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  • Le maintien de l’intégrité dans la Pologne communiste

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  • Le maintien de l’intégrité dans la Pologne communiste
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
  • Intertitres
  • LA PERSÉCUTION COMMENCE
  • DANS LES MAINS DES AGENTS DE LA SÛRETÉ POLONAISE
  • MARTYRS FIDÈLES
  • RÉPIT POUR LES TÉMOINS
La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
w57 1/9 p. 269-271

Le maintien de l’intégrité dans la Pologne communiste

Les faits relatés ici ont été tirés de deux documents présentés au procureur général du gouvernement polonais à Varsovie par le ministre président des Témoins de Jéhovah de ce pays.

“ LA DOMINATION des Soviets ne connaît ni liberté ni justice. Elle est édifiée sciemment sur l’annihilation de la volonté de l’individu, sur la soumission inconditionnelle. Mais nous sommes les maîtres. La répression nous est confiée. Une rigueur absolue, voilà notre devoir. Et, dans l’accomplissement de ce devoir, une grande cruauté signifie le plus grand mérite. ” — Lénine.

Ce langage ne pouvait être que celui d’une personne possédant l’esprit même du Diable. Naturellement, Lénine, le chef de la révolution russe de 1917, ne croyait pas aux puissances surhumaines, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. C’était un athée, comme le sont tous les communistes orthodoxes. Pour de tels hommes, la théorie de l’évolution de Darwin a été et est encore une explication des mieux accueillies de l’existence de la vie et de l’homme, ce qui rend inutile la foi accordée à un Créateur tout-puissant et doué d’une sagesse infinie. La conception communiste selon laquelle l’homme est un produit de l’évolution explique le peu de cas que l’on fait de lui. Pour les communistes, l’homme n’est qu’un animal ayant atteint un niveau plus élevé que le reste des animaux et dont on peut disposer comme les intérêts de la cause communiste l’exigent.

La preuve de ce qui précède peut être trouvée dans l’histoire de l’Union soviétique des quarante dernières années, dans les millions de travailleurs esclaves qu’elle a gardés dans des centaines de camps et dans le nombre incalculable de ceux qui ont péri misérablement. On peut le voir aussi d’après ce qui s’est passé et se passe en Hongrie, et dans les persécutions que les témoins de Jéhovah ont subies sous la domination communiste depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, par exemple celles de Pologne.

LA PERSÉCUTION COMMENCE

À la fin de 1905, un ministre chrétien voué, un “ Étudiant de la Bible ”, quitta la Suisse pour aller habiter Varsovie où il allait diriger une fabrique de dentelles. Comme tous les ministres chrétiens, il fit connaître aux autres son espérance concernant le royaume de Dieu, étant obligé tout d’abord d’avoir recours à un interprète. Certains écoutèrent, crurent, se vouèrent aussi pour servir Jéhovah et commencèrent à parler à d’autres de la bonne nouvelle. À partir de ce petit commencement, il y a cinquante ans environ, l’œuvre des témoins de Jéhovah en Pologne s’était développée, était devenue un arbre magnifique, vigoureux et majestueux, capable de résister à tous les orages qui se briseraient contre lui, y compris les deux guerres mondiales et les dictatures nazie et communiste.

À la fin de la deuxième guerre mondiale, les témoins de Jéhovah obtinrent la liberté de prêcher, mais pour peu de temps. Peu à peu l’opposition communiste se manifesta, de sorte qu’en 1948, il devint impossible de tenir les assemblées annuelles et semestrielles connues sous le nom d’assemblées de district et de circuit. Dans un camp de concentration nazi, certains témoins de Jéhovah avaient été les compagnons de captivité de Josef Cyrankiewicz, premier ministre de 1947 à 1952 et du 19 mars 1954 jusqu’à maintenant. Ils avaient partagé avec lui leur nourriture, l’avaient aidé de mainte autre manière et leur belle conduite avait fait une très bonne impression sur lui. Il leur conseilla d’aller le voir si, un jour, il occupait une haute position dans la Pologne d’après-guerre et si les témoins avaient des ennuis. Quand, en 1948, la situation s’aggrava, une délégation de témoins lui rendit visite. Il les reçut sans difficulté, leur dit être au courant de ce qui se passait mais dans l’impossibilité de faire quoi que ce soit à ce sujet.

