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  • Regard sur l’actualité
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1978
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1978
w78 1/1 p. 28

Regard sur l’actualité

Faut-​il payer leurs “jeux”?

● La Cour suprême des États-Unis vient d’établir que les États n’ont pas à payer pour offrir aux pauvres la gratuité de l’avortement. Face à tous ceux qui criaient à l’injustice, le président Carter appuya la décision du tribunal, disant “qu’il y a beaucoup de choses dans la vie qui ne sont pas justes (...). Mais je ne crois pas que le gouvernement fédéral doive prendre des mesures pour donner à tous exactement les mêmes possibilités, surtout quand un facteur moral est impliqué”.

Beaucoup de gens oublient ce “facteur moral” dans leur course effrénée pour obtenir ce qu’ils appellent la “justice”. Voyons les choses en face: Pensez-​vous que les gouvernements devraient, pour être “justes”, payer les soins donnés aux pauvres gens qui se sont crevé un œil ou coupé un doigt en jouant imprudemment à faire des feux d’artifice? Ne serait-​il pas plus sage de décourager ce genre de jeu?

Mais le mal et le danger sont encore bien plus grands quand des gens “jouent” à la fornication, principale cause des avortements. Pour un gouvernement, payer les conséquences d’un tel “jeu” au nom de la “justice” signifierait que, puisque le riche a les moyens de jouer à faire le mal, il faut aider le pauvre à en faire autant. Il est beaucoup plus sage pour ceux qui ne sont pas mariés de s’abstenir d’un tel “jeu”, et pour ceux qui le sont, d’assumer les responsabilités qui découlent de leurs propres actions.

Une nouvelle façon de discipliner?

● Les parents découragés, qui ont essayé toutes les méthodes modernes pour faire obéir leurs enfants, oublient souvent de faire quelque chose qui se révèle efficace presque chaque fois. C’est “si simple, dit la revue ‘Psychology Today’, que souvent on n’y pense pas”. S’agit-​il d’une nouvelle étude subtile de la psychologie infantile? Non, c’est tout simplement de la sagesse ancienne.

L’article souligne qu’au lieu d’exiger l’obéissance, les parents disent souvent: “‘Que je ne te reprenne pas à faire cela!’ C’est un conseil très clair pour l’enfant. Qu’il continue à faire ce qu’il faisait, mais en veillant à ne pas se faire prendre.” Les parents diront aussi: “Je veux que tu fasse tes devoirs”, ou quelque chose de semblable, mais cela exprime seulement le désir des parents, désir que “l’enfant peut opposer à ce que LUI aimerait faire”.

Pour se faire obéir, “il est essentiel, déclare l’article, que les parents commencent par formuler leur volonté en termes clairs, et il est aussi nécessaire que l’enfant comprenne que vous pensez réellement ce que vous dites. Vous ne lui DEMANDEZ pas de faire quelque chose, vous ne SOUHAITEZ pas qu’il le fasse, mais vous lui DITES de le faire. (...)

“Une fois qu’un enfant a compris que ses parents pensent ce qu’ils disent, dit la revue, il n’essaiera plus de les manœuvrer pour qu’ils le laissent faire ce qu’il veut”. Les parents qui ont assez de fermeté pour ne pas céder, même en face d’une désobéissance farouche, se rendront compte que les efforts supplémentaires qu’ils font aujourd’hui leur rapporteront plus tard. En fait, il leur faudra faire moins d’efforts, car l’enfant apprendra ainsi à obéir rapidement aux exigences raisonnables. C’est ce que dit avec sagesse le livre des Proverbes: “Corrige ton fils, il t’épargnera toute inquiétude et fera les délices de ton âme.” — Prov. 29:17, “Jérusalem”.

Du patriotisme forcé

● Les intérêts de la démocratie et du patriotisme sont-​ils mieux servis grâce à des cérémonies obligatoires? Apparemment, c’est ce que pense le corps législatif du Massachusetts, car il a passé outre au veto que le gouverneur avait opposé à une loi qui obligeait les instituteurs à présider une cérémonie quotidienne du salut au drapeau, sous peine d’amende.

Un sénateur avait pressé ses collègues de voter la loi “au nom de tout ce qui est saint et bon”. Un autre sénateur acquiesça et fit remarquer “qu’après la prière, la première chose que l’on apprenait sur les genoux de sa mère était le serment d’allégeance au drapeau”.

Les sénateurs ont élaboré cette sorte de “logique” contre la décision de la Cour suprême de leur propre État qui cita un arrêt de 1943 de la Cour suprême des États-Unis déclarant de telles lois inconstitutionnelles. “Pour soutenir le caractère obligatoire du salut au drapeau, déclara la plus haute cour de la nation, nous sommes obligés de dire que les Amendements garantissant les droits des citoyens et protégeant le droit de l’individu d’exprimer sa pensée, laissaient toute latitude aux autorités publiques pour l’obliger à dire ce qu’il ne pense pas.” D’un commun accord les juges Murphy et Black écrivirent: “Les paroles prononcées sous la contrainte ne sont une preuve de fidélité à rien d’autre qu’à son propre intérêt. L’amour de la patrie doit venir de cœurs spontanés et d’esprits libres, et être inspiré par une juste application de lois sages.”

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