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  • L’histoire religieuse vous est-elle utile?

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  • L’histoire religieuse vous est-elle utile?
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1987
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1987
w87 15/9 p. 26-30

L’histoire religieuse vous est-​elle utile?

“À L’ÉCOLE, j’avais horreur des cours d’histoire”, reconnaît franchement Barbara. Mais aujourd’hui, elle n’est pas mécontente de savoir ce qu’elle sait sur la Première Guerre mondiale, par exemple. En effet, la connaissance de l’Histoire, alliée à celle de la Bible, lui permet de mieux expliquer pour quelles raisons le monde ne connaît plus la paix depuis 1914 (Révélation 6:4). L’histoire religieuse peut, elle aussi, nous aider à comprendre le monde contemporain.

Pourquoi des nations, des communautés et même des familles sont-​elles divisées entre la foi catholique et la foi protestante depuis le XVIe siècle? “Dans la lutte pour le pur enseignement de l’Évangile qui s’est déclenchée à l’époque sur l’initiative de théologiens allemands, suisses et français principalement, Rome a refusé de céder”, écrit l’historien Friedrich Oehninger. Cette attitude a entraîné la formation de diverses confessions religieuses.

Mais “le pur enseignement de l’Évangile” a-​t-​il été vraiment restauré pour autant? Un coup d’œil sur l’histoire religieuse va nous aider à découvrir ce qui s’est réellement passé.

Ce qu’a révélé la vente des indulgences

“La Réforme a débuté lorsque Luther s’est dressé contre la vente abusive d’indulgences, qui semble-​t-​il ne profitait qu’à l’Église, fait remarquer l’historien Gottfried Fitzer. Mais, en réalité, cette vente a révélé que les pratiques ecclésiastiques étaient étroitement liées à des questions financières, économiques et politiques.” Voyons cela de plus près.

Pour accéder à plusieurs fonctions importantes au sein de l’Église, le prince Albert de Brandebourg dut verser au Vatican l’équivalent de un million et demi de francs français, somme qu’il emprunta à un banquier. Le pape le chargea par la suite de s’occuper de la vente des indulgences dans le centre de l’Allemagne et lui permit d’utiliser la moitié du produit de cette vente pour rembourser son emprunt.

Les prédicateurs utilisés par l’archevêque Albert de Brandebourg étaient efficaces pour vendre des indulgences. Ils promettaient “la rémission totale de tous les péchés” et la délivrance immédiate du purgatoire. L’Église n’assurait, à proprement parler, que la rémission des pénitences qu’elle-​même avait infligées, mais la croyance populaire voulait que les indulgences libèrent de tout péché. Scandalisé par cette pratique, Martin Luther publia en 1517 ses 95 célèbres thèses, “par amour de la vérité”, comme il l’écrivit dans son introductiona.

Comme Luther ne cherchait à engager un débat qu’entre les théologiens, droit que lui conférait sa charge professorale, il rédigea ses thèses en latin. Mais, d’après Friedrich Oehninger, elles eurent “un énorme retentissement”. “En moins de 14 jours, elles [les copies des thèses traduites en allemand] se répandirent à travers toute l’Allemagne et, en moins de 4 semaines, dans tous les pays de la chrétienté. Certains se réjouirent de ce qu’un homme se fût enfin élevé contre l’oppression romaine; pour d’autres, Luther devint un objet de haine.” Luther lui-​même s’étonna de l’effet produit par ses thèses. Que révélaient-​elles donc?

Ce que révélaient les 95 thèses de Luther

Selon sa première thèse, le Seigneur veut que “la vie des fidèles soit une perpétuelle pénitence”. Le pécheur peut jouir de la paix avec Dieu, non pas grâce à des indulgences, mais en se repentant sincèrement et en ayant une conduite chrétienne. L’une des dernières thèses déclare: “Loin donc ces prédicateurs qui disent aux fidèles du Christ: ‘Paix, paix!’, sans que vienne la paix.” — 92e thèse.

L’Évangile, et non la tradition, doit être le “trésor” véritable et suprême, écrivit Luther (55e, 62e et 65e thèses). Cela est vrai. Jésus a montré l’exemple en fondant son enseignement sur les Écritures inspirées. Il a déclaré à propos de la Parole de Dieu: “Ta parole est vérité.” (Jean 17:17; Luc 24:44). En ne suivant pas ce modèle, le clergé a rejeté la Bible en tant qu’autorité suprême et il est tombé dans le piège des enseignements humains. Luther lui en a fait le reproche en ces termes: “Ils nous pipent en prêchant qu’aussitôt que la pièce bruit dans le bassin l’âme quitte sa demeure purgatoriale.” — 27e thèse.