Auparavant, en février 1946, le Service de la Sûreté du district de Lodz arrêta certains membres dirigeants de la filiale de la Société dans cette ville. Un fonctionnaire dit à l’un d’entre eux : “ Vous devez nager avec le courant, autrement vous ne serez pas relâchés. ” Quand le témoin s’informa du sens de cette expression, on lui déclara :

“ Vous coopérerez avec nous. Vous signerez une déclaration que nous garderons en lieu sûr. On vous donnera un pseudonyme, vous porterez les rapports que vous signerez ainsi à ce bureau ou à mon domicile ou bien quelqu’un d’ici ira les chercher à votre adresse. Vous organiserez les témoins de Jéhovah de telle sorte qu’ils assisteront à tous les services catholiques romains et écouteront attentivement les sermons des prêtres. Ils noteront toutes les déclarations dirigées contre le pouvoir du peuple ou qui pourraient nuire à l’État. ”

Le témoin refusa en disant que les témoins ne combattaient leurs ennemis qu’avec la vérité de la Bible et qu’ils aimaient leur prochain. Plus tard, les témoins arrêtés furent relâchés à la suite d’une protestation remise à l’ambassadeur de Pologne à Berne, Suisse.

En juin 1946, le même fonctionnaire de Lodz vint à la filiale et demanda la coopération des témoins. Il les mit en garde contre les cruelles conséquences découlant d’un refus et promit les meilleures salles des différentes villes pour les réunions des témoins de Jéhovah s’ils coopéraient. “ Personne ne peut nous empêcher de faire tout ce que nous voulons ”, dit-​il au témoin. Ce dernier resta ferme et l’agent communiste s’en alla, furieux. Le lendemain, le témoin fut enlevé de force d’une manière si adroite que personne ne le remarqua. Cependant, quand il comparut devant le procureur, il fut relâché.

Le 21 avril 1950, à 22 h 30, les agents de la sûreté envahirent la filiale et arrêtèrent les travailleurs dirigeants. Aucun mandat n’avait été lancé ; la descente de la police s’était donc faite à l’insu du procureur. Peu de temps après, tous les travailleurs de la filiale étaient arrêtés et l’œuvre officiellement interdite dans toute la Pologne.

DANS LES MAINS DES AGENTS DE LA SÛRETÉ POLONAISE

Quelle sorte de traitement infligea-​t-​on aux témoins arrêtés ? Nous donnons ici des exemples caractéristiques. En passant, il est intéressant de noter que l’actuel gouvernement polonais, sous la direction de Wladislaw Gomulka, a condamné les violations de la “ légalité socialiste ” par les staliniens et a décidé d’inviter les fonctionnaires de l’ancien Ministère de la Sûreté à rendre compte de leurs mauvaises actions.

Les témoins furent emmenés au bureau de la sûreté de Lodz et des méthodes du “ troisième degré ” ou inquisitoriales furent immédiatement appliquées. Le témoin A fut “ cuisiné ” et maltraité pendant huit jours et huit nuits sans répit. Pareil traitement fut infligé au témoin B pendant six jours.

On fit pleuvoir des coups sur le témoin A jusqu’à ce qu’il fût couvert d’ecchymoses. À maintes reprises, on lui dit que l’épreuve cesserait s’il avouait avoir été un espion. Ses bourreaux lui demandèrent aussi de signer une déclaration reconnaissant qu’il avait ordonné la construction d’une station de radio qui diffusait des informations trahissant les intérêts de la Pologne. Quand il demanda comment il pourrait signer une déclaration qui était un véritable non-sens, on lui dit : “ Non-sens ou pas, vous signez ou vous n’obtiendrez pas votre liberté. ”

Lorsqu’il sombra dans l’inconscience par suite des coups reçus, on versa sur lui de l’eau froide jusqu’à ce qu’il revînt à lui et que le sang souillant ses vêtements eût disparu. Une fois, il fut obligé de rester agenouillé pendant soixante-douze heures. Après quoi, on l’envoya au Ministère de la Sûreté, à Varsovie, les tortures de Lodz n’ayant pas réussi à briser sa résistance. Ces mauvais traitements ruinèrent sa santé pour la vie. Mais remarquons que son intégrité ne souffrit pas ; elle brille du plus vif éclat !

Pendant trois jours, on refusa toute nourriture au témoin C. Il fut assommé à coups de gourdin pour avoir refusé de signer une déclaration qui accusait faussement ses compagnons témoins. On menaça de le pendre, mais en vain ! Il fut jeté par terre, battu, piétiné par les fonctionnaires ; les plantes de ses pieds furent frappées avec des gourdins de caoutchouc. Il eut les tympans brisés, les côtes cassées, et subit ce traitement pendant trente-deux jours.

À Varsovie, le témoin A fut mis, nu, dans un petit trou sombre où il ne pouvait ni s’asseoir, ni s’étendre ni se tenir debout. Il y resta pendant vingt-quatre heures. À plusieurs reprises, ses bourreaux lui demandèrent de céder ; finalement ils le menacèrent de faire mourir sa femme et son enfant et de faire de lui une “ loque ”. Il leur répondit qu’il ne pouvait être infidèle à Dieu, peu importe ce qu’ils lui feraient, à lui ou à eux.

