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  • Kohathite
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    • les objets dont ils avaient la charge sur leurs épaules, sans doute parce que ceux-ci étaient sacrés (Nomb. 7:2-9). Les Kohathites étaient les derniers des Lévites à quitter un campement. — Nomb. 10:17-21.

      Après la conquête de Canaan, quand on assigna certaines villes aux Lévites, les Kohathites en reçurent vingt-trois, treize pour les fils d’Aaron dans les territoires de Juda, de Siméon et de Benjamin, et les dix autres pour le reste des Kohathites dans les territoires d’Éphraïm, de Dan et de la demi-tribu de Manassé. — Josué 21:1-5, 9-26; I Chron. 6:54-61, 66-70.

      Héman, un Kohathite de la famille d’Izhar, était un de ceux qui se virent confier par David des fonctions pour la direction du chant dans le sanctuaire de Jéhovah (I Chron. 6:31-38). Cent vingt Kohathites, placés sous la direction d’Uriel, figuraient parmi les Lévites que David désigna pour transporter l’arche de Jéhovah de la maison d’Obed-Édom à Jérusalem; à cette occasion, il est souvent question de Héman en rapport avec la musique et le chant (I Chron. 15:4, 5, 11-17, 19, 25). Selon le premier livre des Chroniques, lorsque David répartit les Lévites en groupes ou classes, certains Kohathites furent désignés comme chanteurs (25:1, 4-6) et portiers (26:1-9); d’autres reçurent la responsabilité des réserves ainsi que des choses qu’on avait rendues saintes (26:23-28), et quelques-uns furent placés aux fonctions d’officiers, de juges et d’administrateurs (26:29-32). D’autres encore furent chargés de la cuisson et de la préparation des pains en piles pour le sabbat. — I Chron. 9:31, 32.

      Les Kohathites se mirent à louer Jéhovah lorsqu’ils apprirent qu’il permettrait à Juda, sous la conduite de Josaphat, de vaincre les forces coalisées d’Ammon, de Moab et de la région montagneuse de Séir (II Chron. 20:14-19). Les Lévites kohathites participèrent à la purification de la maison de Jéhovah, aux jours du roi Ézéchias (II Chron. 29:12-17). De même, Zacharie et Méschullam, tous deux kohathites, étaient parmi ceux qui faisaient fonction de surveillants quand le roi Josias entreprit de réparer le temple. — II Chron. 34:8-13.

  • Koré
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    • KORÉ

      {Article non traduit.}

  • Koz
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    • KOZ

      {Article non traduit.}

  • Kurios
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    • KURIOS

      Ce mot grec est un adjectif qui qualifie celui qui détient le pouvoir (kuros) ou l’autorité, mais il est également utilisé comme nom. On le rencontre dans tous les livres des Écritures grecques chrétiennes à l’exception de l’épître à Tite et des lettres de Jean. Il peut désigner le “maître” d’une maison, d’une vigne ou d’une moisson (Marc 13:35; Mat. 20:8; Luc 10:2), ou encore un chef temporel comme l’empereur romain que le gouverneur Festus appelait son “Seigneur”. — Actes 25:24-26.

      Kurios était le titre par lequel les esclaves s’adressaient à leur maître ou les enfants à leur père. Il était également employé par d’autres personnes dans des situations où il correspond au français “Monsieur” quand il est un titre respectueux (Mat. 13:27; 21:29; Jean 12:21). On le trouve le plus souvent à propos de Jésus Christ qui est “Seigneur [Kurios] à la gloire de Dieu le Père”. (Phil. 2:9-11; Marc 7:26-28; Actes 2:36; 10:36 et beaucoup d’autres textes.) Ce mot correspond à l’hébreu ʼAdhôn. Dans les Écritures hébraïques, le titre “Seigneur [ʼAdhôn ou parfois ʼAdhonay, pluriel de majesté]” est donné à Jéhovah Dieu, le “Seigneur des seigneurs”. (Deut. 10:17.) Jésus étant le Fils et le Serviteur de Dieu, créé par lui, il convient qu’il s’adresse à son Père et Dieu (Jean 20:17) en l’appelant “Seigneur” (ʼAdhonay ou Kurios), Celui qui détient la puissance et l’autorité suprêmes, son Chef (Mat. 11:25; I Cor. 11:3). Mais comme il a été lui-​même élevé à la droite de son Père, Jésus est “Seigneur des seigneurs” par rapport à tous, excepté son Père, le Dieu Tout-Puissant. — Rév. 17:14; 19:15, 16; voir I Corinthiens 15:27, 28; voir aussi SEIGNEUR; JÉHOVAH.

  • Laadah
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    • LAADAH

      {Article non traduit.}

  • Laban
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    • LABAN

      (“blanc”).

      Petit-fils de Nahor, frère d’Abraham. Laban était fils de Béthuel et frère de Rébecca (Gen. 24:15, 29; 28:5), et le père de Léa et de Rachel (Gen. 29:16). Il habitait la ville de Haran à Paddan-Aram, une région de Mésopotamie. — Gen. 24:10; 27:43; 28:6; 29:4, 5.

