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  • Le miracle de la perpétuation de la vie sur la terre

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  • Le miracle de la perpétuation de la vie sur la terre
  • Réveillez-vous ! 1973
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Réveillez-vous ! 1973
g73 8/11 p. 5-9

Le miracle de la perpétuation de la vie sur la terre

N’EST-​IL pas étrange de parler du miracle de la perpétuation de la vie ? Nous avons tendance à penser que la vie sur la terre est quelque chose de normal, qu’il s’agisse des plantes, des animaux ou des humains. Cependant, beaucoup de gens seraient stupéfaits s’ils savaient tout ce qu’implique la perpétuation de la vie terrestre, y compris notre propre vie. Considérons quelques-unes des raisons pour lesquelles la perpétuation de la vie sur cette planète peut être, à bon droit, appelée un miracle. Nous apprécierons davantage notre propre vie.

L’espace

La vie sur la terre dépend de la lumière et de la chaleur du soleil. On pense que celui-ci convertit la matière en énergie au rythme de 4 millions de tonnes par seconde et qu’il peut continuer à le faire pendant des milliards d’années. Un deux-milliardième seulement de cette énorme énergie atteint finalement la terre, mais c’est suffisant pour que la vie continue. L’existence du soleil, producteur de tant de chaleur et d’énergie, est-​elle due au hasard ?

Certaines radiations émanant du soleil pourraient détruire la vie sans l’atmosphère terrestre qui forme un bouclier protecteur. Par exemple, à environ vingt-deux kilomètres au-dessus du sol, une mince couche d’ozone retient la plupart des radiations nuisibles. Si cette couche d’ozone se dissipait dans l’espace, nul doute que ces radiations détruiraient la vie végétale et animale. C’est pourquoi, selon le Dr F. E. Miller de la Smithsonian Institution, la vie sur la terre est un “miracle” possible grâce à cette mince couche d’ozone dans l’atmosphère.

Nous devons être protégés non seulement des radiations mortelles, mais encore des bombardements de météorites. La plupart des météorites n’atteignent jamais le sol, car elles sont consumées au cours de leur chute à travers l’atmosphère où elles se désintègrent en fine poussière. Imaginez ce qui se passerait si elles n’étaient pas ainsi réduites en cendre ! Des millions de météorites de toutes tailles tomberaient sur toute la terre, causant de grands dégâts et détruisant des vies.

Non seulement l’atmosphère sert de protection, mais elle fournit les gaz essentiels à la vie. Le géophysicien Arthur Beiser a décrit l’air comme “un mélange constant formé de 78 pour cent d’azote, de 21 pour cent d’oxygène, de 0,9 pour cent d’argon, de 0,03 pour cent de gaz carbonique, de traces d’une demi-douzaine d’autres gaz et d’une quantité variable de vapeur d’eau”. À l’état pur, certains de ces gaz sont mortels. Cependant, comme ils sont combinés dans les proportions voulues, nous pouvons les respirer sans dommage. De plus, si la quantité d’oxygène dans l’air était beaucoup plus élevée, certains matériaux combustibles deviendraient très inflammables, de sorte qu’il serait très difficile de maîtriser un incendie.

Le simple hasard a-​t-​il pu produire une combinaison de gaz convenant exactement à la vie sur la terre ? Ou bien un Être intelligent a-​t-​il pris des dispositions pour que la vie puisse se perpétuer ?

L’eau, ce précieux liquide

Sans l’eau, aucune vie, végétale ou animale, ne serait possible. Heureusement, il y a abondance d’eau sur notre planète. Pourtant, c’est vraiment un liquide exceptionnel. Chaque molécule d’eau est faite de deux atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène. L’hydrogène est le gaz le plus inflammable que l’on connaisse et l’oxygène est nécessaire à la combustion. Mais quand deux atomes d’hydrogène se combinent avec un atome d’oxygène, on obtient une des substances les plus appropriées pour éteindre le feu. N’est-​ce pas surprenant ?

