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  • Joab
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    • Jéhovah et saisit les cornes de l’autel (I Rois 2:28). Ce ne fut pas un asile pour lui, car c’était un meurtrier volontaire; aussi Salomon envoya-​t-​il Bénaïah pour le mettre à mort en cet endroit. Ainsi, Salomon obéit à David qui, sur son lit de mort, lui avait ordonné de ne pas laisser les cheveux gris de Joab descendre en paix au Schéol, à cause de la dette de sang dont il s’était chargé en tuant Abner et Amasa, “deux hommes plus justes et meilleurs que lui”. Joab fut enseveli dans sa maison, au désert, et Bénaïah fut placé à la tête de l’armée. — I Rois 2:5, 6, 29-35; 11:21.

      Le soixantième psaume, de David, est consacré dans ses derniers versets (8-12 Ps 60:8-12) à la victoire de Joab sur les Édomites. — Voir le titre de ce psaumePs 60:sus.

  • Joachaz
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    • JOACHAZ

      (“Jah saisit”).

      1. Autre forme du nom d’Achaziah, qui succéda à Joram, son père, comme roi de Juda à la fin du dixième siècle avant notre ère (II Chron. 21:16, 17; 22:1). Cette forme différente, que l’on trouve aussi dans le texte massorétique en II Chroniques 25:23, est simplement obtenue en déplaçant le nom divin (Jah), qui sert de préfixe au lieu de suffixe, sans que cela change la signification du nom. Ce roi de Juda est appelé une fois Azariah. — II Chron. 22:6b; voir ACHAZIAH No 2.

      2. Roi d’Israël; fils et successeur du roi Jéhu. Joachaz régna pendant dix-sept ans, de 876 jusque vers 860 avant notre ère (II Rois 10:35; 13:1). Quand il succéda à son père sur le trône, une bonne partie du royaume était sous la domination du roi syrien Hazaël de Damas, qui avait pris à Jéhu tout le territoire d’Israël à l’est du Jourdain (II Rois 10:32-34). Parce que Joachaz faisait ce qui est mauvais à ses yeux, Jéhovah permit que Hazaël continuât d’opprimer Israël durant tous les jours de Joachaz, dont il réduisit l’armée à cinquante cavaliers, dix chars et dix mille hommes de pied. Finalement, Joachaz rechercha la faveur de Jéhovah qui, à cause de son alliance conclue avec Abraham, Isaac et Jacob, ne permit pas à la Syrie de supprimer complètement Israël (II Rois 13:2-7, 22, 23). À sa mort, Joachaz fut enseveli à Samarie, et Joas, son fils, lui succéda sur le trône. — II Rois 13:8, 9; II Chron. 25:17.

      3. Roi de Juda; quatrième fils et successeur de Josias. Le nom de sa mère était Hamutal (II Rois 23:31). Selon quelques manuscrits, Esdras et Jérémie l’appellent Schallum, ce qui, de l’avis de certains, était peut-être son nom avant son accession au trône (I Chron. 3:15; Jér. 22:11). Après que le pharaon égyptien Nécoh eut mis à mort son père, Joachaz (qui n’était toutefois pas l’aîné des fils de Josias encore en vie) fut apparemment choisi par le peuple pour lui succéder. — II Rois 23:29, 30.

      Joachaz était âgé de vingt-trois ans quand on le fit roi. Il régna pendant trois mois au début de l’année 628 avant notre ère, et fit ce qui est mauvais. Nécoh l’emprisonna alors à Riblah. Il fut ensuite emmené en Égypte, où il mourut en captivité, ainsi que l’avait annoncé le prophète Jérémie. — II Rois 23:31-34; Jér. 22:10-12.

  • Joachaz, II
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    • JOACHAZ, II

      {Article non traduit.}

  • Joah
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    • JOAH

      {Article non traduit.}

  • Joanan
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    • JOANAN

      {Article non traduit.}

  • Joas
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    • JOAS

      (“Jéhovah est fort” ou “Jéhovah a donné”).

      1. Roi de Juda pendant quarante ans, de 898 à 858 avant notre ère. Il était le plus jeune fils d’Achaziah, roi de Juda; sa mère était Zibiah, de Béer-Schéba. — II Rois 12:1; I Chron. 3:11.

      La mort d’Achaziah fournit à Athalie, grand-mère de Joas et femme particulièrement méchante, un prétexte pour se faire reine. Afin que personne ne puisse par la suite contester sa prise du pouvoir, elle extermina tous les fils d’Achaziah, à l’exception du jeune Joas qui, à l’époque, était un nourrisson de moins d’un an. Il échappa au massacre parce que sa tante, Jéhoschéba, la femme du grand prêtre Jéhoïada, le prit avec sa nourrice et les cacha dans le temple pendant six ans. — II Rois 11:1-3; II Chron. 22:10-12.

