Nos lecteurs nous écrivent
Les farces
Tous mes remerciements pour votre article “Les farces — Est-ce drôle?” (édition française du 8 février 1984). Un jour, j’ai voulu effrayer ma mère. Au moment où elle entrait dans la salle de séjour, je lui ai fait tellement peur qu’elle est tombée. Elle n’a pas bougé pendant quelques secondes. J’entendais seulement sa respiration précipitée. Je me suis agenouillé à côté d’elle et je l’ai aidée à se remettre, mais elle tremblait de tous ses membres. Maintenant, c’était moi qui étais épouvanté.
K. P., Allemagne
Protégez votre ouïe
Je me suis senti vraiment concerné par l’article “Protégez votre ouïe” (édition française du 22 novembre 1983). Mes oreilles me causent de l’inquiétude et je vous remercie de vos conseils judicieux. Je suis encore plus conscient qu’avant de la valeur de ce don de Dieu.
V. A., Grèce
Valérie
L’article sur Valérie (édition française du 8 avril 1984) m’a fait venir les larmes aux yeux. L’amour et le dévouement de ses parents, la détermination que montre Valérie pour apprendre à surmonter son handicap, la compréhension manifestée par son frère Laurent et leur unité dans le culte, voilà le sens véritable du mot famille. J’ai pleuré de joie en pensant à eux, mais aussi de tristesse en songeant à tous ceux qui n’ont pas le bonheur de grandir dans une semblable atmosphère d’amour.
M. B., États-Unis
La fréquentation de l’école
Votre article “Les jeunes s’interrogent... Suis-je vraiment obligé d’aller en classe?” (édition française du 8 avril 1984) insiste sur le fait que beaucoup de jeunes refusent d’aller à l’école à cause des pressions qu’ils y subissent. Je pense que les parents chrétiens devraient se montrer plus sensibles avec leurs enfants. Ces derniers doivent supporter des tensions supplémentaires puisqu’ils ne participent pas à certaines activités scolaires telles que la célébration des fêtes. On les tourne donc en ridicule, ce qui pourrait être dangereux pour leur santé mentale. J’ai vu quantité d’enfants bouleversés par les moqueries et pourtant incapables de raconter leurs malheurs à leurs parents, parce que ceux-ci ne leur manifestaient aucune compassion et ne comprenaient pas leurs sentiments.
L. L., États-Unis
Nous sommes d’accord pour dire que les parents doivent se montrer compréhensifs et en communion de sentiments avec leurs enfants afin de les fortifier pour faire face aux difficultés qu’ils rencontrent à l’école. Cependant, il n’est pas sage d’essayer de les protéger contre toutes les situations déplaisantes. En réalité, il est bon que les jeunes apprennent à prendre fermement position pour les bons principes, même si pour cela il leur faut subir des moqueries. Cette attitude les aidera à affronter des épreuves plus dures dans l’avenir. À ce sujet, nous vous prions de lire, dans la rubrique “Les jeunes s’interrogent...”, les articles intitulés “Pourquoi les autres élèves ne me laissent-ils pas tranquille?” (édition française du 8 mai 1984) et “Comment éviter qu’on se moque de moi?” (22 mai 1984). — Les éditeurs.
Les romans d’amour
Je suis particulièrement contente de l’article “Les jeunes s’interrogent... Les romans à l’eau de rose — Une lecture inoffensive?” (édition française du 8 février 1984), parce que ma mère en lit tout le temps et que, pour cette raison, elle ne fait pas son travail à la maison.
U. B., Allemagne