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  • g73 8/7 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1973
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Réveillez-vous ! 1973
g73 8/7 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

Grave menace de famine

Alors que dans des pays nantis, on craint de faire monter le niveau des “surplus” avec celui des prix, la famine menace de nouveau dans certaines régions du globe. À propos de cette famine menaçante, M. Boerma, directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), déclara : “Il est insupportable et accablant qu’en 1973 la famine puisse de nouveau menacer toute une partie du monde. Si la prochaine récolte de céréales n’est pas abondante, il y aura de grandes difficultés et de graves déficits alimentaires. On peut même dire que déjà la famine est aux portes de l’Inde et de plusieurs pays d’Afrique occidentale. La situation mondiale m’inspire des craintes considérables.” Il ajouta : “Les stocks mondiaux de réserve de céréales ne sont plus que de trente millions de tonnes. Ils ont atteint leur niveau le plus bas depuis 1952. Or depuis lors, la population s’est accrue de moitié. Les stocks de sécurité équivalent seulement à la consommation des États-Unis pendant sept semaines. Dans presque tous les grands pays, ils sont à leur seuil minimum et insuffisants pour secourir en cas de nécessité les pays sous-développés.”

L’état sanitaire de l’humanité

Le Dr Candau, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, vient de rendre public un volumineux rapport sur l’activité de cette organisation en 1972. Il en ressort que, malgré tous les efforts accomplis, l’état sanitaire de l’humanité est très préoccupant. Si, par exemple, on peut penser que la variole disparaîtra complètement dans les années à venir, il n’en est pas de même dans la lutte contre des fléaux tels que le paludisme et d’autres maladies dites “exotiques”. La croissance du trafic international et l’augmentation du nombre de travailleurs migrants favorisent leur diffusion. Le rapport rappelle également que 10 pour cent des humains sont atteints à un moment de leur vie de troubles mentaux graves et que la même proportion d’humains souffrent d’hypertension artérielle. Le Dr Candau mit également l’accent sur la recrudescence des maladies vénériennes. On enregistre officiellement des taux de trois cents à cinq cents cas de blennorragie pour cent mille habitants, et on ignore toujours le nombre de cas non déclarés. La fréquence de cette maladie augmente chaque année de 8 à 10 pour cent. Ce sont surtout les jeunes de quinze à vingt ans qui sont touchés. Aux États-Unis, près de 26 pour cent des personnes atteintes sont âgées de moins de vingt ans.

Un travail utile

C’est sous ce titre que Le Parisien Libéré du 15 mars 1973 parle de l’activité des femmes s’occupant de leur ménage. L’article déclare entre autres choses : “De ce travail, la société tout entière tirera bénéfice, car les enfants élevés par leur mère sont généralement des adultes sains et équilibrés ; ce n’est pas parmi eux que se recrutent généralement les nombreux voyous de toute sorte.” Après avoir regretté que “ce travail utile et de qualité exceptionnelle ne donne pas droit à la retraite” et “qu’une femme qui a consacré vingt ans de sa vie à former des êtres humains soit traitée, l’âge venu, comme quelqu’un qui n’a jamais rien fait de ses dix doigts”, l’article conclut ainsi : “Ce qui menace le monde moderne — qu’il soit capitaliste ou collectiviste — et qui sans doute fera sa perte, c’est l’abondance, les vains loisirs et la fausse indépendance qu’il procure peu à peu aux individus et dont le grand nombre ne sait au juste que faire. Il semble voué à crever d’embonpoint, ce monde, et ne peut être sauvé que par l’éducation, la vraie, celle que peuvent donner — elles sont seules à pouvoir la donner — des mères raisonnables et aimantes.” À plus forte raison, peuvent-​elles donner “l’éducation, la vraie”, si elles inculquent à leurs enfants les vérités divines consignées dans la Bible, qui peuvent conduire à la vie éternelle.

Les méfaits de la drogue

Selon le journal belge Le Soir des 15-16 avril 1973, le bureau américain des narcotiques et des drogues dangereuses (BNDD) a saisi, en 1971, sur le territoire des États-Unis, cinq cent quatre-vingts kilos d’héroïne pure. Les policiers estimant généralement que leur saisies représentent environ le dixième des quantités de drogue écoulées par les trafiquants, on pense qu’environ 5 800 kilos d’héroïne pure ont été consommés aux États-Unis en 1971, ce qui représente près de six millions de doses individuelles. Récemment, un rapport établi par les services de la ville de New York a révélé que vingt pour cent des écoliers de l’agglomération étaient des héroïnomanes. Quels en sont les résultats ? Selon le même journal, “un millier d’enfants et d’adolescents, âgés de 12 à 25 ans, sont morts l’an dernier à New York après des injections d’héroïne dans les veines”. On ne compte pas ici les décès dus indirectement à la consommation de drogue, les accidents de la circulation provoqués par des conducteurs intoxiqués, les suicides des drogués, etc. Il y a déjà deux ans, M. John Ingersoll, directeur du bureau des narcotiques, disait que la consommation de la drogue aux États-Unis aurait pour conséquence “la mort d’une génération de jeunes”. Pour se procurer de la drogue, un héroïnomane doit recourir au vol. Pour lui, le problème n’est pas de voler vingt ou quarante dollars par jour, mais des marchandises diverses d’une valeur de deux cents dollars qui pourront être échangées au cinquième de leur valeur. Si l’on considère le chiffre de 150 000 toxicomanes à New York (estimation la plus basse), on arrive à près de cinq millions de dollars (vingt-cinq millions de francs français) représentant le butin des multiples vols qui se commettent chaque jour rien que dans New York. C’est pourquoi, toujours selon ce journal, les américains ‘estiment que l’héroïne est le principal facteur d’augmentation du taux de la criminalité à New York et dans le reste des États-Unis’.

