mandataires, en I Rois et en II Chroniques, ne diffèrent qu’en raison des méthodes de classification adoptées, le premier ajoutant 550 à 3 300, soit 3 850 au total (I Rois 5:16; 9:23), et le second additionnant 3 600 et 250, ce qui fait également 3 850 (II Chron. 2:17, 18; 8:10). Des exégètes (Ewald, Keil, Michaelis) pensent que les chiffres des Chroniques distinguent les 3 600 mandataires qui n’étaient pas Israélites des 250 qui l’étaient, alors que I Rois oppose les 3 300 contremaîtres subalternes aux 550 surveillants en chef, parmi lesquels 300 n’étaient pas Israélites.

  • Mandragore
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    • MANDRAGORE

      Plante vivace de la famille des solanacées, aux grandes feuilles vert foncé mesurant environ trente centimètres de long et dix de large. Les feuilles, qui semblent pousser directement de la racine pivotante, s’ouvrent en éventail et s’étalent au ras du sol. En leur centre se dresse la hampe qui ne porte qu’une seule fleur blanche, bleutée ou violette. Le fruit, de la taille d’une prune et dont la couleur va de l’orange au rouge, mûrit en Palestine à l’époque de la moisson des blés (Gen. 30:14). On dit que son parfum est doux et frais comme celui de la pomme (voir Cantique des cantiques 7:13). La racine pivotante de la mandragore, épaisse et souvent fourchue, ressemble aux membres inférieurs de l’homme, ce qui a donné naissance à de nombreuses superstitions au sujet de cette plante à laquelle on a attribué des pouvoirs magiques.

      Dans les temps anciens, on utilisait le fruit de la mandragore en médecine comme narcotique et comme antispasmodique. En outre, dans certaines parties de l’Orient, on considérait et on considère encore aujourd’hui cette plante comme un aphrodisiaque, capable également de rendre les humains plus féconds ou de faciliter la conception. Le récit de la Genèse relate que Rachel permit à sa sœur Léa de jouir de ses droits conjugaux avec Jacob, son mari, en échange de quelques mandragores (Gen. 30:14, 15). Bien que la Bible ne dise pas quels étaient les mobiles de Rachel, il se peut qu’elle ait pensé que ces mandragores l’aideraient à concevoir un enfant et à mettre ainsi fin à l’opprobre que lui causait sa stérilité. Toutefois, elle ne devint enceinte que des années plus tard. — Gen. 30:22-24.

  • Manéh
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    • MANÉH

      Voir MINE.

  • Manifestation
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    • MANIFESTATION

      (gr. épiphanéïa, “manifestation, apparition” ou “action de paraître à la lumière ou à la vue”).

      Ce terme est employé dans les Écritures en rapport avec le séjour de Jésus Christ sur terre, mais aussi, et plus particulièrement, en rapport avec les divers événements qui marquent sa présence.

      LE FILS DE DIEU EST MANIFESTÉ DANS LA CHAIR

      C’est à propos de la “manifestation de notre Sauveur, Christ Jésus”, dans la chair que l’apôtre Paul consigna les paroles rapportées en II Timothée 1:9-11. Jéhovah envoya des cieux son Fils pour œuvrer en vue de la justification de son nom et de sa souveraineté. C’était également pour que soit finalement ‘abolie la mort’ imputable à Adam et pour mettre en lumière la perspective de la vie et de l’incorruptibilité dans les cieux offerte à certains humains. L’une des phases du développement du “saint secret de cette piété” fut la ‘manifestation de Jésus dans la chair’. (I Tim. 3:16.) Paul a aussi parlé de l’envoi par Dieu de son Fils comme d’une ‘manifestation’ de sa faveur imméritée, faveur qui “apporte le salut à toutes sortes d’hommes, nous instruisant à répudier l’impiété et les désirs de ce monde, et à vivre avec bon sens, justice et piété dans le présent système de choses, attendant l’heureuse espérance et la manifestation glorieuse du grand Dieu et de notre Sauveur Christ Jésus”. (Tite 2:11-13.) Une fois réalisée, la manifestation glorieuse du Christ rendrait également manifeste la gloire de Dieu, qui l’a envoyé.

