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  • Qui est Dieu ?

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  • Qui est Dieu ?
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1960
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1960
w60 1/12 p. 366-367

Qui est Dieu ?

Parmi les nombreux dieux qui ont existé et qui existent encore, quel est le Seul Juste ? Comment a-​t-​il prouvé devant toute la création qu’il est Dieu ?

PRESQUE toutes les choses imaginables, connues de l’homme, ont été adorées comme dieu ou déesse, à un moment donné ou à un autre. Le soleil, la lune, les étoiles et les planètes, de temps immémorial, ont été des objets d’adoration. Des plantes et des animaux, des insectes et des reptiles, des créatures animées et inanimées vinrent grossir la collection des dieux. Moustiques, mouches, singes, verrats, cobras et vaches, arbres et fleuves sont encore du nombre des dieux importants de notre époque. Il semble que l’on ne cessera jamais de faire de nouveaux dieux.

Certains peuples adoraient un seul Dieu et n’avaient pas d’idoles, d’autres adoraient des millions de dieux et avaient autant d’idoles. Le roi Salomon adora Astarté, déesse des Sidoniens, et Milcom, abomination des Ammonites. Certaines femmes de Jérusalem adoraient Thammuz. Le roi Achab et la reine Jézabel adoraient Baal. Le roi Jéroboam amena le peuple à se prosterner devant des veaux d’or. Les Israélites firent même passer leurs fils et leurs filles par le feu au dieu Moloc. Babylone et l’Égypte avaient une multitude de dieux ; l’Assyrie et la Perse, la Grèce et Rome avaient toutes des dieux aux noms divers qu’elles adoraient.

Le monde moderne a ses dieux. Par exemple, l’Église catholique romaine adore un dieu triple, un dieu sans nom, auquel on se réfère seulement par ses titres tels que “ Seigneur ”, “ Dieu ”, “ Père ”, etc. Les catholiques le considèrent à la fois comme un dieu d’amour et de vengeance, qui bénit les bons en leur accordant la félicité céleste, qui fait expier les méchants dans un purgatoire de feu et qui punit les impies d’atroces souffrances, pendant toute l’éternité, dans un enfer de feu. De nombreuses dénominations protestantes se joignent à l’Église catholique romaine dans l’adoration de ce dieu triple et sans nom.

D’autre part, les adeptes de la science chrétienne soutiennent ceci : “ Dieu est Pensée, Âme et Esprit divins. Il est Vie, Vérité et Amour. Il est omnipotent, omniscient et omniprésent ; le seul créateur, la seule cause, le Tout-en-tout. ”

Les religions orientales ont de nombreux dieux. Les dieux et les déesses de l’Inde seule se sont tellement multipliés qu’aujourd’hui il y en a près de 330 000 000, et ces dieux sont adorés dans des milliers de temples, dans de nombreux cas à l’aide d’images et de rites qui scandalisent les gens ayant de la décence morale et qui se respectent.

Cependant, les chrétiens professent n’adorer qu’un seul Dieu, comme l’apôtre Paul le déclara aux Corinthiens : “ Car, s’il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, néanmoins pour nous il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes. ” Mais qui est ce seul Dieu ? — I Cor. 8:5, 6.

Il n’y a aucun doute dans notre esprit que c’est lui, le Dieu de Jésus-Christ, le Dieu qui ressuscita Jésus d’entre les morts ; le Dieu des fidèles Abraham, Isaac et Jacob, ancêtres d’Israël ; le Dieu de Samuel, d’Élie, d’Ésaïe, de Jérémie et des autres fidèles prophètes ; Celui que Moïse confessait, que David honorait et que Noé servait ; le Dieu de la Sainte Bible, dont le nom est Jéhovah. “ Je suis Jéhovah, c’est là mon nom, et je ne donnerai ma gloire à nul autre, ni mon honneur aux idoles (aux images taillées, NW). ” Ce nom de Jéhovah apparaît plus de 6 823 fois dans le texte hébreu des Saintes Écritures. C’est de lui que le prophète Moïse écrivit : “ Même de temps indéfini en temps indéfini, tu es Dieu. ” — És. 42:8, AC ; Ps. 90:2, NW.

