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    • Toutefois, dans les deux cas les individus concernés ont offert la dîme volontairement. Rien dans les Écritures n’indique qu’Abraham ou Jacob aient jamais donné l’ordre à leurs descendants de suivre leur exemple, établissant ainsi une pratique, une coutume ou une loi religieuse. Si Jacob avait dû payer la dîme, il aurait été superflu de sa part de faire le vœu de la donner à Dieu. Il est donc évident que le paiement de la dîme n’était ni une coutume ni une loi chez les anciens Hébreux. Il ne fut pas institué avant l’inauguration de la Loi.

      LES LOIS DE MOÏSE RELATIVES AUX DÎMES

      Jéhovah donna aux Israélites des lois concernant la dîme, et ce dans des buts bien précis. Il semble qu’ils devaient utiliser deux sortes de dîmes sur leur revenu annuel, sauf durant les années sabbatiques. En effet, ces années-​là ils n’allaient pas payer de dîmes puisqu’ils ne pouvaient espérer un revenu (Lév. 25:1-12). Certains biblistes pensent néanmoins qu’il n’y avait qu’une seule sorte de dîme. Les dîmes venaient s’ajouter aux prémices que les Israélites étaient tenus d’offrir à Jéhovah. — Ex. 23:19; 34:26.

      La première dîme, le dixième des produits de la terre, des fruits ainsi que du petit et du gros bétail (probablement de l’accroissement du troupeau), était apportée au sanctuaire et donnée aux Lévites, car ceux-ci n’avaient reçu aucun territoire en héritage et étaient mis à part pour le service du sanctuaire (Lév. 27:30-32; Nomb. 18:21-24). Les Lévites donnaient à leur tour un dixième de ce qu’ils recevaient aux prêtres aaroniques pour leur entretien. — Nomb. 18:25-29.

      De toute évidence, le grain était battu et les fruits de la vigne et de l’olivier convertis en vin et en huile avant qu’on en prélevât le dixième (Nomb. 18:27, 30; Néh. 10:37). Si un Israélite souhaitait remplacer la dîme par sa valeur en argent, il le pouvait, mais il devait alors majorer cette valeur d’un cinquième (Lév. 27:31). Ce n’était toutefois pas possible pour le petit et le gros bétail. Quand les animaux sortaient un à un par une porte de l’enclos, le propriétaire qui se tenait là marquait à l’aide d’un bâton chaque dixième animal sans l’examiner ni le choisir. Les animaux ainsi marqués constituaient la dîme. — Lév. 27:32, 33.

      Il semble qu’il y avait une dîme supplémentaire, une seconde dîme, qui était mise de côté chaque année, non plus cette fois dans le but exprès d’entretenir la prêtrise lévitique, même si les Lévites en profitaient. Normalement, les familles israélites l’utilisaient et la consommaient dans une large mesure quand elles se rassemblaient à l’occasion des fêtes nationales. Lorsque la distance qui les séparait de Jérusalem était trop importante pour qu’elles puissent facilement transporter la dîme jusque-​là, le produit de celle-ci était alors converti en argent. On utilisait cet argent à Jérusalem pour pourvoir aux besoins de la famille et se réjouir durant le saint rassemblement en cette ville (Deut. 12:4-7, 11, 17, 18; 14:22-27). À la fin de chaque troisième et sixième année du cycle sabbatique de sept ans, cette dîme, au lieu de servir à couvrir les dépenses occasionnées par les rassemblements nationaux, était mise de côté à l’intention des Lévites, des résidents étrangers, des veuves et des orphelins de père de la communauté locale. — Deut. 14:28, 29; 26:12.

      Ces lois auxquelles les Israélites étaient soumis n’avaient rien d’excessif. N’oublions pas non plus que Dieu avait promis de faire prospérer Israël en ouvrant “les écluses des cieux” si ces lois concernant les dîmes étaient observées (Mal. 3:10; Deut. 28:1, 2, 11-14). Quand les Israélites négligeaient de payer les dîmes, la prêtrise en souffrait, car les prêtres et les Lévites étaient alors obligés de chercher un travail profane, donc de négliger leur ministère (Néh. 13:10). Pareille infidélité avait tendance à provoquer le déclin du vrai culte. Malheureusement, quand les dix tribus d’Israël apostasièrent et se tournèrent vers le culte du veau, elles utilisèrent les dîmes pour soutenir ce faux culte (Amos 4:4, 5). En revanche, quand Israël était fidèle à Jéhovah et dirigé par des administrateur justes, le prélèvement de la dîme en faveur des Lévites était rétabli et, conformément aux promesses de Jéhovah, il n’y avait pas de disette. — II Chron. 31:4-12; Néh. 10:37, 38; 12:44; 13:11-13.

      Sous la Loi, il n’était prévu aucun châtiment précis pour celui qui ne donnait pas la dîme. Jéhovah plaçait tous les Israélites dans l’obligation morale de la prélever, et à la fin du cycle de trois ans de prélèvement des dîmes, ils devaient confesser devant Dieu que le dixième de leurs produits avait bien été prélevé (Deut. 26:12-15). Tout ce qui avait été retenu indûment était considéré comme ayant été volé à Dieu. — Mal. 3:7-9.

