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  • La Bible — le Livre qui donne l’espérance
    La Tour de Garde 1971 | 1er janvier
    • Pour affermir votre espérance, il vous faut aussi désirer vous joindre à ceux qui ont cette solide et sûre espérance, obéissant ainsi à l’ordre apostolique de ‘ne pas abandonner votre assemblée’. Pour cela, il faut vous rendre à la Salle du Royaume et aux autres lieux de réunion des témoins de Jéhovah. En outre, il importe que vous meniez désormais une vie conforme aux justes principes contenus dans la Bible, sinon il vous sera impossible d’affermir votre espérance. Cela veut dire que vous devez obéir à l’ordre prophétique suivant : “Cherchez Jéhovah, vous tous humbles du pays (...) ; recherchez la justice, recherchez l’humilité. Peut-être serez-​vous mis à couvert de la colère de Jéhovah.” — Héb. 10:25 ; Soph. 2:3, AC.

      La Parole de Dieu, la Sainte Bible, est en vérité le Livre de l’espérance. Tout le prouve incontestablement. Dieu ne peut mentir. Les choses qu’il a prédites et qui devaient se réaliser dans le passé se sont toujours accomplies. Nous pouvons donc avoir la ferme assurance que toutes les promesses divines relatives à l’avenir de la terre et de l’humanité auront elles aussi leur accomplissement. Dieu a le désir, le pouvoir et les moyens de faire cela. Quelle merveilleuse assurance !

  • Communications
    La Tour de Garde 1971 | 1er janvier
    • Communications

      Celui qui est parvenu à la connaissance de Jéhovah grâce à l’étude de sa Parole, la Bible, sait que le culte de Dieu doit occuper la première place dans sa vie (Mat. 4:10 ; 6:33). Pour aider d’autres personnes sincères à comprendre combien il importe d’adorer réellement le vrai Dieu, les témoins de Jéhovah offriront au cours du mois de janvier et à tous leurs semblables l’abonnement annuel à La Tour de Garde, et trois brochures bibliques.

      ÉTUDES DE “LA TOUR DE GARDE” POUR LES SEMAINES DU

      31 janvier : La race humaine sera sauvée, — par le Royaume, § 1-25. Page 9. Chantez les cantiques : 84, 80.

      7 février : La race humaine sera sauvée, — par le Royaume, § 26-29 et Le Royaume du salut agit dès aujourd’hui. Page 15. Chantez les cantiques : 74, 25.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1971 | 1er janvier
    • Questions de lecteurs

      ● Les chrétiens voués peuvent-​ils assister à un service funèbre organisé par une autre religion ?

      Certains chrétiens ont pu se sentir obligés d’assister à un service funèbre religieux par motif de gratitude, ou parce qu’il s’agissait d’un proche parent, ou encore sous la pression d’un conjoint incroyant. Mais avant d’agir ainsi, chacun devrait considérer les divers facteurs impliqués et les possibilités éventuelles. La congrégation chrétienne n’interdit pas cela, mais c’est certainement une attitude qui présente des dangers et des problèmes.

      En premier lieu, il est bien de se rappeler que le service funèbre à l’église n’est pas une disposition prise essentiellement pour permettre aux amis de consoler la famille du défunt. En général, cela se fait là où se trouve le cercueil ou au domicile de la famille. Les funérailles à l’église constituent en réalité un service religieux. Au cours de celui-ci, le sermon qui sera vraisemblablement prononcé mettra en évidence des doctrines non bibliques, telles l’immortalité de l’âme ou la croyance selon laquelle tous les bons vont au ciel. Ce service peut également inclure des pratiques contraires aux Écritures, telles que le signe de la croix, ou la participation à une prière dite par un prêtre ou un ministre d’une autre religion. Évidemment, conformément au commandement rapporté dans Révélation 18:4, un chrétien ne voudra pas participer à de telles choses.

      Sous ce rapport, les funérailles au Japon constituent une véritable épreuve pour les femmes chrétiennes vouées dont le mari est non Témoin. Si elles assistent au service funèbre, on les appelle par leur nom et on s’attend à ce qu’elles se lèvent pour offrir de l’encens et une prière au défunt. C’est pourquoi de nombreuses chrétiennes japonaises dans cette situation ont décidé qu’il était préférable de ne pas assister à de telles funérailles.