      Laban est appelé “fils de Béthuel le Syrien [littéralement “l’Araméen”]”. Il est également désigné sous le nom de “Laban le Syrien”. (Gen. 28:5; 25:20; 31:20, 24.) Ce qualificatif était approprié, puisque Laban habitait Paddan-Aram, terme qui signifie “plaine (basses terres) d’Aram” ou Syrie. Laban était sémite et il vivait dans une région dont les habitants parlaient l’araméen, une langue sémitique.

      C’est dans ce pays qu’Abraham, alors avancé en âge, envoya son serviteur chercher une femme pour Isaac (Gen. 24:1-4, 10). Dès que Laban entendit le récit que lui fit Rébecca de sa rencontre avec le serviteur d’Abraham et qu’il vit les cadeaux qu’elle avait reçus de lui, il courut vers l’homme, le qualifia de béni de Jéhovah et lui offrit l’hospitalité (Gen. 24:28-32). Par la suite, Laban joua un rôle prépondérant dans les négociations qui aboutirent au mariage de Rébecca, auquel il donna son accord conjointement avec Béthuel, leur père. — Gen. 24:50-61.

      Des années plus tard, pour échapper à la vengeance d’Ésaü et pour prendre une femme, Jacob se rendit à Haran chez son oncle Laban (Gen. 27:41 à 28:5). Ce dernier avait alors deux filles, Léa et Rachel (Gen. 29:16), et peut-être aussi des fils (Gen. 31:1). Laban et Jacob conclurent un accord: Jacob servirait Laban pendant sept ans; en retour, celui-ci lui donnerait en mariage sa plus jeune fille, Rachel. Toutefois, Laban dupa Jacob la nuit de ses noces en substituant sa fille aînée Léa à la cadette. Quand Jacob protesta, son beau-père se contenta d’alléguer que la coutume locale voulait qu’on mariât d’abord l’aînée, mais il proposa de lui donner Rachel comme seconde femme s’il le servait encore pendant sept ans. — Gen. 29:13-28.

      Lorsque Jacob manifesta le désir de partir à la fin de son contrat, Laban insista pour qu’il reste et continue à le servir pour un salaire (Gen. 30:25-28). Ils conclurent un accord selon lequel Jacob garderait pour lui tous les moutons mouchetés et à taches de couleur, tous les jeunes béliers brun foncé et toutes les chèvres à taches de couleur et mouchetées (Gen. 30:31-34). Cependant, d’après ce que Jacob déclara plus tard à Léa et à Rachel ainsi qu’à Laban (Gen. 31:4-9, 41), il semble que, durant les années qui suivirent cet accord, Laban en modifia souvent les conditions quand il voyait croître grandement le troupeau de Jacob. Avec le temps, Laban changea d’attitude à l’égard de Jacob qui, sur l’ordre de Jéhovah, s’en retourna alors au pays natal avec sa famille et son troupeau. — Gen. 31:1-5, 13, 17, 18.

      Laban n’apprit le départ clandestin de Jacob qu’au bout du troisième jour. Il se lança à sa poursuite et le rattrapa dans la région montagneuse de Galaad. Cependant, un avertissement divin l’empêcha de faire du mal à Jacob (Gen. 31:19-24). Au cours de leur rencontre, Laban et Jacob se querellèrent. Ce dernier fit remarquer à son beau-père qu’il l’avait servi fidèlement, qu’il avait travaillé dur pendant vingt ans et que Laban l’avait traité injustement en changeant dix fois son salaire. — Gen. 31:36-42.

      Laban désirait vivement reprendre les téraphim ou dieux domestiques que Rachel avait volés à l’insu de Jacob, mais elle les tint cachés et il ne put les trouver (Gen. 31:30-35). Les croyances religieuses de Laban étaient peut-être influencées par celles des adorateurs de la lune parmi lesquels il vivait. C’est ce que semble indiquer le fait qu’il interprétait les présages et qu’il possédait des téraphim. Toutefois, il faut noter que ce n’était sans doute pas uniquement pour des raisons religieuses que Laban désirait retrouver ses téraphim. Des tablettes, mises au jour à Nuzi, près de Kirkuk, en Iraq, révèlent qu’à l’époque des patriarches et selon les lois particulières de cette région, l’homme qui avait en sa possession les dieux domestiques de la famille de sa femme pouvait se présenter devant le tribunal et réclamer les biens de son beau-père à la mort de celui-ci. Par conséquent, Laban pensait peut-être que Jacob avait lui-​même volé les téraphim afin de déposséder plus tard ses propres fils. Cela expliquerait pourquoi Laban fut si désireux de conclure une alliance avec Jacob après avoir vainement essayé de retrouver ses idoles. Il s’assurait ainsi qu’après sa mort Jacob ne reviendrait pas avec ses dieux domestiques pour dépouiller ses fils de leur héritage.

