Nos lecteurs nous écrivent
La Trisomie 21
C’est la première fois que je lis un article si proche de ma situation, et pourtant je suis abonnée à Réveillez-vous! depuis plus de 25 ans. J’ai un fils mongolien de 22 ans, et depuis que j’ai lu et relu l’article sur Valérie (publié dans l’édition française du 8 avril 1984) je commence à surmonter ma culpabilité, ma honte et aussi le sentiment d’échec qui me tenaillait depuis 22 ans. Les parents de Valérie ont exprimé leurs sentiments tels qu’ils les ressentaient et leur franchise m’a encouragée à reconsidérer ce que je peux faire de positif pour mon fils qui est dans une institution. Merci pour cette aide inespérée! Je suis sur la bonne voie.
Préfère garder l’anonymat
L’homosexualité
Dès mon enfance, j’ai toujours désiré être une femme. Par la suite, je suis devenu homosexuel. Les Églises que je fréquentais m’ont encouragé à assumer le rôle que je souhaitais. Je me suis donc fait percer les oreilles; j’ai commencé à prendre des hormones pour faire grossir ma poitrine et je me suis mis à porter des vêtements de femme. Ma sœur qui est Témoin de Jéhovah m’a montré les textes de la Bible qui condamnent les pratiques homosexuelles, mais je lui ai répondu que je ne croyais pas en la Bible. Puis elle m’a donné des périodiques à lire. L’un d’eux, Réveillez-vous!, relatait le cas d’un homme qui était dans une situation semblable à la mienne (édition française du 22 septembre 1980) et qui avait réussi à abandonner ses pratiques homosexuelles. J’ai pris son exemple à cœur. Je me suis alors tourné vers la Bible et j’ai découvert le pouvoir de la prière. Quelque temps après, j’ai accepté une étude de la Bible à domicile, ce qui m’a permis de délaisser mes pratiques homosexuelles. Aujourd’hui, je suis un serviteur de Jéhovah. Un grand merci à Réveillez-vous! et à tous ceux qui m’ont aidé.
J. R., Brésil
Quitter la maison
Merci beaucoup pour l’article “Les jeunes s’interrogent... Comment pourrais-je devenir adulte si je ne quitte pas la maison?” (édition française du 8 décembre 1984). Je prie pour que tous les jeunes lisent cet article et le mettent en pratique. Je suis parti de chez moi dans l’intention de devenir adulte et à chaque fois que j’y pense, je le regrette. Je ne puis m’empêcher de penser qu’il m’aurait été beaucoup plus facile de devenir adulte avec l’aide de gens qui m’aimaient et se souciaient de mon avenir. Le conseil que je pourrais donner aux jeunes serait qu’ils restent chez eux et qu’ils apprennent le plus de choses possible. Puis, lorsqu’ils seront réellement devenus adultes, il leur sera beaucoup plus facile de vivre seuls et ils seront bien plus heureux.
A. H., États-Unis
Restez en contact
Nous servons comme missionnaires, et de ce fait nous vivons loin de chez nous. Nous avons beaucoup apprécié la lecture de l’article “Resterez-vous en contact?” (édition française du 8 janvier 1985). La réception des lettres écrites par nos parents et amis nous cause une joie immense. Il est tellement encourageant de penser que les gens se souviennent de nous. S’ils pouvaient voir le visage réjoui de celui qui vient de recevoir des nouvelles, je suis sûr que beaucoup d’entre nous se sentiraient poussés à prendre le temps d’écrire. Merci pour cet article si bien écrit qui fait réfléchir.
M. et C. S., Sénégal