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AdoptionÉtude perspicace des Écritures (volume 1)
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Les Écritures hébraïques ne traitent pas de l’adoption du point de vue des démarches juridiques, mais la notion d’adoption transparaît dans plusieurs cas. Avant la naissance de Yishmaël et d’Isaac, Abraham considérait que son esclave Éliézer était à tout le moins susceptible de se voir conférer un rang comparable à celui d’un fils adoptif et qu’il était l’héritier probable de sa maison (Gn 15:2-4). L’adoption d’esclaves a été longtemps une coutume courante au Proche-Orient. Un esclave ainsi adopté avait des droits sur l’héritage, mais ces droits ne supplantaient pas ceux des descendants biologiques du père.
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AdoullamÉtude perspicace des Écritures (volume 1)
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Adoullam était sans doute une ville très ancienne. La Bible la mentionne pour la première fois en rapport avec Hira “ l’Adoullamite ”, qui devint le compagnon de Juda avant que la famille de Jacob ne descende en Égypte (Gn 38:1, 2, 12, 20). Quelque trois siècles plus tard, lors de l’invasion dirigée par Josué, Adoullam était du nombre des 31 petits royaumes qu’il vainquit (Jos 11:1-15 ; 12:15). Adoullam fut ensuite attribuée à Juda avec d’autres villes de la Shéphéla. — Jos 15:33-35.
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