Le clergé et l’avortement

Certains chefs religieux des États-Unis ont réagi favorablement à la décision de la Cour suprême de ce pays de rendre légal l’avortement. Le Metropolitan Church News, publié par le Conseil des Églises de New York, déclara : “La nouvelle de la décision prise par la Cour suprême en faveur des droits des femmes à décider si elles veulent ou non se faire avorter, a été accueillie avec une profonde reconnaissance par les membres et le bureau du Conseil.” L’article ajoutait : “Nous ne partageons pas le point de vue de ceux qui considèrent l’avortement comme un meurtre.” Un article paru dans le Baptist Bible Tribune faisait cette remarque : “Le Dr W. A. Criswell (...), ancien président de la Convention des baptistes du Sud, se déclara satisfait de cette décision.”

La “crise universelle”

L’environnement des hommes du monde entier s’améliore-​t-​il ? Non, si l’on en juge par un article paru récemment dans le périodique Bio Science, disant : “Les effets de la crise de l’environnement (...) varient d’une culture à l’autre, d’une nation à l’autre et d’un lieu à un autre ; cependant, ensemble, ils constituent une crise universelle. Les symptômes, tant écologiques que sociaux, sont manifestes dans pratiquement tous les pays de la terre : la pollution de l’air et de l’eau, la pollution chimique de la nourriture, la dégradation des villes, les disettes et la malnutrition chronique, l’accroissement de la toxicomanie, de l’alcoolisme, de la délinquance juvénile, de la criminalité et du nombre des suicides, ainsi qu’un sentiment de désespoir se propagent hors des frontières dans tous les systèmes politiques. Cependant, les proportions énormes de la crise de l’environnement (...) font qu’il nous est difficile de discerner la nature et les causes du problème, sans parler des solutions.”

La terre est la demeure de l’homme

V. Sevastyanov, cosmonaute russe, commenta récemment dans le périodique Yunost son voyage dans le vaisseau spatial Soyouz-9. Il parla des effets de l’apesanteur, puis conclut en ces termes : “L’homme est vraiment un fils de la terre. Il ressent profondément l’absence d’attaches terrestres. Ses souvenirs le ramènent toujours à elle, et plus le vol dure longtemps plus il ressent le besoin de les renouveler, du moins mentalement. Les attaches terrestres du cosmonaute deviennent pour lui douloureusement précieuses (...). Notre planète bleue est extraordinairement belle, et nous sommes aussi frappés par sa petitesse.” Sevastyanov dit encore : “Je me rappelle combien j’ai été émerveillé par le chant des oiseaux la première fois que je les ai entendus après le vol” dans Soyouz-9.

Les fibres du nerf optique

Un groupe de médecins de l’université de Chicago et du laboratoire national Argonne ont calculé à l’aide d’un ordinateur le nombre des fibres du nerf optique. Ils sont arrivés au chiffre de 1 200 000 fibres. Ils ont examiné quelque 500 microphotographies de la section de ce nerf. Un médecin a parlé de la section du nerf optique qui transmet les images à partir du centre de la rétine comme de la partie de l’œil la “plus active” et où les fibres sont les plus serrées.

Les homosexuels répandent les maladies vénériennes

Les maladies vénériennes deviennent de plus en plus fréquentes au Canada. Dans les comtés d’Hamilton et de Wentworth, dans l’Ontario, les homosexuels sont responsables de la transmission de la syphilis, dans peut-être un cas sur trois. Un médecin de Toronto a procédé à une étude sur les maladies vénériennes montrant avec quelle rapidité la maladie se propage parmi les homosexuels ; il déclara : “Certains de ces hommes avaient jusqu’à sept ou huit contacts en une seule nuit. C’était une immoralité incroyable, et elle n’était pas limitée aux membres d’une seule couche de la société. Il y avait des ecclésiastiques, des comptables, des hommes de loi, des dentistes, des médecins et des ouvriers.”

Le sperme congelé perd sa fertilité

Selon deux chercheurs de l’université du Texas, le sperme congelé et conservé depuis longtemps peut perdre une grande partie de sa fertilité. La congélation du sperme est devenue populaire avec l’accroissement du nombre des hommes qui se font stériliser. Avant de subir cette opération, beaucoup d’entre eux laissent un peu de leur sperme dans une banque du sperme. Ainsi, s’ils désirent plus tard des enfants, leur sperme congelé pourra être utilisé pour féconder leur femme par insémination artificielle. Le rapport de ces chercheurs révèle que les spermatozoïdes ainsi conservés pouvaient perdre de leur motilité originelle dans la proportion de 50 à 60 pour cent. Seuls des spermatozoïdes très mobiles peuvent atteindre l’ovule et le fertiliser.

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