      CHRIST EST MANIFESTÉ DANS LA GLOIRE CÉLESTE

      Pendant sa présence, Christ allait porter son attention sur ses frères spirituels endormis dans la mort. Ces derniers, dont Paul a parlé en s’incluant parmi eux, sont “ceux qui ont aimé sa manifestation” et qui sont appelés à recevoir ‘la couronne de justice en récompense’. (II Tim. 4:8.) Quand le Seigneur ‘descendra du ciel avec un appel de commandement, avec une voix d’archange et avec la trompette de Dieu’, ceux qui sont morts en union avec Christ ressusciteront d’abord et Christ les accueillera auprès de lui. C’est ainsi qu’il sera manifesté à eux avec puissance et dans sa gloire. Puis il rendra sa présence manifeste à ses frères encore sur terre, et il les accueillera auprès de lui à leur mort. — I Thess. 4:15, 16; Jean 14:3; Rév. 14:13.

      Manifesté en tant que roi et juge

      Tandis qu’il se tenait devant Ponce Pilate, Christ dit que son royaume ne faisait pas partie de ce monde, bien qu’il ne niât pas être roi (Jean 18:36, 37). Il ne se présenta pas alors comme détenteur du pouvoir, le moment n’étant pas encore venu pour lui de prendre son pouvoir royal. Néanmoins, le temps allait venir où “la manifestation de notre Seigneur Jésus Christ” serait nettement reconnue, quand il exercerait l’autorité comme “l’heureux et unique Détenteur du pouvoir” et “le Roi de ceux qui règnent en rois et le Seigneur de ceux qui dominent comme seigneurs”. — I Tim. 6:13-16; Dan. 2:44; 7:13, 14.

      Eu égard à la venue du Royaume et à la manifestation du Christ, Paul dit à Timothée: “Je t’ordonne solennellement devant Dieu et Christ Jésus, qui est destiné à juger les vivants et les morts, et par sa manifestation et son royaume: prêche la parole.” (II Tim. 4:1, 2). L’apôtre désignait ainsi le temps où la position glorieuse du Christ dans les cieux serait indubitablement rendue manifeste, lorsqu’il ferait en sorte que les jugements de Dieu soient ressentis sur la terre.

      Manifesté par la destruction de “l’homme qui méprise la loi”

      Dans la lettre qu’il écrivit aux chrétiens de Thessalonique “à propos de la présence de notre Seigneur Jésus Christ”, Paul les encouragea à ne pas se laisser ébranler dans leur bon sens ni exciter par un message quelconque “comme quoi le jour de Jéhovah est là”. “L’homme [symbolique] qui méprise la loi” et qui opère depuis des siècles en opposition à Dieu et à Jésus, cet homme-​là sera réduit à néant “par la manifestation de sa présence”. “Celui qui méprise la loi” reconnaîtra la présence du Christ, non par la foi comme les chrétiens qui ont aimé sa manifestation, mais à cause de la puissance que Jésus exercera pour supprimer cet “homme” pris au sens collectif. — II Thess. 2:1-8; voir HOMME QUI MÉPRISE LA LOI.

  • Manne
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    • MANNE

      Principale nourriture des Israélites durant leurs quarante années de pérégrinations dans le désert (Ex. 16:35). C’est dans le désert de Sin, dans la seconde moitié du deuxième mois après qu’Israël fut sorti d’Égypte, en 1513 avant notre ère, que Jéhovah donna pour la première fois la manne aux Israélites (Ex. 16:1-4). Cela leur servit de nourriture jusqu’à leur entrée en Canaan, en 1473 avant notre ère, quand ils goûtèrent les produits de la Terre promise. — Josué 5:10-12.

      La manne apparaissait sur le sol après l’évaporation de la rosée qui se formait le matin, si bien que “sur la surface du désert il y avait quelque chose de fin, de floconneux, de fin comme le givre sur la terre”. Lorsque les Israélites virent cette substance pour la première fois, ils dirent: “Qu’est-​ce?”, littéralement: “Man houʼ?” (Ex. 16:13-15; Nomb. 11:9). Telle est l’origine probable de ce nom, les Israélites eux-​mêmes ayant commencé à appeler cette nourriture “manne”. — Ex. 16:31.