      Quand l’enfant fut âgé de sept ans, Jéhoïada mit dans le secret cinq chefs auxquels il fit voir pour la première fois l’héritier légal du trône. Il équipa ensuite les cinq cents hommes sous le commandement de ces chefs en leur remettant des armes et des boucliers pris dans le temple, et il leur ordonna de se tenir autour de Joas lors de son couronnement dans la cour du temple. Quiconque tenterait d’empêcher le déroulement de la cérémonie devrait être mis à mort (II Rois 11:4-12, 21; II Chron. 23:1-11). Ayant entendu les cris du peuple, Athalie accourut en criant: “Conspiration! Conspiration!” On la fit promptement sortir et on la mit à mort à l’entrée de la porte des chevaux. Jéhoïada conclut alors une alliance de fidélité entre Jéhovah et le peuple d’une part, et le roi nouvellement intronisé d’autre part. Ensuite, les Israélites démolirent la maison de Baal, brisèrent ses autels et ses images, et tuèrent même Mattan, le prêtre de Baal. — II Rois 11:13-20; II Chron. 23:12-21.

      Le jeune roi Joas prospéra aussi longtemps que le grand prêtre Jéhoïada était en vie et qu’il agissait envers lui comme un père et un conseiller. Marié à vingt et un ans, il eut deux femmes, dont une qui avait pour nom Jéohaddan, et par elles il devint père de fils et de filles. De cette manière, la lignée de David conduisant au Messie fut de nouveau affermie après avoir été près de s’éteindre. — II Rois 12:1-3; II Chron. 24:1-3; 25:1.

      La maison de Jéhovah avait grandement besoin d’être réparée, pas simplement à cause de son âge (elle n’avait pas plus de cent cinquante ans), mais parce qu’elle avait été négligée et pillée pendant le règne d’Athalie. Joas pressa les Lévites de réunir l’argent nécessaire aux réparations en allant de ville en ville dans tout Juda. Cependant, ils n’agirent pas avec empressement, et le travail ne fut pas réalisé (II Rois 12:4-8; II Chron. 24:4-7). On prit donc d’autres dispositions pour rassembler et gérer les fonds. Le peuple réagit favorablement, si bien que les travaux de réparation progressèrent jusqu’à leur achèvement. — II Rois 12:9-16; II Chron. 24:8-14.

      Après la mort du fidèle grand prêtre Jéhoïada à l’âge de cent trente ans, les princes du royaume détournèrent peu à peu le roi Joas et le peuple du culte de Jéhovah et les entraînèrent à adorer les idoles païennes et les “poteaux sacrés”, des symboles phalliques. Jéhovah suscita des prophètes pour les mettre en garde, mais ils refusèrent de les écouter (II Chron. 24:15-19). Joas alla jusqu’à tuer Zacharie, le fils de Jéhoïada, parce que Dieu s’était servi de lui pour demander, sur un ton de reproche: “Pourquoi passez-​vous outre aux commandements de Jéhovah?” Les dernières paroles de Zacharie furent: “Que Jéhovah y veille et le redemande!” — II Chron. 24:20-22.

      Le châtiment ne se fit pas attendre. Jéhovah ayant retiré sa protection à Juda, des forces militaires syriennes en petit nombre, commandées par Hazaël, purent envahir le territoire. Les Syriens forcèrent Joas à leur remettre l’or et les trésors du sanctuaire, ainsi que ses biens personnels. Ils laissèrent derrière eux Joas malade et abattu (II Rois 12:17, 18; II Chron. 24:23-25). Peu de temps après, deux de ses serviteurs formèrent une conspiration et le mirent à mort, alors qu’il était âgé de quarante-sept ans, ce qui était relativement jeune. On l’ensevelit dans la ville de David avec ses ancêtres, et Amasiah, son fils, régna à sa place. — II Rois 12:19-21; II Chron. 24:25-27.

      2. Roi d’Israël; fils de Joachaz et petit-fils de Jéhu. Il régna pendant seize ans au milieu du neuvième siècle avant notre ère. Durant la première partie du règne de ce Joas (fils de Joachaz) sur le royaume septentrional d’Israël, Joas, fils d’Achaziah, était roi sur le royaume méridional de Juda. — II Rois 13:10.

      Dans l’ensemble, Joas fit ce qui est mauvais aux yeux de Jéhovah et il toléra le culte du veau dans tout le pays. Toutefois, quand le prophète Élisée était malade et près de mourir, Joas descendit vers lui et pleura sur son visage, en disant: “Mon père, mon père, le char d’Israël et ses cavaliers!” (II Rois 13:11, 14). À la demande du prophète, Joas tira une flèche par la fenêtre en direction de la Syrie, puis il frappa le sol avec ses flèches, mais seulement trois fois. Élisée en fut indigné, car s’il avait frappé à terre cinq ou six fois, dit-​il, Joas aurait vaincu complètement les Syriens; mais maintenant, déclara le prophète, il ne remporterait que trois victoires partielles (II Rois 13:15-19). Il obtint effectivement certains succès dans ses trois campagnes contre les Syriens, en recouvrant plusieurs villes israélites que Hazaël, père de Ben-Hadad, avait prises au royaume du Nord. — II Rois 13:24, 25.