L’APPARITION DE FAUX DIEUX

Noé survécut au déluge parce qu’il adorait le vrai Dieu Jéhovah. Il transmit le culte du Dieu vivant à ses fils, mais peu après le déluge, la véritable adoration dégénéra en fausse adoration de nombreux dieux. L’adoration de Jéhovah fut négligée par ceux qui se mirent à adorer les forces et les objets de la nature. C’est pourquoi l’apôtre Paul déclara : Les hommes “ ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et ont honoré et servi (rendu un service sacré à, NW) la créature plutôt que celui qui l’a créée, qui est béni éternellement. Amen ! ” — Rom. 1:23, 25, Da.

Dans Ur des Chaldéens, terre natale d’Abram, les gens adoraient les dieux-étoiles, parce que leurs chefs étaient de grands astrologues. Leurs dieux, Assour et Kishar, étaient l’ouvrage de leurs mains. Les Chaldéens créèrent aussi les dieux Anou, Bel et Baal et Ea. Jéhovah prouva sa suprématie sur tous les dieux des Chaldéens, quand il fit échouer leur tentative de construction de la tour de Babel, en confondant la langue des hommes. — Gen. 11:5-9.

Quand les descendants d’Abraham se rendirent en Égypte, ils y rencontrèrent tout un choix de dieux différents. Selon Wilkinson, l’Égypte avait de nombreux dieux, dont les plus importants étaient Kneph, Amon, Phtah, Khem, Sati, Mont et Bastet. Râ et Seb étaient les premiers dieux de la seconde catégorie de déités égyptiennes. Les Égyptiens croyaient que Kneph faisait tourner le soleil et la lune. Phtah était adoré comme créateur. Khem était le dieu de l’agriculture. Râ était adoré comme dieu-soleil et son fils Seb représentait le temps. Les anciens Égyptiens adoraient aussi une trinité composée d’Osiris, Isis et Horus, à savoir, le père, la mère et le fils. Cette trinité est précisément la même que celle qu’on adore dans la chrétienté. Elle a été transmise depuis l’Égypte et la Babylonie anciennes.

Jéhovah justifia sa suprématie sur tous les dieux de l’Égypte quand il les déshonora au moyen de dix plaies et qu’il anéantit les forces égyptiennes dans la mer Rouge. Après cette victoire, les Israélites chantèrent les louanges de Jéhovah : “ C’est lui qui est mon Dieu : je le célébrerai ; le Dieu de mon père : je l’exalterai. Jéhovah est un vaillant guerrier ; Jéhovah est son nom (...) Qui est comme toi parmi les dieux, ô Jéhovah ? ” Il n’en est aucun. — Ex. 15:2, 3, 11, AC.

Baal était un dieu puissant pour les anciens Babyloniens. C’était aussi le dieu des Assyriens, des Phéniciens et des Carthaginois. Même les Israélites s’égarèrent et adorèrent Baal. On le représentait comme un dieu cruel. Pour l’apaiser, on offrait de petits enfants en sacrifices. Les prêtres de Baal se faisaient des incisions avec des couteaux et des lancettes jusqu’à ce que le sang coulât. On lui sacrifiait aussi des animaux en grand nombre. À Babylone, une statue en or de plus de douze mètres de haut servait de temple au culte de Baal. Jéhovah se montra invincible devant Baal lorsqu’il fit égorger les prophètes de Baal, au temps d’Élie. Plus tard, quand les Babyloniens se mirent à adorer Merodac comme dieu, le roi Nebucadnetsar fut obligé de reconnaître Jéhovah comme le vrai Dieu, en disant au prophète Daniel : “ En vérité, votre Dieu est le Dieu des dieux et le Seigneur des rois. ” — Dan. 2:47.