Luther dénonça “le profit” que l’Église faisait au moyen de cet enseignement (28e thèse). L’histoire religieuse atteste que le clergé a fait fi des mises en garde bibliques et a succombé à l’amour de l’argent (Hébreux 13:5). Un livre d’histoire du catholicisme reconnaît ceci: “La cause profonde de la décadence de l’Église à cette époque fut la politique fiscale de la curie qui était complètement rongée par la simonie.”

Quand Luther s’insurgea contre “la tradition ‘sanctifiée’ de l’Église” et “dénonça sans ambages la chute de l’Église dans le monde de l’argent et du pouvoir”, pour reprendre les termes d’un historien protestant, il mit le doigt sur le cœur du problème: l’abandon généralisé des enseignements chrétiens primitifs.

Les origines de l’abandon de la foi véritable

La 11e thèse comparait une doctrine non biblique à “de l’ivraie qui fut de toute évidence semée pendant que les évêques dormaient”. Cette comparaison n’est pas sans nous rappeler la parabole du blé et de la mauvaise herbe dans laquelle Jésus a annoncé l’apparition de pseudo-chrétiens (Matthieu 13:36-43). Après la mort des apôtres, ces faux chrétiens, ainsi que des enseignants apostats, amalgamèrent les purs enseignements bibliques et la philosophie grecque. Ils se mirent à répandre des doctrines non bibliques comme l’immortalité de l’âme, l’enfer de feu et la Trinitéb. — Actes 20:29, 30.

Par exemple, les premiers chrétiens n’avaient pas d’art pictural, et les soi-disant Pères de l’Église considéraient la vénération d’une image comme “une aberration et un sacrilège”. Mais vers la fin du IVe siècle, les églises regorgeaient déjà de représentations de Jésus, de Marie, des apôtres, d’anges et de prophètes. Selon Épiphane de Salamine, on accordait aux personnages représentés une vénération déplacée en s’agenouillant devant eux. Petit à petit, l’avertissement ordonnant aux chrétiens de ‘se garder des idoles’ fut mis de côté. — 1 Jean 5:21; voir Actes 10:25, 26.

En organisant une hiérarchie cléricale, les pseudo-chrétiens rejetèrent l’ordre de Jésus leur enjoignant de ne pas ‘commander en maîtres’ à leurs frères (Matthieu 20:25-27; 23:8-11). Par la suite, l’évêque de Rome revendiqua la suprématie. Comme “la décadence de la vie ecclésiastique échappait à tout contrôle sous le règne de la papauté sécularisée”, l’Église s’efforça plusieurs fois “de se réformer, mais elle en fut incapable”, écrit l’historien Oehninger.

Le XVIe siècle vit davantage de changements. “La conjoncture lui était favorable [à Luther]”, dit Oehninger. Il ajoute: “Ses adversaires l’ont attaqué, menacé de mort pour hérésie, mais il n’en fut que plus incité à intensifier ses investigations sur la base des Saintes Écritures, jusqu’à ce que le système catholique romain tout entier ne soit plus qu’une simple invention humaine qui s’écroulait sous ses yeux.” Mais les communautés religieuses nouvellement nées étaient-​elles vraiment, comme elles le prétendaient, libérées “des horribles excès et des fausses doctrines”?

La Réforme — pas le rétablissement de la vérité

Au XVIe siècle, le désir de réforme n’aboutit pas au rétablissement de l’Église “universelle” ni des enseignements chrétiens. Il ne fit que provoquer l’éclatement de la chrétienté apostate en fractions apostates qui se divisèrent à leur tour. Les évêques d’aujourd’hui, y compris les successeurs de Luther, semblent toujours être ‘endormis’, comme la 11e thèse le disait.

Les protestants ont rejeté la doctrine des indulgences, mais ils ont adopté bien d’autres enseignements erronés. “La théologie chrétienne a aussi emprunté à la philosophie grecque la doctrine de l’immortalité de l’âme”, lit-​on dans l’Evangelischer Erwachsenenkatechismus (Catéchisme protestant pour adultes). Cette doctrine fut “associée (...) au témoignage biblique relatif à la résurrection du corps”.

En enseignant des doctrines humaines et en mêlant à leur ministère des activités profanes, notamment politiques, les dirigeants de la chrétienté sapent l’autorité de la Bible comme aux jours de Luther. Par conséquent, leur “forme de piété” futile s’avère impuissante et incapable d’empêcher la désertion des offices, l’indifférence des adeptes, la politisation des débats religieux et la désaffection grandissante des fidèles. — 2 Timothée 3:5.

