Les pionniers et leurs rapports de service
Comme nous recevons au bureau de nombreuses questions ayant trait au service de pionnier, nous avons pensé que vous seriez intéressés de connaître certaines d’entre elles ainsi que la substance des réponses données.
● Devrait-on compter comme pionnier auxiliaire un proclamateur dont la demande a été approuvée par les anciens, mais qui n’a pas pu consacrer 60 heures au service du champ? Oui.
● Les pauses café ou celles du midi comptent-elles dans le temps consacré au service du champ? Le livre “Organisation” (p. 125) dit que les rapports doivent indiquer le temps que nous consacrons réellement à l’œuvre consistant à prêcher et à faire des disciples. Lors d’une pause, donnez-vous le témoignage à quelqu’un qui n’est pas un Témoin baptisé? Dans ce cas, comptez le temps. Sinon, il vaudrait mieux reprendre le calcul du temps après la pause, à partir du moment où vous serez à votre première porte.
● Si un pionnier tombe malade ou qu’il ait un accident, ou bien s’il doit régler de graves problèmes familiaux et qu’il désire rester sur la liste des pionniers sans devoir rattraper le temps perdu, qui devrait écrire à la Société à ce sujet? Les anciens locaux.
Par ailleurs, vous nous ferez gagner beaucoup de temps si vous veillez aux points suivants:
● Les sœurs mettront devant leur nom “Mme” ou “Mlle”. (Par exemple: Mme ou Mlle Jeanne Témoin.) Si quelqu’un rédige le rapport pour le pionnier, il serait bien que ce dernier vérifie si son nom est correctement orthographié.
● Nous demandons aux sœurs qui se marient de nous fournir le nom de leur mari ainsi que la date de leur mariage. Une fois mariées, c’est évidemment leur nouveau nom qu’elles indiqueront sur leur rapport, mais elles n’oublieront pas de le faire précéder du titre de “Mme”.
● Si un pionnier déménage et qu’il change de congrégation, ou qu’il s’absente de sa congrégation pour une période de plus de trois mois, il doit en informer la Société.
● Lorsqu’un pionnier juge nécessaire d’arrêter son service, il en avisera les anciens de sa congrégation. Ces derniers écriront alors à la Société en donnant quelques brèves explications au sujet de cet arrêt. La lettre sera signée par le comité de service de la congrégation.