      DESCRIPTION

      La manne était “blanche comme de la graine de coriandre” et son “aspect” était celui de la gomme du bdellium, sorte de résine transparente qui dégoutte sous forme de perles. Son goût était comparable à celui des “gâteaux plats au miel” ou d’un “gâteau sucré à l’huile”. Après avoir broyé la manne dans des moulins à bras ou l’avoir pilée dans un mortier, on la faisait bouillir ou bien on confectionnait des gâteaux qu’on cuisait. — Ex. 16:23, 31; Nomb. 11:7, 8.

      Aucune substance naturelle connue aujourd’hui ne correspond en tous points à la manne; nous disposons donc de peu d’éléments qui permettent de l’identifier à un produit connu. Il en est particulièrement ainsi en raison du caractère miraculeux de cette nourriture qui venait de Jéhovah. La récolte de la manne n’était pas fonction de l’époque de l’année ou d’une région particulière du désert. Si jamais quelqu’un gardait de la manne pour le lendemain, elle grouillait de vers et dégageait une odeur pestilentielle. Par contre, l’omer supplémentaire que les Israélites ramassaient le sixième jour en prévision du septième, celui-là ne se corrompait pas. On ne trouvait pas de manne le jour du sabbat, ce qui contraignait les Israélites à observer celui-ci. — Ex 16:19-30.

      C’était probablement le chef de famille qui recueillait la quantité de manne suffisante pour toute sa maisonnée. Du fait que la manne fondait quand le soleil chauffait, il se dépêchait certainement de ramasser à peu près ce qui était nécessaire aux besoins des siens, puis il mesurait ce qu’il avait recueilli. Qu’on en ramassât beaucoup ou peu, selon l’importance de sa maisonnée, la quantité récoltée équivalait toujours à un omer par personne (Ex. 16:16-18). C’est ce à quoi l’apôtre Paul fit allusion lorsqu’il encouragea les chrétiens de Corinthe à compenser de leur surplus matériel ce qui manquait à leurs frères. — II Cor. 8:13-15.

      LE BUT DE LA MANNE

      Jéhovah permit que les Israélites aient faim dans le désert, puis il les nourrit de la manne afin de leur enseigner “que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais que l’homme vit de toute déclaration de la bouche de Jéhovah”. Dieu agit ainsi envers eux ‘pour les humilier et les mettre à l’épreuve, pour leur faire du bien dans leurs jours à venir’. (Deut. 8:3, 16.) Quand les Israélites se lassèrent de la manne et en parlèrent comme d’un “pain méprisable”, Jéhovah punit leur rébellion en envoyant parmi eux des serpents venimeux qui en firent périr beaucoup. — Nomb. 21:5, 6.

      Les Psaumes appellent la manne “le grain du ciel” (Ps. 78:24), le “pain provenant du ciel” (Ps. 105:40) et “le pain des forts”. (Ps. 78:25.) Il est dit des anges qu’ils sont “puissants par la force” (Ps. 103:20); on peut donc les appeler “forts”. Il ne faut toutefois pas en conclure que les anges se nourrissent vraiment de manne, mais plutôt que Dieu s’est servi des anges pour la donner aux Israélites (voir Galates 3:19). Ou encore, puisque les cieux sont la demeure des “forts”, l’expression “pain des forts” peut tout simplement désigner sa source céleste.

      “LA MANNE CACHÉE”

      Pour que les générations futures puissent voir la manne, Aaron dut déposer devant Jéhovah une jarre contenant un omer (2,2 litres) de manne. Une fois que l’arche de l’alliance recouverte d’or fut terminée, une “jarre d’or” renfermant de la manne fut déposée à l’intérieur de ce coffre sacré (Ex. 16:32-34; Héb. 9:4). C’était vraiment de la “manne cachée”. Mais cinq siècles plus tard, quand l’Arche fut transférée de la tente que David avait fait dresser pour elle au temple érigé par Salomon, la jarre d’or n’y était plus (II Sam.

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