Tout comme la connaissance des antécédents d’un patient aide un médecin à mieux diagnostiquer la maladie dont il souffre, de même l’histoire religieuse peut nous aider à comprendre pourquoi la chrétienté est aujourd’hui atteinte d’une maladie incurable. N’y a-​t-​il donc aucun espoir pour le véritable christianisme? Au contraire! La parabole de Jésus indiquait que ses disciples figurés par le blé, les vrais “fils du royaume”, seraient identifiés lors de la moisson devant avoir lieu au “temps de la fin”. (Matthieu 13:38, 39; Daniel 12:4.) Comment cela allait-​il se faire?

Une leçon tirée de l’histoire religieuse moderne

Au cours d’un voyage qu’ils effectuèrent en 1891, des Étudiants de la Bible visitèrent l’ancienne maison de Luther, à Wittenberg. “Pendant la visite, cette époque troublée a ressurgi avec netteté devant nous”, raconta un voyageur. Charles Russell fut parmi ceux qui entrèrent dans le “bureau [de Luther] et s’assirent sur sa vieille chaise”. Le rapport se poursuit ainsi: “[Nous] pouvons grandement nous réjouir aujourd’hui, car même si les initiateurs de la grande réforme n’ont pas mené leur tâche à bien, mais ont fini par organiser d’autres systèmes fondés sur l’erreur, néanmoins, par la providence divine, la purification du sanctuaire s’est poursuivie et la remise en ordre des vases d’or qu’est la vérité divine est actuellement en cours.” Ce que Luther n’avait pas accompli, ce visiteur, lui, a contribué à le mener à bien.

Un événement historique eut lieu quand — avec d’autres personnes éprises de vérité — Russell fonda un groupe indépendant d’étude de la Bible dans les années 1870. Toutefois, entre 1870 et 1875, comme Russell l’écrivit plus tard, ces étudiants ‘saisissaient à peine les grandes lignes du Plan de Dieu, et ils étaient en train de désapprendre les nombreuses erreurs si longtemps chéries, car le temps pour discerner clairement les petits détails n’était pas encore pleinement venu’. Mais les années suivantes marquèrent des étapes importantes dans le rétablissement des vérités chrétiennes primitives.

Au moyen du périodique La Tour de Garde de Sion (angl.), les Étudiants de la Bible proclamèrent que le nom du Très-Haut est Jéhovah, que l’âme est mortelle (1881), que la Trinité n’est pas enseignée dans les Écritures (1882) et que l’enfer dont parle la Bible est la tombe (1883). De même que les fausses doctrines étaient apparues progressivement, de même maintenant la lumière de la vérité se faisait progressivement de plus en plus brillante (Proverbes 4:18, 19). Dès le début, ces chrétiens comprirent la vérité fondamentale sur Jésus, qui a donné sa vie en rançon, et ils firent de son retour invisible et du Royaume de Dieu le thème central de leur prédication. — 1 Timothée 2:6.

En 1884, afin d’être mieux organisés pour “répandre les vérités bibliques en diverses langues” au moyen de publications, les Étudiants de la Bible firent enregistrer légalement aux États-Unis une association déjà créée, la Zion’s Watch Tower Tract Society. L’année précédente, ils avaient publié des ouvrages en suédois, et en 1885 ils produisirent leurs premiers écrits en allemand. En 1892, ils envisagèrent d’accomplir une œuvre missionnaire à l’étranger. Aujourd’hui, les Étudiants de la Bible — bien connus sous le nom de Témoins de Jéhovah — prêchent “cette bonne nouvelle du royaume” dans 208 pays et territoires, en 200 langues environ. — Matthieu 24:14.

La plupart des Témoins étaient auparavant membres des Églises de la chrétienté ou d’autres religions et croyaient en des doctrines qui déshonorent Dieu. Après avoir acquis la connaissance exacte sur Dieu et avoir exercé la foi, ils se sont repentis de leur mauvaise conduite, se sont retournés, se sont voués à Jéhovah et se sont fait baptiser en tant que ses serviteurs. “En faisant des œuvres qui conviennent à la repentance”, ils ont obtenu une conscience pure et la paix avec Dieu. — Actes 26:20; Jean 17:3.

L’histoire religieuse est-​elle utile?

Absolument. De larges portions de la Bible sont des récits historiques instructifs (Romains 15:4). Les Évangiles rapportent comment Jésus a enseigné la vérité sur Dieu et sur Son dessein à l’égard de la terre. Jésus a dit à ses disciples d’attendre le Royaume céleste de Dieu, qui résoudrait tous les problèmes de l’humanité. “Restez donc aux aguets, car vous ne savez ni le jour ni l’heure”, leur a-​t-​il dit. — Matthieu 6:9, 10; 25:1-13.