      Au premier siècle, les chefs religieux juifs, notamment ceux d’entre les scribes et les Pharisiens, faisaient savoir de façon ostentatoire qu’ils avaient bien donné la dîme et fait d’autres œuvres en guise de culte, mais en réalité leur cœur était très éloigné de Dieu (Mat. 15:1-9). Jésus les reprit à cause de leur égoïsme et de leur hypocrisie, en soulignant que s’ils prenaient bien soin de donner le dixième “de la menthe et de l’aneth odorant”, — ce qui était leur devoir, — ils négligeaient dans le même temps “les choses plus importantes de la Loi, à savoir la justice et la miséricorde et la fidélité”. (Mat. 23:23; Luc 11:42.) Dans une illustration, Jésus mit en opposition un Pharisien qui, avec orgueil, se déclarait juste en raison de ses œuvres, telles que le jeûne et le prélèvement des dîmes, et, d’autre part, un collecteur d’impôts qui, bien que méprisé par le Pharisien, s’humiliait, confessait ses péchés à Dieu et implorait la miséricorde divine. — Luc 18:9-14.

      LES CHRÉTIENS NE PRÉLÈVENT PAS LA DÎME

      Il ne fut jamais ordonné aux chrétiens du premier siècle de payer des dîmes. Dans le cadre de la Loi, celles-ci avaient essentiellement pour but d’entretenir le temple et la prêtrise d’Israël. Par conséquent, l’obligation de prélever des dîmes allait cesser lorsque l’alliance de la Loi arriverait à son terme après avoir été accomplie grâce au sacrifice du Christ sur le poteau de supplice (Éph. 2:15; Col. 2:13, 14). Il est vrai que les prêtres lévitiques continuèrent à servir au temple de Jérusalem jusqu’à sa destruction en 70, mais dès 33 les chrétiens étaient devenus membres d’une nouvelle prêtrise spirituelle qui n’était pas entretenue par des dîmes. — Rom. 6:14; Héb. 7:12; I Pierre 2:9.

      Les disciples du Christ étaient encouragés à apporter leur soutien au ministère chrétien tant par leur propre participation que par leurs offrandes matérielles. Au lieu d’offrir des dons dont la valeur était précisée, fixée, afin de couvrir les dépenses de la congrégation, on devait donner “selon ce que quelqu’un a”, comme chacun “l’a résolu en son cœur, non avec regret ni par contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie”. (II Cor. 8:12; 9:7.) Les chrétiens étaient encouragés à suivre ce principe: “Que les aînés [les anciens] qui président d’une excellente manière soient jugés dignes d’un double honneur, surtout ceux qui travaillent dur dans la parole et dans l’enseignement. La parole de l’Écriture dit en effet: ‘Tu ne devras pas museler le taureau quand il battra le grain’; et encore: ‘L’ouvrier mérite son salaire.’” (I Tim. 5:17, 18). Cependant, l’apôtre Paul donna un bon exemple en s’abstenant d’imposer un fardeau excessif à la congrégation. — Actes 18:3; I Thess. 2:9.

  • Dimnah
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    • DIMNAH

      {Article non traduit.}

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    • DIMON

      {Article non traduit.}

  • Dimonah
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      {Article non traduit.}

  • Dinah
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    • DINAH

      (jugée, acquittée, justifiée).

      Fille de Jacob et de Léa. Dinah pouvait avoir six ans lorsque Jacob retourna en Canaan et s’installa à Succoth; elle était née à Haran au temps où Jacob y résidait (Gen. 30:21, 22, 25; 31:41). Alors que la patriarche et sa famille campaient près de la ville de Sichem, Dinah avait imprudemment pris l’habitude de rendre visite aux filles du pays de Canaan. Or, un jour, Sichem, fils du chef hivite Hamor, la viola. Puis il tomba amoureux de la jeune fille qui resta chez lui jusqu’à ce qu’elle fût vengée par ses frères germains, Siméon et Lévi. — Gen. 34:1-31.

      D’aucuns prétendent que Dinah n’était qu’une enfant lorsqu’elle fut violée. Il ne faudrait toutefois pas oublier qu’avant de se rendre à Sichem, Jacob s’était bâti une maison et avait fait des huttes à Succoth, ce qui indique qu’il y a résidé pendant un certain temps (Gen. 33:17). À Sichem, il acheta un morceau de terrain et s’y installa, semble-​t-​il, pour quelque temps. Tout cela, ainsi que le fait que Sichem tomba amoureux de Dinah, “la jeune personne”, démontre que celle-ci n’était pas une enfant où elle connut Sichem. — Gen. 33:18, 19; 34:12.

      Des années plus tard, Dinah et le reste de la famille de Jacob vinrent en Égypte à l’invitation de Joseph. — Gen. 46:7, 15.