Mettant leurs menaces à exécution, ils arrêtèrent sa femme et son enfant. Ils maltraitèrent la première à tel point qu’elle souffrit d’hémorragies pendant cinq ans. Sa fille fut encore plus maltraitée, et son esprit en fut affecté. Ils placèrent dans la cellule voisine de la sienne une fille ayant une voix semblable à celle de sa fille ; elle ne cessait de crier et de supplier : “ Laissez-​les partir, ils sont innocents ! Laissez-​moi aller vers ma mère ! ”, etc. Tout le temps, le témoin A pensa que c’était la voix de sa fille.

Une fois, on lui dit que ses souffrances, celles de sa femme et de sa fille cesseraient s’il travaillait pour les communistes ; on lui donna trois jours pour réfléchir. Il répondit : “ Je n’ai jamais été un espion ni un délateur et ne le serai jamais. Ma réponse sera la même dans trois jours. C’est ma dernière réponse même au prix de ma vie, de celles de ma femme et de ma fille. ” Il fut alors transféré à Mokotow, prison supposée pire encore.

Comment la prison de Mokotow pouvait-​elle être pire ? En vérité, les tortures n’auraient pu être plus cruelles, bien que le témoin A y ait reçu de tels coups sur la poitrine que, pendant des années, chaque respiration profonde lui faisait mal. Là, les communistes se révélèrent particulièrement experts dans l’art de poser des questions pour embarrasser leurs victimes. Ils dénaturaient ce qu’elles disaient et, quand elles comparaissaient devant le tribunal, la sentence était prononcée d’après ce témoignage.

Le témoin B subit un traitement identique. En plus des coups que l’on fit pleuvoir sur sa tête et sa poitrine, on déchira les ligaments de sa mâchoire de sorte que pendant de nombreux jours il ne put manger. On lui dit : “ Bien que vous ayez passé près de cinq ans dans un camp de concentration allemand à cause de votre opposition à Hitler, nous ferons de vous, si nous le voulons, un agent de la Gestapo de premier ordre. ” Le témoin D subit un traitement tout à fait identique à celui de A ; il fut placé dans le même trou, et battu ; à maintes reprises on lui demanda d’avouer qu’il était un espion, ce qu’il refusa fermement.

MARTYRS FIDÈLES

Les témoins précédents et plusieurs de ceux qui souffrirent comme eux ont survécu et raconté les épreuves qu’ils ont traversées, mais d’autres ne le purent. C’est ainsi que le 2 août 1950, le témoin F fut prié de se présenter au Bureau de la Sûreté à Cieszyn. Comme il refusa de servir les communistes et de travailler contre ses compagnons témoins, un fonctionnaire tira sur lui deux coups de revolver. Emmené à l’hôpital, il mourut une heure plus tard. Juste avant de mourir, il dit au médecin de service : “ J’ai été tué par un fonctionnaire du Ministère de la Sûreté parce que je servais fidèlement Jéhovah. ” Il fut vraiment un témoin fidèle jusqu’à la mort.

Le 15 août 1950, le Service de la Sûreté de Kolbuszow arrêta le témoin G, citoyen américain. On le frappa à la tête ; les fonctionnaires piétinèrent ensuite sa colonne vertébrale de leurs talons. Son esprit en fut affecté et, moins de six jours après, il mourut.

Le témoin H fut arrêté le 12 janvier 1953, par le Service de la Sûreté de Piczow. On entendit un agent chuchoter à un autre : “ Dites-​lui de dire au revoir à sa femme parce qu’il ne reviendra pas. ” Il fut brutalisé jusqu’à ce que, huit jours plus tard, la mort s’ensuivît.

Le S.S. de Rybnik arrêta le témoin I, le 10 août 1950. Le 12 septembre, on informa sa femme qu’il avait été exécuté comme espion. Elle demanda à voir le corps ; sa requête fut repoussée, ainsi que celle d’ouvrir le cercueil au moment de l’enterrement. Des requêtes identiques formulées par les parents du témoin M de Lublin, qui mourut après quatre mois d’emprisonnement, furent également refusées. On prétendit qu’il s’était pendu.

Le 20 juin 1950, des fonctionnaires de Bialystok arrêtèrent le témoin J. On le tortura si cruellement qu’il ne pouvait plus marcher. On le fit périr littéralement sous le bâton ; il mourut cinq semaines environ après son arrestation. Mais il s’écoula une année et demie avant que sa mère fût informée (en février 1952) de ce qui lui était arrivé.