Même tous les dieux des Assyriens se révélèrent impuissants devant Jéhovah quand il mit leurs armées en déroute, exterminant 185 000 soldats du roi Sanchérib en une seule nuit. Nisroc, dieu du roi assyrien, ne put même pas sauver le roi qui fut assassiné par ses propres fils. — És. 37:36-38.

MÈDES, PERSES, GRECS ET ROMAINS

Quand les Mèdes et les Perses s’emparèrent de la domination du monde, de nouveaux dieux commencèrent à être connus. Le dieu perse Ormuzd devint le dieu suprême qu’il fallait adorer. Il était parfois représenté comme un homme majestueux assis sur un taureau, emblème perse de la création. Mithra, le dieu-médiateur symbolisé par le soleil, et Ahriman, prince des ténèbres, formaient avec Ormuzd la trinité perse. De grandes cérémonies étaient célébrées en l’honneur de Mithra le jour de son anniversaire, le 25 décembre, jour de Noël de la chrétienté.

En dépit des nombreux dieux de la Perse, le roi Darius fut amené à reconnaître Jéhovah, le Dieu de Daniel, comme le vrai Dieu. Darius promulgua un décret déclarant : “ De moi émane l’ordre que dans tout le domaine de mon royaume l’on craigne et l’on tremble devant le Dieu de Daniel ; car il est le Dieu vivant et qui subsiste à jamais et son royaume ne sera point détruit. ” Le Dieu de Daniel était Jéhovah, Dieu du fidèle Israël. — Dan. 6:27, Li.

Les anciens Grecs surpassaient les autres nations dans le nombre des dieux qu’ils inventèrent et adorèrent. Certains prétendent que sur le mont Olympe en Grèce il y eut, pendant une courte période de temps, 30 000 dieux de différents ordres. Les dieux grecs personnifiaient les forces de la nature. Progressivement, ils en vinrent à représenter les forces et les passions humaines. Les dieux grecs devinrent alors des hommes et des femmes idéalisés, bouillants de vie, qui avaient des aventures humaines, des guerres et des intrigues amoureuses. Plus tard, Rome accepta les dieux grecs qu’elle désigna sous des noms différents.

Saturne fut adoré pour qu’il apportât un âge d’or à Rome. Une fois l’an, on célébrait en son honneur des solennités qui duraient sept jours, appelées les Saturnales. Les historiens nous apprennent que cette fête païenne, tenue en décembre, fournit à la chrétienté son jour de fête de Noël.

Jéhovah confondit les dieux grecs et romains quand il ressuscita son Fils unique de l’état de mort à une vie nouvelle. Jésus-Christ était Celui que les soldats romains avaient cloué au bois et bafoué.

LES DIEUX DE L’INDE ET DE LA CHINE

Les dieux de l’Inde étaient pour la plupart des abstractions. Les anciens Hindous avaient de nombreux dieux. Indra était, croyaient-​ils, le plus grand de tous. Ses adorateurs prétendaient qu’il avait étranglé le dieu-démon Vritra, prouvant ainsi sa suprématie sur tous les dieux. Yama était adoré comme dieu de la mort, et on parlait de lui comme du fondateur du paradis et le souverain de l’âge d’or dans l’au-delà.

Dans la mythologie hindoue postérieure, Brahma est représenté comme la déité suprême. La trinité hindoue se compose de Brahmâ le créateur, de Vichnou le conservateur et de Çiva le destructeur. Ensemble, les trois forment le seul dieu Brahma ou Brahme. Brahma est le dieu suprême des Hindous, mais en réalité il est peu adoré, et dans toute l’Inde, dit-​on, deux temples seulement lui sont dédiés. Vichnou, seconde personne de la trinité hindoue, est l’objet de l’adoration de millions de personnes. Çiva, troisième membre de la trinité, est représenté avec une corde pour étrangler les malfaiteurs, un collier de crânes humains, des serpents comme boucles d’oreilles et le fleuve sacré, le Gange, sur la tête. De nombreux temples sont érigés en son honneur et pour son adoration. En Inde, les vaches, les singes, les serpents et les verrats sont aussi considérés comme sacrés.