      Joas mit cent mille de ses hommes à la disposition du roi de Juda pour combattre les Édomites. Mais, sur le conseil d’un “homme du vrai Dieu”, ils furent congédiés. Bien qu’ayant reçu cent talents d’argent payés d’avance, ils étaient furieux de devoir rentrer chez eux, probablement parce qu’ils perdaient la part du butin qu’ils escomptaient. Aussi, après leur retour, pillèrent-​ils les villes du royaume du Sud, depuis Samarie (peut-être leur base d’opérations) jusqu’à Beth-Horon. — II Chron. 25:6-10, 13.

      C’est vraisemblablement pour se venger qu’Amaziah, le roi de Juda, défia Joas. Dans la bataille qui s’ensuivit, Amaziah fut capturé à Beth-Schémesch. Après cela, les forces militaires de Joas firent une brèche dans la muraille de Jérusalem; elles prirent l’or et l’argent du temple et de la maison du roi, puis emmenèrent des otages à Samarie (II Rois 14:8-14; II Chron. 25:17-24). Finalement, Joas mourut et fut enseveli à Samarie, et son fils, Jéroboam II, régna à sa place. — II Rois 13:12, 13; 14:15, 16.

  • Joasch
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    • JOASCH

      {Article non traduit.}

  • Job
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    • JOB

      (“objet d’hostilité”).

      Homme qui vivait au pays d’Uz, dans ce qui est aujourd’hui l’Arabie (Job 1:1). Dieu déclara au sujet de Job: “Il n’y a personne comme lui sur la terre, un homme irréprochable et droit, craignant Dieu et s’écartant du mal.” (Job 1:8). Il semblerait donc que Job habitait au pays d’Uz à l’époque où ses cousins éloignés, les douze tribus d’Israël, étaient esclaves en Égypte. En ce temps-​là, Joseph, fils de Jacob (Israël), était mort après avoir enduré bien des souffrances tout en restant irréprochable à l’égard de Jéhovah Dieu, et Moïse ne s’était pas encore levé en tant que prophète de Jéhovah pour délivrer les douze tribus d’Israël de l’esclavage égyptien. Entre la mort de Joseph (1657 av. n. è.) et la naissance de Moïse (1593 av. n. è.), il s’écoula soixante-quatre ans durant lesquels la Bible ne signale personne qui ait été aussi intègre que Job. C’est vraisemblablement pendant cette période que se déroula la conversation entre Jéhovah et Satan au sujet de Job. — Job 1:6-12; 2:1-7.

      DATE DE L’ÉPREUVE DE JOB

      On attribue généralement à Moïse le récit de la vie de Job. Il a pu entendre parler du patriarche au cours des quarante ans qu’il passa en Madian et apprendre quelle avait été l’issue de son épreuve et sa mort quand Israël était à proximité d’Uz, vers la fin de ses pérégrinations dans le désert. Si Moïse acheva la rédaction du livre de Job quand Israël était sur le point d’entrer en Terre promise, c’est-à-dire en 1473 avant notre ère (probablement peu après la mort de Job), l’épreuve de Job aurait donc eu lieu vers 1613, puisqu’il vécut encore 140 ans après cet événement. — Job 42:16, 17.

      UN HOMME RICHE ET HONORÉ

      Il semble que Job était un parent d’Abraham par Uz, un des fils de Nahor, frère d’Abraham (Gen. 22:20, 21). Bien que non israélite, Job était néanmoins un adorateur de Jéhovah. Cet homme, qui possédait de nombreux biens, était “le plus grand de tous les Orientaux”. Il avait une femme, sept fils et trois filles (Job 1:1-3). Il exerçait consciencieusement les fonctions de prêtre pour sa famille, offrant des sacrifices à Dieu en faveur des siens. — Job 1:4, 5.

      Job jouissait d’une grande considération et il avait beaucoup de serviteurs. C’était un personnage si important à la porte de la ville que même les hommes d’âge et les princes lui témoignaient du respect (Job 29:5-11). Il rendait la justice avec impartialité, se faisait le défenseur de la veuve et accordait une attention paternelle à l’orphelin de père, pour les affligés et pour les déshérités (29:12-17). Il se garda de l’immoralité, du matérialisme avide et de l’idolâtrie. Il était généreux envers les pauvres et les nécessiteux. — 31:9-28.

      L’INTÉGRITÉ DE JOB

      Confiant dans l’intégrité de Job, que Satan avait mise en doute, Jéhovah permit à ce dernier d’éprouver Job à l’extrême, sans toutefois attenter à sa vie. Dieu savait, en effet, qu’il avait le pouvoir de rétablir son serviteur et de le récompenser. Bien que Satan lui ait enlevé, par divers moyens, d’abord son bétail, puis ses serviteurs et enfin ses enfants (Job 1:13-19), à aucun moment Job n’accusa Dieu d’agir inconsidérément ou injustement. Il ne se détourna jamais de Dieu malgré les pressions exercées sur lui par sa femme et par d’autres personnes (1:20-22; 2:9, 10). Il dit la vérité au

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