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  • Références pour le Cahier Vie et ministère (février 2018)

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  • 19-25 FÉVRIER
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Références pour le Cahier Vie et ministère (2018)
mwbr18 février p. 1-6

Références pour le Cahier Vie et ministère

5-11 FÉVRIER

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU | MATTHIEU 12-13

« L’exemple du blé et de la mauvaise herbe »

w13 15/7 9-10 § 2-3

« Voyez, je suis avec vous tous les jours »

2 Les évènements qui ont lieu dans le champ du cultivateur illustrent la façon et le moment où Jésus rassemble d’entre les humains la totalité du « blé », c’est-à-dire les chrétiens oints qui dirigeront avec lui son Royaume. Les semailles ont débuté à la Pentecôte 33 de n. è. Le ramassage du blé sera fini quand les oints encore sur terre à la fin de ce système de choses seront définitivement scellés puis ressuscités au ciel (Mat. 24:31 ; Rév. 7:1-4). Tout comme un poste d’observation sur une montagne offre une vue circulaire, cette parabole offre une vue panoramique d’évènements se déroulant sur quelque 2 000 ans. Quels évènements relatifs au Royaume discernons-​nous depuis cet observatoire ? La parabole évoque des temps de semailles, de croissance et de moisson. Dans cet article, nous nous concentrerons sur le temps de la moisson.

SOUS LA PROTECTION VIGILANTE DE JÉSUS

3 À l’aube du IIe siècle de n. è., « la mauvaise herbe est apparue » : de faux chrétiens sont devenus visibles dans le champ qu’est le monde (Mat. 13:26). Au IVe siècle, les chrétiens comparables à de la mauvaise herbe ont largement dépassé en nombre les chrétiens oints. Souviens-​toi que les esclaves ont demandé au maître la permission de déraciner la mauvaise herbe (Mat. 13:28). Qu’a répondu le maître ?

w13 15/7 10 § 4

« Voyez, je suis avec vous tous les jours »

4 À propos du blé et de la mauvaise herbe, Jésus a dit : « Laissez l’un et l’autre croître ensemble jusqu’à la moisson. » Cet ordre révèle que, du Ier siècle à nos jours, il y a toujours eu des chrétiens oints, du blé, sur terre. Ce que Jésus a déclaré plus tard le confirme : « Je suis avec vous tous les jours jusqu’à l’achèvement du système de choses » (Mat. 28:20). Jésus protègerait donc les chrétiens oints tous les jours qui se succèderaient jusqu’au temps de la fin. Cependant, puisque le blé était recouvert par la mauvaise herbe, nous ne savons pas exactement qui a été ce blé durant cette longue période. Toutefois, quelques décennies avant l’époque de la moisson, le blé est devenu plus visible. Comment ?

w13 15/7 12 § 10-12

« Voyez, je suis avec vous tous les jours »

10 Premièrement, le ramassage de la mauvaise herbe. Jésus déclare : « À l’époque de la moisson je dirai aux moissonneurs : Ramassez d’abord la mauvaise herbe et liez-​la en bottes. » Après 1914, les anges ont commencé à « ramasser » les chrétiens comparables à de la mauvaise herbe en les séparant des « fils [oints] du royaume » (Mat. 13:30, 38, 41).

11 Le ramassage progressant, la différence entre les deux groupes est devenue de plus en plus nette (Rév. 18:1, 4). En 1919, il est apparu clairement que Babylone la Grande était tombée. Qu’est-​ce qui, en particulier, distinguait les vrais chrétiens des faux ? La prédication. Les frères à la tête des Étudiants de la Bible se sont mis à souligner que chacun doit participer à la prédication du Royaume. Par exemple, la brochure À qui l’œuvre est confiée (angl.), parue en 1919, exhortait tous les chrétiens oints à prêcher de maison en maison. Elle déclarait : « L’œuvre paraît immense, mais c’est celle du Seigneur et nous l’accomplirons grâce à sa puissance. Vous avez l’honneur d’y participer. » Comment les Étudiants de la Bible ont-​ils réagi ? D’après une Tour de Garde de 1922, à partir de ce moment ils ont intensifié leur activité de prédication. La prédication de maison en maison est vite devenue une caractéristique de ces chrétiens fidèles, et elle l’est restée jusqu’à ce jour.