Les effets du froid sur l’eau montrent aussi que celle-ci est vraiment un liquide unique. Quand l’eau des lacs et des mers se refroidit, elle devient plus lourde, de sorte qu’elle fait remonter à la surface l’eau plus chaude et plus légère. Cependant, quand la masse liquide dans son ensemble atteint environ 4 degrés, un changement étonnant se produit. L’eau devient de plus en plus légère à mesure qu’elle s’approche du point de congélation, 0 degré. Elle forme donc une couche au-dessus des eaux plus chaudes du fond. Cette couche supérieure se transforme ensuite en glace qui, plus légère que l’eau, flotte. La vie marine est ainsi protégée. Si ce phénomène n’avait pas lieu, tous les lacs et même les océans finiraient par geler entièrement, et la terre deviendrait un “congélateur” où aucune vie ne pourrait subsister.

La manière dont les régions éloignées des rivières, des lacs et des mers reçoivent l’eau vitale est également étonnante. La chaleur du soleil convertit constamment des milliards de litres d’eau en vapeur. Cette vapeur, plus légère que l’air, s’élève et forme des nuages qui se déplacent, grâce à l’action du vent et des courants d’air créés par l’énergie solaire. Tandis que l’air dans les nuages se refroidit, la vapeur se condense en fines gouttelettes autour de particules de poussière. Cette poussière atmosphérique provient de diverses sources, y compris les météorites désintégrées. Puis les gouttelettes s’unissent pour former des gouttes de pluie.

Les gouttes de pluie grossissent jusqu’à un certain point, puis elles commencent à tomber. Que se passerait-​il si les gouttes devenaient très grosses ? Ce serait tout simplement désastreux comme le faisait remarquer Arthur L. Brown, dans son livre L’empreinte de Dieu (angl.). Nous y lisons en effet : “Si la pluie ne tombait pas en averses légères, elle détruirait la végétation, enfoncerait les cultures dans le sol, dépouillerait les arbres de leurs feuilles et de leurs fruits, creuserait de profondes tranchées dans les champs et emporterait la terre arable. Chaque nuage qui passerait deviendrait une cause de terreur. Mais combien sont profitables les dispositions existantes ! Au lieu de tomber en cataractes dévastatrices, l’eau se répand en gouttes légères et fécondantes, un peu comme si le nuage était un arrosoir perforé de trous minuscules. Les gouttes tombent et il est rare qu’un brin d’herbe soit abîmé ou que la fleur la plus délicate soit meurtrie.” — Pages 110, 111.

Ces différents détails concernant l’approvisionnement de la terre en eau, si vitale, ne suggèrent-​ils pas l’existence d’un Maître Architecte ?

L’interdépendance des formes de vie

Quand on considère notre planète, on ne peut qu’être frappé par le fait que les différentes formes de vie dépendent les unes des autres.

Les plantes vertes, par exemple, produisent des hydrates de carbone, un aliment essentiel à l’homme et aux animaux. Le processus échappe toujours aux savants. Laurence C. Walker, autorité en physiologie végétale, s’exprime en ces termes : “Ce qui reste une grande inconnue pour le botaniste, c’est la manière de fabriquer des hydrates de carbone synthétiques à partir des ingrédients dont les plantes vertes se servent. On peut préparer de la chlorophylle en laboratoire. Les gaz de l’air peuvent être mélangés dans n’importe quelle proportion et l’on dispose de l’énergie de la lumière comme catalyseur (accélérateur). Cependant, on n’obtient pas d’hydrates de carbone. Si le secret était découvert, l’homme pourrait probablement nourrir le monde, — en se servant d’une fabrique de la dimension d’une école courante.”

Les plantes ne produisent pas seulement des hydrates de carbone. Au cours du processus, elles utilisent le gaz carbonique et rejettent de l’oxygène, indispensable à la vie animale. Ces petites fabriques que sont les plantes purifient donc l’air continuellement. Quelle différence avec les usines, responsables de la pollution de l’air !

L’interdépendance des formes de vie se voit également dans la contribution qu’apportent les bactéries, les insectes, les oiseaux et d’autres animaux à la productivité du sol. Les déchets des diverses créatures enrichissent le sol de substances nutritives comme l’azote soluble. Certaines bactéries du sol convertissent l’azote en composés nécessaires à la croissance des plantes. La couche de terre arable s’épaissit grâce aux vers et aux insectes qui amènent continuellement des particules de terre du sous-sol vers la surface.