L’histoire religieuse confirme que des pseudo-chrétiens sont bien apparus comme prédit et qu’ils ont établi leur règne sur la terre. La Réforme a changé la face du monde, mais elle n’a pas restauré les véritables enseignements bibliques. L’histoire indique aussi qu’à notre époque des chrétiens ‘restent aux aguets’, “ne font pas partie du monde” et mettent le Royaume de Dieu à la première place dans leur vie (Jean 17:16). Ces faits ont aidé de nombreuses personnes à identifier les vrais disciples de Jésus aujourd’hui.

Barbara, mentionnée au début de cet article, fait partie des plus de 3 000 000 de Témoins de Jéhovah qui, dans le monde entier, s’efforcent avec zèle de communiquer “le pur enseignement de l’Évangile” aux gens sincères. Il est utile aussi à tous ces proclamateurs du Royaume de posséder une certaine connaissance de l’histoire religieuse.

[Notes]

a À notre époque, des historiens catholiques ont affirmé que Luther n’a pas cloué une copie des thèses en question sur la porte de l’église de Wittenberg le 31 octobre 1517. Selon eux, il ne s’agit que d’“une légende imaginée par les Églises protestantes”. Quoi qu’il en soit, Luther écrivit incontestablement ce jour-​là une lettre respectueuse à l’archevêque Albert, lettre à laquelle il joignit une copie de ses thèses. Il lui demandait dans ce courrier de réprimander les prédicateurs qui vendaient des indulgences et de revenir sur les instructions qu’il leur avait données. L’original de cette lettre existe toujours. Il est conservé aux Archives nationales suédoises, à Stockholm.

b Voir les articles intitulés “Un champ qui produit du blé et de la mauvaise herbe” (La Tour de Garde du 1er novembre 1981, pages 16-20) et “Ils introduiront discrètement des sectes destructrices” (La Tour de Garde du 15 décembre 1983, pages 10-15).

[Encadré, page 28]

L’indulgence est la rémission de la peine (temporelle) due aux péchés (...). La rémission est effective ici-bas ou dans le purgatoire. — Josef Lortz, théologien catholique.

Même aujourd’hui, les théologiens ne sont pas d’accord sur la définition de l’indulgence et sur son effet sur la vie du catholique. — Heinrich Bornkamm, historien protestant.

L’indulgence: une doctrine catholique particulière

Le confesseur impose au catholique repentant une pénitence (une prière, un jeûne, un don ou un pèlerinage par exemple). Le pape peut remettre ces peines, car, selon le dogme catholique, il est ministre de toutes les pénitences temporelles (y compris celle du purgatoire) et il accorde l’indulgence par l’application du “trésor” que constituent les mérites du Christ et des saints. Au Moyen Âge, ce privilège donna lieu à de graves abus. On en parla comme d’“une affaire commerciale de grande envergure, menée au mépris des règles morales et des enseignements des Saintes Écritures”.

L’Église n’assimile pas la pénitence au pardon des péchés. Toutefois, même aux temps médiévaux, les gens partageaient “la croyance simple selon laquelle l’argent versé expiait la dette [due au péché]”, et les vendeurs d’indulgences soutenaient cette notion. Les thèses de Luther attaquaient ces “fables”. On pouvait les résumer ainsi: “Les indulgences sont des œuvres humaines et n’ont rien à voir avec la vérité de l’évangile.”

Le pape Clément VI établit la doctrine de l’indulgence en 1343, sans toutefois la définir clairement. Luther put donc se retrancher derrière le flou qui la caractérisait. L’Église remédia rapidement à la situation en promulguant une définition officielle de l’indulgence en 1518. Mais la bulle papale de Léon X ne fournissait aucune “preuve biblique attestant que les mérites du Christ et des saints constituent le trésor permettant d’accorder des indulgences”. Cela incita le catholique Luther à prendre une décision capitale. Son rejet du système non biblique des indulgences déclencha la Réforme, et la révocation de sa critique déboucha sur un grand schisme au sein de l’Église.

À notre époque, les critiques sévères formulées au sein de l’Église catholique “n’ont pas mené à un changement du système, mais seulement à la réforme de certaines pratiques”. En 1967, le pape Paul VI a tranché en faveur de l’ancien dogme de l’indulgence. Pour les catholiques, la question décisive demeure donc: Suis-​je attaché à la Parole de Dieu ou à des doctrines humaines?

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