12 Deuxièmement, le ramassage du blé. Jésus ordonne à ses anges : « Mettez-​vous à ramasser le blé dans mon magasin » (Mat. 13:30). Depuis 1919, les chrétiens oints sont rassemblés dans la congrégation chrétienne rétablie. Pour ceux qui seront encore sur terre à la fin du système de choses, le ramassage final aura lieu quand ils recevront leur récompense céleste (Dan. 7:18, 22, 27).

Recherchons des perles spirituelles

nwtsty, note d’étude de Mt 12:20

la mèche qui fume : Les lampes domestiques étaient généralement de petits récipients en terre remplis d’huile d’olive. Une mèche de lin pompait l’huile pour alimenter la flamme. En grec, cette expression peut désigner une mèche qui fume parce qu’il reste un peu de braise, mais dont la flamme s’affaiblit ou est même déjà éteinte. La prophétie d’Isaïe 42:3 annonçait la compassion qui animerait Jésus ; jamais il n’éteindrait la dernière étincelle d’espoir chez les humbles et les opprimés.

w16.10 32

Le saviez-​vous ?

Pouvait-​il vraiment arriver, dans l’Antiquité, qu’un homme sème de la mauvaise herbe dans le champ d’un autre ?

EN MATTHIEU 13:24-26, Jésus déclare : « Le royaume des cieux est devenu semblable à un homme qui a semé de la belle semence dans son champ. Pendant que les hommes dormaient, son ennemi est venu et a semé de la mauvaise herbe par-dessus, au milieu du blé, et s’en est allé. Quand la plante a germé et produit du fruit, alors la mauvaise herbe est apparue elle aussi. » Divers auteurs doutent que cet exemple soit réaliste. Pourtant, des textes juridiques romains de l’Antiquité laissent entendre le contraire.

Selon un dictionnaire biblique, « semer de l’ivraie dans un champ à des fins de vengeance [...] était un délit sous la législation romaine. Le besoin d’une loi en la matière donne à penser que ce fait n’était pas rare ». Comme l’explique l’Encyclopædia Universalis, en 533 de n. è. l’empereur romain Justinien a publié son Digeste, résumé du droit romain contenant des extraits d’écrits de juristes de la période classique (vers 100-250 de n. è.). Dans cet ouvrage (Digeste, 9.2.27.14), le juriste Ulpien fait mention d’une affaire examinée par Celse, homme d’État romain du IIe siècle. Un homme avait semé de la mauvaise herbe dans le champ d’un autre, et en conséquence la récolte avait été perdue. Le Digeste examinait les recours qui s’offraient au propriétaire, ou au métayer, pour obtenir de l’auteur du délit le dédommagement des pertes subies.

Le fait qu’un tel acte de malveillance se soit produit dans l’Empire romain indique que la situation décrite par Jésus était réaliste.

12-18 FÉVRIER

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU | MATTHIEU 14-15

« Une poignée d’hommes pour nourrir beaucoup de monde »

w13 15/7 15 § 2

Une poignée d’hommes pour nourrir beaucoup de monde

2 Regardant la foule, Jésus est pris de pitié. Alors, il guérit les malades et enseigne beaucoup de choses sur le Royaume de Dieu. Puis, comme le jour baisse, les disciples pressent Jésus de laisser partir la foule pour qu’elle aille s’acheter à manger dans les villages alentour. Mais Jésus leur dit : « Donnez-​leur vous-​mêmes à manger. » Sa réponse doit les étonner parce que les provisions dont ils disposent sont plutôt maigres : cinq pains et deux petits poissons.