Cette interdépendance n’a-​t-​elle pas quelque chose de miraculeux ?

Les miracles de la naissance

Pensons également à la manière dont les humains viennent au monde. Considérons, par exemple, deux modifications du système circulatoire, qui ont lieu à la naissance.

Le cœur d’un adulte normal est semblable à une double pompe qui fait fonctionner deux systèmes circulatoires séparés. Le côté gauche contient le sang oxygéné, tandis que le droit contient le sang vicié. La séparation totale du cœur droit et du cœur gauche empêche le sang chargé de gaz carbonique de se mélanger au sang oxygéné provenant des poumons.

Par contre, le cœur du fœtus n’a pas besoin de deux systèmes circulatoires séparés. En effet, quoique le sang de la mère et celui du bébé soient maintenus séparés par le placenta, au moyen de cet organe, le sang de la mère entraîne les déchets du fœtus et lui apporte l’oxygène et les substances nutritives. Comme les poumons du fœtus ne fonctionnent pas, il n’y a qu’une seule circulation. Le système circulatoire du fœtus est doté de deux “raccords”. D’abord il y a un orifice, le trou de Botal, dans la paroi (septum) qui sépare le cœur droit et le cœur gauche. Cela permet au sang veineux et au sang artériel de se mélanger. Il y a également un canal artériel qui relie les deux artères principales partant du cœur. Cependant, si le trou de Botal et le canal artériel persistaient après la naissance, cela signifierait la mort.

La façon dont se produit le changement, exactement au moment voulu, est un miracle qui déroute les savants. Une membrane autour du trou de Botal le ferme instantanément à la naissance. Avec le temps, de nouveaux tissus se forment, obturant ce passage pour la vie. Quant au canal artériel, il est entouré d’un muscle lisse qui, à la naissance, se contracte et le ferme. Le sang est ainsi dirigé vers les poumons. Le muscle contracté finit par s’atrophier et disparaître. Dans la majorité des naissances, cette adaptation se fait sans accident, ce qui permet au bébé de vivre. Dans les rares cas où elle ne se fait pas, une intervention chirurgicale parvient souvent à corriger ce défaut.

En vérité, la perpétuation de la vie est une chose merveilleuse. Le fait qu’elle ait pu se perpétuer jusqu’à nos jours n’est-​il pas une preuve de l’existence d’un Créateur ? Selon la Bible, c’est Dieu (Gen. 1:1). Toutes les mesures que Dieu a prises pour que la vie puisse se perpétuer montrent à quel point il se soucie de sa création. Cela nous donne l’assurance, que jamais Dieu ne permettra que l’homme fasse de la terre un dépotoir inhabitable (Rév. 11:18). Il est aussi raisonnable de conclure que le Créateur a un dessein grandiose à l’égard de l’humanité.

Nous avons donc de nombreuses raisons de chercher avec ardeur à entretenir de bonnes relations avec Dieu et à avoir une part dans son dessein.

[Schéma, page 6]

(Voir la publication)

L’eau, vitale pour la vie terrestre, est pompée par l’énergie solaire dans les rivières et les lacs, et retombe sur la terre en gouttes légères.

La vapeur se refroidit, formant des nuages

Les nuages se refroidissent causant des précipitations

Vapeur d’eau invisible

Pluie

Évaporation provenant des précipitations

Évaporation provenant des rivières et des lacs

Évaporation provenant du sol et des plantes

Précipitations s’infiltrant dans le sol

Évaporation provenant de l’océan

Les eaux du sous-sol se déversent dans les lacs, les rivières et les océans.

[Illustration, page 5]

200 millions de météorites bombardent l’atmosphère chaque jour ; l’atmosphère nous protège contre elles en provoquant leur désintégration.

L’ozone retient les radiations mortelles provenant du soleil, mais laisse passer celles qui sont nécessaires.

L’air contient une combinaison de gaz convenant exactement à la vie humaine.

[Illustration, page 8]

Le fœtus a un “trou” dans le cœur, nécessaire à sa vie. Miraculeusement, à la naissance, ce trou se ferme, ce qui est indispensable pour que le bébé puisse vivre hors du sein de sa mère.

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