Nos lecteurs nous écrivent
Chômeurs
Votre article “Comment faire face au chômage” (22 octobre 1984) m’a été extrêmement précieux: il m’a aidé à me créer un emploi. J’avais perdu mon travail, mais après avoir lu vos suggestions j’ai acheté une bicyclette dont je me sers maintenant pour livrer des marchandises d’un magasin à l’autre.
G. C., Nigeria
Écoliers
J’ai 13 ans. Il y a quelques mois, j’ai dû faire une rédaction sur les insectes. J’étais plutôt ennuyé, parce que je n’avais que deux jours devant moi. C’est alors que j’ai trouvé votre article “Les insectes — Amis ou ennemis?” (22 septembre 1984). J’ai décidé d’utiliser les renseignements qu’il contenait. Le professeur les a beaucoup appréciés, et il m’a donné une bonne note. Merci d’avoir écrit cet article.
D. P., Italie
Femmes qui travaillent
En lisant votre numéro intitulé “Les femmes qui travaillent — Le jeu en vaut-il la chandelle?” (22 mai 1985), j’ai vraiment eu l’impression que vous étiez contre le travail des femmes. C’est une grave erreur que de publier de tels articles. On dirait que vous n’êtes pas au fait de la réalité quotidienne. Le salaire de l’homme couvre à peine les frais du ménage. Sans la petite somme d’argent que la femme rapporte à la maison, un mariage pourrait finir par se rompre.
F. R., Angleterre
Comme nous en avons convenu, il est parfois nécessaire que la femme travaille pour un salaire. Néanmoins, cela peut aussi faire peser des tensions supplémentaires sur le couple et nuire à l’éducation des enfants. Il faut être conscient de ces problèmes et en tenir compte, ainsi que nous l’avons montré dans notre article “Les couples qui travaillent — La clé de la réussite”. (8 mai 1985.) En dernière analyse, il appartient à chaque couple d’évaluer ses besoins et de calculer la dépense pour prendre une bonne décision. — Les éditeurs.
Vos articles sur ‘Les couples qui travaillent’ (8 mai 1985) et ‘Les femmes qui travaillent’ (22 mai 1985) m’ont paru très pondérés, tant dans leur façon d’aborder la question que dans les suggestions qu’ils donnaient aux maris et aux femmes qui ont besoin d’un emploi pour joindre les deux bouts. Mon mari travaille à son compte comme réparateur de machines à coudre. Récemment, il m’a appris à nettoyer et à graisser les machines, de façon à pouvoir se consacrer exclusivement aux réparations. Depuis, il est en mesure d’accepter plus de travail sans avoir à y passer davantage de temps. Nous travaillons tous les deux à la maison. Peut-être d’autres maris qui sont à leur compte pourraient-ils enseigner à leur femme ou à leurs grands enfants quelques ficelles de leur métier, ce qui leur permettrait de gagner plus d’argent tout en restant ensemble.
E. P., États-Unis
Je viens de lire l’article “Les femmes qui travaillent — Le jeu en vaut-il la chandelle?” et les deux interviews qui lui font suite. Comme cette mère qui a renoncé à son emploi pour consacrer du temps à son enfant, moi aussi j’ai travaillé pendant trois mois, puis j’ai quitté mon poste parce que j’avais remarqué un changement de comportement (en mal) chez mes deux fils en bas âge. À présent, j’ai un emploi à temps partiel. Les enfants peuvent rester avec leur père pendant que je travaille.
D. C., États-Unis