w13 15/7 15 § 3

Une poignée d’hommes pour nourrir beaucoup de monde

3 Poussé par la compassion, Jésus accomplit alors un miracle, le seul que rapportent les quatre Évangiles (Marc 6:35-44 ; Luc 9:10-17 ; Jean 6:1-13). Il demande à ses disciples de dire à la foule de s’étendre sur l’herbe par groupes de 50 ou de 100. Il dit ensuite une bénédiction, rompt le pain et partage les poissons. Puis, au lieu de distribuer directement les aliments, il les donne « aux disciples, et les disciples aux foules ». Grâce à un miracle, il y a plus de nourriture qu’il n’en faut pour tout le monde ! En l’occurrence, qu’a fait Jésus ? Il a nourri des milliers de personnes par l’intermédiaire d’une poignée d’hommes, ses disciples.

nwtsty, note d’étude de Mt 14:21

sans compter les femmes et les jeunes enfants : Matthieu est le seul à mentionner les femmes et les jeunes enfants quand il rapporte ce miracle. Il est possible que le nombre total de ceux qui ont été miraculeusement nourris soit bien supérieur à 15 000.

w13 15/7 15 § 1

Une poignée d’hommes pour nourrir beaucoup de monde

REPRÉSENTE-​TOI la scène (lire Matthieu 14:14-21). Nous sommes en 32 de n. è., peu avant la Pâque, dans un endroit désert près de Bethsaïda, un village sur la rive nord de la mer de Galilée. Jésus et ses disciples sont réunis avec une foule d’environ 5 000 hommes, sans compter les femmes et les petits enfants.

Recherchons des perles spirituelles

nwtsty, note d’étude de Mt 15:7

hypocrites : Le mot grec hupokritês désignait à l’origine des acteurs de théâtre grecs (et plus tard romains) qui portaient de grands masques conçus pour amplifier la voix. Ce terme en est venu à être appliqué, par métaphore, à quelqu’un qui cachait sa personnalité ou ses intentions réelles en jouant la comédie ou en trompant. Ici, Jésus qualifie les chefs religieux juifs d’« hypocrites » (Mt 6:5, 16).

nwtsty, note d’étude de Mt 15:26

enfants [...] petits chiens : Comme les chiens étaient impurs selon la Loi mosaïque, la Bible utilise souvent le terme « chien » dans un sens péjoratif (Lv 11:27 ; Mt 7:6 ; Php 3:2 ; Ré 22:15). Cependant, dans la conversation rapportée par Marc (7:27) et par Matthieu, Jésus utilise le diminutif de ce terme, qui signifie « petit chien » ou « chien d’intérieur », ce qui adoucit la comparaison. Cela indique peut-être que Jésus utilisait un terme affectueux désignant les animaux de compagnie des maisons non-juives. En comparant les Israélites à des « enfants » et les non-Juifs, à des « petits chiens », Jésus voulait de toute évidence montrer qu’il y avait un ordre de priorité. Dans un foyer où vivaient des enfants et des chiens, on donnait d’abord à manger aux enfants.

19-25 FÉVRIER

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU | MATTHIEU 16-17

Quelle est ta façon de penser ?

w07 15/2 16 § 17

Maris, reconnaissez l’autorité du Christ

17 Un jour, Jésus expliqua à ses apôtres qu’il devait aller à Jérusalem, où il serait persécuté par ‘les anciens, les prêtres en chef et les scribes, et serait tué, et le troisième jour serait relevé’. Pierre le prit alors à part et commença à le réprimander ainsi : “Sois bon avec toi, Seigneur ; non, tu n’auras pas un tel sort.” Manifestement, Pierre se laissait aller au sentimentalisme. Son point de vue avait besoin d’être corrigé. Jésus lui dit donc : “Passe derrière moi, Satan ! Tu es pour moi un obstacle qui fait trébucher, parce que tu penses, non pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes.” — Matthieu 16:21-23.

w15 15/5 13 § 16-17

Sois vigilant, Satan veut te dévorer !

