Note
a En raison de l’imperfection, il nous arrive de dire ou de faire des choses qui blessent un de nos frères ou une de nos sœurs. Comment réagissons-nous alors ? Nous efforçons-nous de rétablir rapidement de bonnes relations avec notre compagnon ? Nous excusons-nous sans tarder ? Ou bien nous disons-nous que si notre compagnon est blessé, c’est son problème, et pas le nôtre ? Il se peut aussi que nous nous vexions facilement de ce que disent ou font les autres. Dans ce cas, avons-nous tendance à nous justifier en disant : « Je suis comme ça, c’est ma personnalité ! » ? Ou bien comprenons-nous qu’il s’agit là d’une faiblesse que nous devons combattre ?