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  • Un petit ingénieur
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 février
    • contre la pluie et les parasites microscopiques. L’opercule s’adapte avec tant de précision qu’il empêche l’humidité et les pucerons de pénétrer dans le terrier. C’est ainsi que la mygale peut élever jusqu’à quarante rejetons à longues pattes dans une sécurité relative. Leur nid tendu de soie est un abri somptueux.

      Mais regardons travailler la mygale. En l’espace de huit heures, elle creuse un puits de neuf fois la longueur de son corps. Toutes proportions gardées, un homme devrait creuser avec ses dents, en huit heures, un trou d’une profondeur de dix-huit mètres, tout en l’étayant au fur et à mesure qu’il avance. De plus, pendant les travaux, il y a danger d’attaques. En effet, pendant que la mygale construit son habitation, le pepsis, sorte de guêpe, plane au-dessus de l’endroit dans l’espoir de pouvoir profiter de sa préoccupation pour lui infliger une piqûre mortelle, lui arracher les pattes et emporter son corps.

      Mais regardez-​la travailler ! Elle se sert uniquement de ses mandibules et de ses crochets pour sortir du puits les petites boulettes de terre et les déposer dehors. Le revêtement de soie a plusieurs fonctions pratiques : non seulement il rend le nid douillet et en étaie les parois, mais il offre également une prise plus solide pour les pattes de la mygale, tandis que celle-ci vaque à ses corvées domestiques et s’occupe de ses petits.

      Comparés à l’activité de la mygale, les excavateurs de l’homme sont lourds et grossiers. Tous ses travaux s’accomplissent sans le bruit assourdissant qui caractérise les pelles mécaniques et les bulldozers. Et pourtant, la mygale n’a suivi aucun cours de génie ou de construction et n’a aucun diplôme. C’est le grand Créateur et Architecte de toutes choses, animées et inanimées, qui l’a dotée de la faculté instinctive qui lui permet de vivre dans son milieu particulier.

  • Comment aider d’autres personnes à se fortifier spirituellement
    Réveillez-vous ! 1970 | 22 février
    • Comment aider d’autres personnes à se fortifier spirituellement

      UN MINISTRE itinérant des témoins de Jéhovah, qui déployait son activité dans le Colorado, a eu le privilège d’aider une personne qui s’intéressait à la vérité biblique, à se fortifier spirituellement. Comment s’y est-​il pris ? Écoutez plutôt le récit qu’il a fait lui-​même :

      “Accompagné du ministre responsable d’une certaine congrégation, j’ai revisité une dame qui s’intéressait beaucoup aux Écritures. Nous avons commencé à étudier la Bible avec elle, et elle a fait de rapides progrès. Bientôt, elle et tous ses enfants ont commencé à assister aux réunions à la Salle du Royaume. Son fils Jean semblait particulièrement désireux de progresser rapidement dans la maturité spirituelle.

      “Jean voulait donner des réponses aux réunions, mais il ne savait pas comment s’y prendre. Je lui ai donc montré comment j’étudie moi-​même les publications en soulignant les pensées clés qui répondent aux questions au bas des pages. Jean a suivi mes conseils avec enthousiasme. Lors de ma visite suivante dans la congrégation, je fus heureux de constater que Jean participait pleinement aux réunions.

      “Ensuite, j’ai voulu aider Jean à prendre part à l’œuvre de prédication et à avoir une bonne attitude à l’égard de cette œuvre. J’ai insisté sur certaines choses qu’il ne faut jamais oublier. Je lui ai surtout expliqué que Jéhovah dirige cette œuvre et que nous ne devons pas nous décourager si peu de gens réagissent favorablement devant le message. Notre tâche consiste à proclamer le nom et les desseins de Dieu et à agir en qualité de témoins de Jéhovah. Pour lui faire comprendre notre rôle, je lui ai dit que nous ressemblons à un porteur de télégrammes. Lorsque le télégramme a été remis au destinataire, que celui-ci soit content ou non du contenu, le messager a accompli son devoir.

      “Lors de ma visite suivante, j’ai pu aider Jean à revisiter les personnes ayant manifesté de l’intérêt. Je lui ai montré la nécessité de bien se préparer pour faire ces visites, en insistant sur leur but principal, c’est-à-dire ouvrir la voie à l’étude de la Bible. Jean a mis ces conseils à profit, car lorsque je suis retourné encore dans sa congrégation, il conduisait trois études bibliques.

      “Environ un an après que Jean eut commencé à assister aux réunions, il se fit baptiser. Je lui ai fait comprendre la nécessité de rester étroitement attaché à Jéhovah et à son organisation, et d’étudier régulièrement sa Parole précieuse, la Bible. Je l’ai également prévenu qu’il rencontrerait à coup sûr de l’opposition et qu’il aurait toujours besoin de faire des efforts pour rester fort spirituellement et progresser dans la maturité.

      “Plus tard, j’ai eu l’immense plaisir d’entendre Jean raconter à l’assemblée de circonscription certaines des joies qu’il avait eues dans l’œuvre de prédication. Il avait déjà acquis beaucoup de force spirituelle. Probablement la chose la plus étonnante et la plus réjouissante de l’histoire de Jean, c’est qu’il n’avait que dix ans !”

      Un autre témoin de Jéhovah, une dame, a relaté en ces termes comment elle aussi a aidé quelqu’un à acquérir rapidement la force spirituelle : “J’ai commencé à étudier la Bible avec une dame qui désirait vivement la comprendre. Pendant chaque leçon elle notait dans un petit cahier les vérités principales qu’elle apprenait, ainsi que les passages bibliques qui les appuyaient. Après la deuxième leçon, elle raconta à une amie de longue date toutes les choses qu’elle avait apprises. L’amie, frappée par ce qu’elle entendait, demanda à cette dame de lui en apprendre davantage. Celle-ci lui répondit qu’elle n’en était pas capable, car elle n’était elle-​même qu’une débutante, mais qu’elle lui enverrait quelqu’un de plus qualifié. ‘Non, répliqua son amie, je veux que ce soit toi qui m’enseignes. Combien de temps te faut-​il pour être apte à le faire ?’ Mon élève répondit qu’elle ne le savait pas, mais qu’elle me le demanderait.

      “Cette dame était dans l’embarras. Elle voulait satisfaire les besoins spirituels de son amie, mais elle se prétendait incapable d’enseigner qui que ce soit. Je lui ai expliqué que c’est Jéhovah qui, par son esprit, nous rend aptes à enseigner. Je lui ai dit aussi que ce n’est pas la somme de connaissances que nous possédons qui nous vaut la bénédiction divine, mais l’amour que nous avons pour la vérité et notre désir de partager celle-ci avec autrui. En outre, plus nous partageons nos connaissances, plus nous apprenons nous-​mêmes.

      “Je lui ai donc suggéré de s’aider de la brochure que nous étions en train d’étudier, et d’expliquer chaque semaine à son amie ce qu’elle-​même avait appris. Elle consentit à essayer. Peu de temps après, elle commença une seconde étude biblique avec une autre personne en plus de son amie. Toutes les deux assistent aux réunions à la Salle du Royaume, et l’une d’elles est même venue à l’assemblée de district. Cette dame zélée dit que Jéhovah l’a bénie au-delà de toute attente, c’est pourquoi elle s’est vouée à lui pour faire sa volonté. Après seulement cinq mois d’étude, elle a été immergée dans l’eau, symbolisant ainsi publiquement par le baptême l’offrande de sa personne. À présent, elle envisage d’entreprendre le service de Dieu à plein temps.”

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