16 Satan peut berner même des serviteurs de Jéhovah zélés. Songe à ce qui s’est passé lorsque Jésus a dit à ses disciples qu’il était sur le point d’être tué. Sans doute avec de bonnes intentions, l’apôtre Pierre l’a pris à part et lui a dit : « Sois bon avec toi, Seigneur ; non, tu n’auras pas un tel sort. » La réponse de Jésus a été ferme : « Passe derrière moi, Satan ! » (Mat. 16:22, 23). Pourquoi Jésus a-​t-​il appelé Pierre « Satan » ? Parce qu’il mesurait bien ce qui était sur le point de se produire. L’heure où il allait mourir en sacrifice rédempteur et prouver que le Diable est un menteur approchait. En cet instant critique de l’histoire humaine, il lui fallait être tout sauf « bon » avec lui. Ce que voulait Satan, c’était précisément qu’il baisse sa garde.

17 Alors que la fin de ce système de choses approche, nous vivons, nous aussi, des temps critiques. Satan veut que nous relâchions notre garde. Il veut que nous soyons « bon[s] » avec nous-​mêmes en nous faisant une place dans ce monde, ce qui nous ferait perdre notre sentiment d’urgence. Ne tombe pas dans ce piège ! Au contraire, « veill[e] » (Mat. 24:42). Ne te fais pas avoir par la propagande trompeuse de Satan, selon laquelle la fin est encore loin ou n’arrivera pas

w06 1/4 23 § 9

« Allez et faites des disciples, les baptisant »

9 Comment suit-​on l’exemple de Jésus pour ce qui est de faire la volonté de Dieu ? Jésus a dit à ses disciples : “Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il se renie lui-​même et prenne son poteau de supplice et me suive continuellement.” (Matthieu 16:24). Jésus énumérait ici trois choses à faire. Tout d’abord, nous ‘renier nous-​mêmes’. En d’autres termes, dire non à nos inclinations égoïstes, imparfaites, et oui au conseil et à la direction de Dieu. Ensuite, ‘prendre notre poteau de supplice’. À l’époque de Jésus, le poteau de supplice était un symbole de honte et de souffrances. Étant chrétiens, nous acceptons notre part pour ce qui est de souffrir à cause de la bonne nouvelle (2 Timothée 1:8). Même si le monde nous raille ou nous critique, comme Christ nous ‘méprisons la honte’, heureux de savoir que nous plaisons à Dieu (Hébreux 12:2). Enfin, suivre Jésus “continuellement”. — Psaume 73:26 ; 119:44 ; 145:2.

Recherchons des perles spirituelles

nwtsty, note d’étude de Mt 16:18

Tu es Pierre, et sur ce rocher : Le mot grec pétros (de genre masculin) signifie « un morceau de roche ; une pierre ». Ici, ce terme est employé comme nom propre (Pierre), la forme grecque du nom que Jésus a donné à Simon (Jean 1:42). Le mot pétra (de genre féminin) est rendu par « rocher » et peut désigner un soubassement, un escarpement ou un roc. Ce mot grec apparaît aussi dans Mt 7:24, 25 ; 27:60 ; Lc 6:48 ; 8:6 ; Rm 9:33 ; 1Co 10:4 ; 1P 2:8. Pierre ne pensait manifestement pas être le rocher sur lequel Jésus bâtirait sa congrégation, puisqu’il a écrit en 1P 2:4-8 que Jésus était la « principale pierre d’angle » tant attendue et choisie par Dieu en personne. De la même façon, l’apôtre Paul a parlé de Jésus comme du « fondement » et du « rocher spirituel » (1Co 3:11 ; 10:4). De toute évidence, Jésus utilisait un jeu de mots, comme s’il disait : « Toi, celui que j’ai appelé Pierre, un Morceau de roche, tu as discerné la véritable identité du Christ, “ce rocher”, celui qui jouera le rôle de fondement de la congrégation chrétienne. »