      Certains chrétiens voués ont assisté à un service funèbre dans une église, parce qu’ils voulaient rester aux côtés de leurs proches parents et les soutenir. Ils sont donc allés là où était exposé le cercueil, à l’église et au cimetière. Ils ont pu le faire en ne participant personnellement à aucune pratique de la fausse religion. Le fait de se rendre dans un lieu où se pratique le faux culte présente évidemment des dangers d’ordre spirituel.

      Il est vrai qu’une femme chrétienne, dont le mari est non Témoin et désire qu’elle assiste à un service funèbre dans une église, peut considérer l’exemple de Naaman. Il s’agit d’un général syrien qui fut guéri de la lèpre en se plongeant à sept reprises dans les eaux du Jourdain conformément à l’ordre du prophète Élisée. Après cette guérison miraculeuse, Naaman était déterminé à ne jamais plus adorer un autre Dieu que Jéhovah. Toutefois, cela allait être difficile pour lui, car il était toujours au service du roi. Étant donné qu’il devait aider celui-ci, il l’accompagnait dans la maison du dieu païen Rimmon. Peut-être même allait-​il devoir aider le roi à se prosterner. Il demanda donc à Jéhovah de lui pardonner et de ne pas lui en tenir rigueur. Naaman, qui était devenu un véritable adorateur de Jéhovah, n’adorait pas lui-​même le faux dieu, mais il se rendait seulement en ce lieu parce qu’on le lui avait ordonné. — II Rois 5:1-19.

      Il en est de même pour une femme chrétienne dont le mari est non Témoin. Si celui-ci insiste pour qu’à l’occasion de la mort d’un parent ou d’un ami de la famille, elle l’accompagne à un service funèbre dans une église, elle pensera peut-être qu’il lui est possible d’agir de la même manière que Naaman, c’est-à-dire d’être présente, mais en ne participant à aucune pratique de la fausse religion. Toutefois, c’est à elle de décider. Elle devra choisir entre le respect des désirs de son mari d’une part, et l’obéissance à Jéhovah et à ce que lui dicte sa conscience éduquée par la Parole divine. — I Pierre 3:16.

      C’est en effet une question de conscience. Pourquoi ? Parce que d’autres peuvent la voir, elle qui est témoin de Jéhovah, entrer dans une église et cela peut les faire trébucher. Elle doit donc considérer cette éventualité. C’est ce qu’écrivit l’apôtre Paul : ‘Assurez-​vous des choses les plus importantes, de sorte que vous soyez sans défaut et que vous ne fassiez pas trébucher les autres jusqu’au jour de Christ.’ — Phil. 1:10.

      Dans un tel cas, il serait préférable que la chrétienne s’efforce d’expliquer sa position à son mari. Elle choisira un moment où il est détendu et de bonne humeur, imitant en cela la reine Esther ; puis, avec tact, elle expliquera pourquoi elle ne pense pas pouvoir assister au service funèbre à l’église. Entre autres choses, elle pourra mettre l’accent sur le fait que si elle assistait au service religieux sans participer à ses rites, ce serait probablement gênant pour les assistants et particulièrement pour son mari. Le mari non Témoin pourra accepter que sa femme n’y aille pas, par amour pour elle, pour respecter sa liberté religieuse et pour éviter toute situation gênante. — Esther 5:1-8.

      Mais en n’assistant pas au service funèbre, n’offenserons-​nous pas la famille affligée ? Cela pourrait se produire si nous feignions d’ignorer le décès. Nous ne sommes pas obligés d’agir ainsi. Le chrétien peut faire quelque chose pour montrer qu’il est compatissant et qu’il désire offrir son aide. Avant le service religieux, il peut aller là où se trouve le cercueil, présenter ses condoléances et offrir son aide. Il peut apporter de la nourriture ou préparer un repas au domicile de la famille ; ou encore garder les enfants, dégageant temporairement les parents de cette responsabilité. Ainsi, la famille ne pensera pas que le chrétien manque d’amour uniquement parce qu’il n’assiste pas au service religieux.

      Par conséquent, le chrétien ne doit pas se sentir obligé d’assister à un service funèbre dans une autre religion où il pourrait être tenté de céder aux pressions et de suivre la majorité des autres assistants lorsqu’ils accomplissent certains rites de la fausse religion. Ainsi, il évitera tout danger de pratiquer un acte d’apostasie et de perdre la faveur de Dieu. Toutefois, il appartient à chacun de prendre sa décision en fonction des circonstances et de sa conscience.

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