La nuit du 19 juin 1950, des fonctionnaires de Hrubieszow arrêtèrent le témoin K. Le troisième jour de son interrogatoire inquisitorial on lui demanda de faire un commentaire sur un texte de la Bible imprimée et on l’assomma tandis qu’il le faisait. On constata que son corps était meurtri et lacéré par suite des mauvais traitements reçus.

Le même jour, le témoin L fut arrêté par les agents S.S. de Sandomierz et mené vers le S.S. de Kielce. Au cours de l’interrogatoire, on le jeta par terre, on lui donna des coups de pied à la tête et on le piétina. Ses poumons et ses reins éclatèrent ; le sang lui sortait de la bouche et du rectum, et il mourut.

Le témoin N fut arrêté à Staw près de Kalisz, le 17 janvier 1951. Six jours de mauvais traitements suffirent à le tuer. Il reçut le traitement caractéristique infligé aux témoins de cet endroit : on l’obligea à s’asseoir sur un tabouret à un seul pied muni d’une cheville qui lui pénétrait dans le rectum. On lui appliqua le courant électrique aux pieds et au menton. Pendu jusqu’à ce qu’il perdît conscience, il fut plongé dans un baquet d’eau. Quand il revint à lui, les tortures recommencèrent. Ses tortionnaires exigèrent qu’il avouât avoir fait de l’espionnage.

Le 25 janvier, sa femme demanda en vain à voir le corps de son mari. Cependant, le soir on l’informa par téléphone qu’elle devait venir le chercher pour l’enterrer. Le procureur de l’État lui permit d’entrer dans la morgue. Bien que le témoin N n’eût que vingt-huit ans, qu’il fût en bonne santé et fort six jours auparavant, il ressemblait à un squelette. De la tête aux pieds son corps portait la trace des mauvais traitements, certains endroits étaient rouges et gonflés. Ses parties génitales étaient meurtries et enflées, etc.

Le S.S. de Stettin arrêta le témoin O le 20 mai 1952, et l’emmena à la prison de Varsovie et, quelques mois plus tard, à celle de Lodz. Deux ans après, sa femme apprit qu’il était à l’hôpital ; elle obtint finalement la permission de le voir. Il était si squelettique qu’elle ne le reconnut pas. Un avocat lui conseilla de demander la libération de son mari de la “ détention préventive ”, ce qu’on lui accorda enfin, et elle put le ramener chez elle le 3 septembre 1954. Il eut la joie de revoir son foyer et son enfant, mais il mourut huit jours plus tard. Deux mille personnes assistaient à l’enterrement et protestèrent contre ces méthodes sadiques de la police communiste, appelées communément aujourd’hui “ bérianisme ”.

RÉPIT POUR LES TÉMOINS

Certains témoins ont perdu la vue par suite des mauvais traitements ; d’autres, toutes leurs dents ; de nombreux autres sont infirmes pour le reste de leurs jours et incapables à jamais de gagner leur vie. Après le XXe Congrès du parti communiste à Moscou, qui marqua le début du programme de “ déstalinisation ”, l’accusation d’espionnage fut abandonnée. Le bérianisme est une chose du passé pour ce qui est de la Pologne, du moins pour le moment. Les hommes d’État polonais ont déclaré que la justice polonaise fera tout ce qui est en son pouvoir pour réparer les torts faits à des milliers de gens innocents, y compris les témoins de Jéhovah.

C’est avec à-propos que nous donnons ici un extrait du Yearbook des Témoins de Jéhovah de 1957 : “ Un fonctionnaire très en vue du gouvernement déclara : “ Votre position m’enthousiasme. ” Il poursuivit en disant qu’il y avait trois raisons principales pour lesquelles le gouvernement polonais avait reconsidéré les témoins de Jéhovah en Pologne. Les voici : 1o Les enseignements des témoins de Jéhovah n’ont pas changé malgré six années d’interdiction. 2o En dépit des arrestations et de beaucoup d’autres difficultés, ils continuent courageusement et sans crainte à pratiquer leur religion. 3o Au cours de la période d’interdiction, leur nombre a quadruplé. ”

En effet, les témoins de Jéhovah en Pologne ont gardé leur intégrité en dépit de tout ce que les chefs communistes ont fait. Ils ont montré le même esprit que Job quand il déclara : “ Me tuerait-​il, en lui j’espère. ” — Job 13:15, NC.

Les témoins de Jéhovah ainsi que les autres amis de la justice du monde entier peuvent se réjouir et tirer des encouragements de la conduite intègre des témoins en Pologne. Ils voient en elle l’accomplissement des paroles du prophète : “ Toute arme forgée contre toi sera sans effet, et toute langue qui s’élèvera pour contester avec toi, tu la condamneras. — Tel est l’héritage des fils de Jéhovah ; telle est la justice que je leur donnerai. ” — És. 54:17, AC.

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