congrégation : Première occurrence du terme grec ékklêsia. Il vient de deux mots grecs : ék qui veut dire « hors de » et kaléô, « appeler ». Ce terme désigne un groupe de personnes convoquées ou réunies dans un but particulier ou pour une activité particulière. Dans ce contexte, Jésus prédit la formation de la congrégation chrétienne composée de chrétiens oints, qui en tant que « pierres vivantes » sont en train d’être « construits en maison spirituelle » (1P 2:4, 5). Ce terme grec est fréquemment utilisé dans la Septante comme un équivalent du terme hébreu rendu par « congrégation », qui désigne souvent toute la nation constituée des serviteurs de Dieu (Dt 23:3 ; 31:30). En Ac 7:38, les Israélites qui ont été appelés d’Égypte sont désignés par le mot « congrégation ». De la même façon, les chrétiens qui sont « appelés des ténèbres » et « choisis du milieu du monde » composent « la congrégation de Dieu » (1P 2:9 ; Jean 15:19 ; 1Co 1:2).

nwtsty, note d’étude de Mt 16:19

clés du royaume des cieux : Dans la Bible, ceux à qui on donnait des clés, au sens littéral ou symbolique, recevaient une certaine autorité (1Ch 9:26, 27 ; Is 22:20-22). Le terme « clé » en est donc venu à symboliser l’autorité ou les responsabilités. Pierre a utilisé les « clés » qui lui ont été confiées pour permettre aux Juifs (Ac 2:22-41), aux Samaritains (Ac 8:14-17) et aux Gentils (Ac 10:34-38) de recevoir l’esprit de Dieu avec la perspective d’entrer dans le royaume céleste.

26 FÉVRIER–4 MARS

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU | MATTHIEU 18-19

« Ne faisons trébucher ni nous-​même ni les autres »

nwtsty, notes d’étude de Mt 18:6, 7

une meule de moulin que fait tourner un âne : Ou « une énorme meule ». Litt. « une meule d’âne ». Une telle meule, probablement d’un diamètre de 1,20-1,50 m, était si lourde qu’il fallait un âne pour la faire tourner.

obstacles qui font trébucher : On pense qu’à l’origine, le mot grec skandalon, rendu par « obstacle [qui fait trébucher] », désignait un piège ; certains pensent que c’était la partie du piège à laquelle l’appât était attaché. Par extension, il a fini par désigner tout obstacle pouvant faire trébucher ou faire tomber une personne. Dans un sens figuré, il désigne une action ou une situation qui amène une personne à avoir une mauvaise conduite, à trébucher ou tomber sur le plan moral, ou à commettre un péché. En Mt 18:8, 9, le verbe qui lui est apparenté, skandalizô, traduit par « faire trébucher », pourrait aussi être traduit par « devenir un piège ; faire pécher ».

nwtsty, note multimédia

Meule

Les meules étaient utilisées pour moudre le grain et extraire l’huile des olives. Certaines étaient assez petites pour être tournées à la main, mais d’autres étaient si énormes qu’il fallait un animal pour les faire tourner. C’est peut-être une grande meule comme celle-là que Samson a été forcé de faire tourner pour les Philistins (Jg 16:21). Les moulins à traction animale étaient répandus non seulement en Israël, mais aussi dans la majeure partie de l’Empire romain.

Meules de dessus et de dessous

Une grande meule comme celle représentée ici nécessitait un animal domestique, comme un âne, pour la faire tourner et était utilisée pour moudre le grain ou presser les olives. Une meule de dessus pouvait avoir un diamètre de 1,50 m et était tournée sur une meule de dessous encore plus grande.

nwtsty, note d’étude de Mt 18:9

Géhenne : Ce terme vient des mots hébreux gé hinnom, qui signifient « vallée de Hinnom », une vallée située au sud-ouest de l’ancienne Jérusalem (voir sgd, partie 16-A, carte « Jérusalem et ses environs »). Au temps de Jésus, elle était devenue un lieu où l’on brûlait les déchets. Le terme « géhenne » était donc un symbole approprié de la destruction totale.

nwtstg (Lexique)