Les dieux de l’ancienne Chine, dit-​on, étaient peu nombreux, mais plus tard, les Chinois eurent un dieu spécial pour presque toutes les choses de la vie. Chang-ti fut adoré comme la cause première. De nouveaux empereurs vouèrent la récolte d’une parcelle de terre en sacrifice à Chang-ti. Quand les souverains négligeaient cette coutume, des malheurs publics de différentes sortes, croyait-​on, frappaient le pays.

Les Chinois adoraient d’autres dieux. Hwa-Kwang, dieu du feu et de la chaleur, est représenté avec trois yeux. Ses adorateurs prétendent qu’il peut voir à plus de seize cents kilomètres, même dans l’obscurité. Les négociants l’invoquent pour être protégés contre les voleurs et les pillards. To-ti est le dieu de la terre qui confère la prospérité dans les affaires. Le dieu-tigre et le dieu-feu sont deux déités chinoises très populaires. Presque tous les dieux chinois sont tout aussi laids et grotesques que ces deux déités.

Le shintoïsme, religion commune des Japonais, a ses dieux et ses déesses, ses symboles et ses légendes sacrés. Le dieu-enfer du Japon est vraiment de taille colossale, ayant près de vingt mètres de hauteur.

Les Teutons et les Saxons adoraient les dieux du ciel. Les sacrifices humains étaient courants pour apaiser les divinités. Huitzilopochtli, dieu aztèque de la guerre, ne se laissait apaiser que par les sacrifices humains. F. S. Dobbins affirmait que “ pas moins de vingt mille hommes, femmes et enfants étaient sacrifiés, chaque année, à ce monstre. ” Cela représente le chiffre d’au moins cinquante créatures humaines par jour.

Puis il y eut des dieux et des déesses dédiés à la vertu, à la foi, à l’honneur, à l’espoir, à la justice, à la miséricorde, à la chasteté, à la vérité, au bon sens, à la paix, à la santé, à la fidélité, à l’argent, à la liberté, au rire, au génie et au silence. Une particularité marquée des dieux est que, dans la presque totalité des cas, ils ont possédé les traits caractéristiques de ceux qui les avaient façonnés. Ils étaient les ouvrages et les inventions des hommes. L’apôtre Paul l’avait fort bien démontré dans son enseignement, ainsi qu’en témoigne Démétrius : “ Ce Paul a persuadé et détourné une foule de gens, en disant que les dieux faits de main d’homme ne sont pas des dieux. ” En effet, ils ne le sont pas. — Actes 19:26, AC.

LE VRAI DIEU

Le seul Dieu qui a prouvé sa suprématie à travers les siècles, c’est Jéhovah. David écrivit au sujet de Jéhovah : “ Car tous les dieux des peuples sont néant (sans valeur, NW), mais Jéhovah a fait les cieux. ” “ Car c’est un grand Dieu que Jéhovah, un grand roi au-dessus de tous les dieux. ” Le Souverain de l’univers n’est ni un dieu sans nom, ni un dieu triple. Son nom est Jéhovah. Il dit de lui-​même : “ Avant moi aucun Dieu n’a été formé, et il n’y en aura point après moi. C’est moi, moi qui suis Jéhovah, et il n’y a point d’autre sauveur que moi. ” “ Tournez-​vous vers moi et soyez sauvés, vous tous, qui habitez les extrémités de la terre ! Car je suis Dieu et il n’y en a pas d’autre. ” L’apôtre Pierre déclara : “ Quiconque invoquera le nom de Jéhovah sera sauvé. ” Cette vérité reste encore valable, car “ Jéhovah est Dieu en vérité. Lui, il est le Dieu vivant et le Roi jusqu’au temps indéfini. ” Tournez-​vous vers lui. Adorez-​le et vivez. — Ps. 96:5 ; 95:3 ; És. 43:10, 11, AC ; 45:22, Sy ; Actes 2:21 ; Jér. 10:10, NW.

[Illustration, page 366]

“ SEIGNEUR ”

“ DIEU ”

“ PÈRE ”

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