      Laban et Jacob firent une alliance de paix entre leurs familles et ils élevèrent une colonne et un monceau de pierres pour commémorer cet événement. Jacob appela ce monceau Galéed, terme hébreu qui signifie “monceau-témoin”. Quant à Laban, il lui donna le nom de Jégar-Sahadutha, qui a le même sens en araméen ou en syrien. On l’appela aussi “la Tour de Garde”. (Gen. 31:43-53.) Après avoir dit adieu à ses filles et à ses petits-fils, Laban retourna chez lui. Le récit biblique ne fait plus aucune autre mention de lui. — Gen. 31:54, 55.

  • Labour
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    • LABOUR

      Le chaud soleil de l’été rendant la terre très dure, les Israélites avaient l’habitude d’attendre pour labourer que les pluies d’automne ou d’hiver ramollissent le sol. C’était alors le temps du labour et des semailles. Ni le froid, ni le temps incertain, ni des nuages menaçants n’arrêtaient le cultivateur courageux, mais ils servaient d’excuse au paresseux pour rester chez lui. Ses voisins n’avaient donc aucune raison de le plaindre quand il n’avait rien à moissonner, faute d’avoir travaillé pendant la saison du labour (Prov. 20:4; Eccl. 11:4). Toutefois, le fermier israélite devait garder le sabbat même à cette époque de l’année. — Ex. 34:21.

      On ne devait pas mettre un taureau et un âne sous le même joug pour labourer, sans doute en raison de l’inégalité de leur force et de leurs pas (Deut. 22:10). La charrue était souvent tirée par une paire de bovins (Luc 14:19; Job 1:14). Il arrivait qu’un certain nombre d’hommes travaillent ensemble, l’un derrière l’autre, chacun avec une paire de taureaux, labourant des sillons parallèles. Dans le récit concernant Élisée, et rapporté en I Rois 19:19, celui-ci était le douzième et dernier laboureur, si bien qu’il put s’arrêter sans déranger personne. Quittant le champ, il fit du feu avec le bois de l’attirail qui servait à labourer, et il offrit les taureaux en sacrifice (I Rois 19:21). Dans son livre (The Land and the Book, p. 144), W. Thomson rapporte qu’un seul homme pouvait facilement ensemencer la surface qu’un groupe d’hommes avaient labourée.

      EMPLOI SYMBOLIQUE

      On retrouve souvent le travail familier du labour dans des métaphores. Ainsi, quand les Philistins réussirent à convaincre la femme de Samson de tout faire pour obtenir de son mari la réponse à l’énigme qu’il leur avait proposée, Samson déclara qu’ils avaient ‘labouré avec sa génisse’, c’est-à-dire qu’ils avaient utilisé à leur profit la femme qui aurait dû le servir (Juges 14:15-18). Amos, quant à lui, montre que tout comme on ne laboure pas sur le rocher, de même il était insensé de la part des chefs israélites de penser qu’ils pouvaient corrompre la justice et mépriser la loi tout en espérant retirer des bienfaits d’une telle manière d’agir (Amos 6:12, 13). En Osée 10:11, le labour (une tâche beaucoup plus dure que le battage, pour une génisse) symbolise de toute évidence le travail pénible d’esclaves qu’allaient connaître les nations apostates, Juda et Israël, labeur qui leur serait probablement imposé par des oppresseurs étrangers. Selon Jérémie 4:3, 4 et Osée 10:12, 13, ce dont Juda et Israël avaient besoin, c’était de changer leur mode de vie, de préparer, d’adoucir et de purifier leurs cœurs (voir Luc 8:5-15), comme on laboure et débroussaille un champ. Ainsi, au lieu de gaspiller leurs forces et leur peine dans des pratiques coupables qui ne produisaient que de mauvaises récoltes, ces deux nations pourraient, au contraire, recueillir des bénédictions divines.

      En Ésaïe 28:23-29, la description de la façon méthodique et judicieuse dont le cultivateur laboure, herse, sème et bat le grain sert à illustrer les manières d’agir de Jéhovah “qui s’est montré merveilleux en conseil, qui a agi de façon grandiose dans le travail efficace”. Le labour et le hersage sont limités et ne font que préparer le sol pour les semailles; pareillement, Jéhovah ne discipline ni ne punit son peuple indéfiniment; il le fait essentiellement pour rendre ses serviteurs plus souples et plus disposés à recevoir ses conseils et sa direction, et pour qu’ils en retirent des bienfaits (voir Hébreux 12:4-11). De même que la dureté du sol influe sur la profondeur et la durée du labour, de même le genre de céréale semée détermine la grosseur et le poids des instruments utilisés lors du battage pour séparer le grain de la bale. Tout cela est une illustration de la sagesse de Dieu qui adapte la sévérité de la correction aux besoins et aux circonstances lorsqu’il purifie son peuple et le débarrasse de ce qui est indésirable. — Voir Ésaïe 21:10; 1:25.

      Quand des prophètes annonçaient qu’une ville serait “labourée comme un simple champ”, ils voulaient dire qu’elle serait renversée et complètement dévastée (Jér. 26:18; Michée 3:12). Israël parle de ceux qui ‘ont

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