Géhenne

Nom grec désignant la vallée de Hinnom, située au sud-ouest de l’ancienne Jérusalem (Jr 7:31). Ce nom était employé pour désigner prophétiquement un lieu où des cadavres seraient éparpillés (Jr 7:32 ; 19:6). Rien ne permet de dire que des animaux ou des humains aient été jetés dans la Géhenne pour être tourmentés ou brûlés vivants. Cet endroit ne pouvait donc pas symboliser une région invisible où les âmes humaines sont tourmentées éternellement dans un feu au sens propre. Le nom Géhenne était plutôt utilisé par Jésus et ses disciples pour symboliser la punition correspondant à la « deuxième mort », c’est-à-dire la destruction éternelle (Ré 20:14 ; Mt 5:22 ; 10:28).

nwtsty, note d’étude de Mt 18:10

ont [...] accès auprès de mon Père : Litt. « voient [...] le visage de mon Père ». Comme elles ont accès à la présence même de Dieu, seules les créatures spirituelles peuvent voir le visage de Dieu (Ex 33:20).

w10 1/11 16

Quelle influence les créatures spirituelles ont-​elles sur nous ?

Jésus a révélé que les anges ont reçu la responsabilité de s’occuper du bien-être spirituel des serviteurs de Dieu. C’est pourquoi, lorsqu’il a recommandé à ses disciples de ne pas faire trébucher autrui, il a déclaré : “Veillez à ne mépriser aucun de ces petits, car je vous dis que leurs anges dans le ciel voient toujours la face de mon Père qui est dans le ciel.” (Matthieu 18:10). Jésus ne voulait pas nécessairement dire que chacun de ses disciples a un ange gardien qui lui est attitré. Il a plutôt montré que les anges qui collaborent de très près avec Dieu s’intéressent activement aux membres de la congrégation.

Recherchons des perles spirituelles

nwtsty, note d’étude de Mt 18:22

77 fois : Litt. « soixante-dix fois sept ». Cette expression grecque peut signifier soit « 70 et 7 » (77 fois) ou « 70 multiplié par 7 » (490 fois). On trouve la même expression dans la Septante en Gn 4:24 pour traduire l’expression hébraïque qui signifie « 77 fois », ce qui confirme la traduction « 77 fois » dans les Écritures grecques. Quelle que soit la façon dont cette expression est comprise, la répétition du nombre 7 équivalait à « indéfiniment » ou à « sans limite ». En changeant le 7 de Pierre en 77, Jésus disait à ses disciples de ne pas fixer de limite arbitraire au pardon. À l’opposé, le Talmud de Babylone (Yoma 86b) dit : « Un homme a commis une faute une première fois, elle lui est pardonnée. Une deuxième fois, elle lui est pardonnée. Une troisième fois, elle lui est pardonnée. Une quatrième fois, elle ne lui sera plus pardonnée. »

nwtsty, note d’étude de Mt 19:7

attestation de renvoi : Ou « attestation de divorce ». En demandant à un homme qui envisageait le divorce de préparer un document légal et probablement de consulter les anciens, la Loi lui donnait le temps de reconsidérer une décision si sérieuse. De toute évidence, la Loi avait pour objectif d’empêcher des divorces précipités et d’assurer aux femmes une certaine protection légale (Dt 24:1). Mais au temps de Jésus, les chefs religieux ont facilité l’obtention des divorces. L’historien du Ier siècle Josèphe, lui-​même un pharisien divorcé, a indiqué que le divorce était permis « pour un motif quelconque », précisant que « les hommes en ont souvent de ce genre ».

nwtsty, note multimédia

Attestation de divorce

Cette attestation de divorce, datant de 71 ou 72 de notre ère, a été rédigée en araméen. Elle a été découverte au nord de l’oued Murabbaat, le lit d’un torrent à sec dans le désert de Judée. Elle déclare que la sixième année de la révolte juive, Yoseph, fils de Naqsan, qui habitait la ville de Massada, a divorcé de Mariam, fille de Yonatan.

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