  • Dinhabah
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    • DINHABAH

      {Article non traduit.}

  • Dionysius
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    • DIONYSIUS

      {Article non traduit.}

  • Diotrèphe
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    • DIOTRÈPHE

      {Article non traduit.}

  • Diphath
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    • DIPHATH

      {Article non traduit.}

  • Dischan
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    • DISCHAN

      {Article non traduit.}

  • Dischon
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    • DISCHON

      {Article non traduit.}

  • Disciple
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    • DISCIPLE

      (gr. mathêtês, celui qui est enseigné, celui qui apprend).

      Dans les Écritures grecques, il est question des disciples de Jésus, de Jean le Baptiste, des Pharisiens et de Moïse (Mat. 9:14; Luc 5:33; Jean 9:28). Ce terme est principalement appliqué à ceux qui non seulement croient, mais suivent étroitement les enseignements du Christ. Ils doivent être enseignés à “observer toutes les choses” que Jésus commande. — Mat. 28:19, 20; voir CHRÉTIEN.

      Jésus enseignait ses disciples pour qu’ils soient comme lui, c’est-à-dire des prédicateurs et des enseignants de la bonne nouvelle du Royaume. Il a dit: “Un élève n’est pas au-dessus de celui qui l’enseigne, mais quiconque a reçu une instruction parfaite sera comme celui qui l’enseigne.” (Luc 6:40). L’efficacité de l’enseignement du Christ fut attestée ultérieurement; en effet, ses disciples persévérèrent dans l’œuvre qu’il leur avait enseignée et firent des disciples dans tout l’Empire romain, en Asie, en Europe et en Afrique, cela avant la fin du premier siècle. Ce fut là leur tâche principale, conformément au commandement de Jésus consigné en Matthieu 28:19, 20.

      Que les chrétiens, encore aujourd’hui, soient dans l’obligation de faire des disciples des gens de toutes les nations, cela ressort clairement de la dernière partie de l’ordre donné par Jésus, à savoir: “Et voici que je suis avec vous tous les jours jusqu’à la conclusion du système de choses.” Il ne font pas des disciples pour eux-​mêmes, puisque ceux qu’ils enseignent sont vraiment des disciples de Jésus Christ du fait qu’ils observent ses enseignements et non ceux des hommes. Voilà pourquoi, par la providence divine, les disciples furent appelés chrétiens. — Actes 11:26.

  • Dispute
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    • DISPUTE

      Dans les langues originales de la Bible, plusieurs termes emportent fondamentalement l’idée de querelle ou de dispute. Parmi les motifs de dispute, les Écritures citent la haine (Prov. 10:12), la fureur (Prov. 15:18; 29:22), les intrigues (Prov. 16:28), la moquerie (Prov. 22:10), l’excès du boire (Prov. 23:29, 30), la calomnie (Prov. 26:20), l’arrogance, l’orgueil et le manque d’un bon enseignement (Prov. 28:25; I Tim. 6:4). Les disputes ruinent la paix et le bonheur. Le livre des Proverbes illustre fréquemment le caractère désagréable et repoussant des personnes querelleuses aux yeux de leur entourage (Prov. 19:13; 21:9, 19; 25:24; 27:15). Les querelles entre ceux qui jouissaient autrefois de relations fraternelles peuvent constituer un obstacle pratiquement insurmontable à leur réconciliation. “Un frère contre qui l’on a transgressé est plus qu’une ville forte; et il y a des disputes qui sont comme la barre d’une tour d’habitation.” — Prov. 18:19.

      Œuvres de la chair haïes par Jéhovah (Gal. 5:19, 20; comparez avec Proverbes 6:19; Romains 1:28, 29, 32; Jacques 3:14-16), querelles et disputes n’ont pas leur place dans la congrégation chrétienne (Rom. 13:13; I Cor. 3:3; II Cor. 12:20; Phil. 2:3; Tite 3:9); il est requis d’une surveillant chrétien qu’il soit non batailleur (I Tim. 3:1, 3). Par conséquent, ceux qui s’obstinent dans les disputes et les querelles recevront de Dieu un jugement de condamnation. — Rom. 2:6, 8.

      Au premier siècle de notre ère, l’apôtre Paul dut affronter des individus querelleurs. quelques-uns prêchaient la bonne nouvelle par rivalité, certainement pour se mettre en évidence et pour saper l’autorité et l’influence de Paul. Toutefois, Paul ne permit pas à leur attitude de ternir la joie qu’il éprouvait en constatant que Christ était annoncé. — Phil. 1:15-18.

  • District
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    • DISTRICT

      {Article non traduit.}

  • District du Jourdain
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    • DISTRICT DU JOURDAIN

      {Article non traduit.}

  • District juridictionnel
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    • DISTRICT JURIDICTIONNEL

      Division administrative d’un territoire qui dépend d’un gouvernement central (Esther 1:16; 2:3, 18). La Bible parle des districts juridictionnel s d’Israël et de ceux des Puissances babylonienne et médo-perse (I Rois 20:14-19; Esther 1:1-3; Dan. 3:1, 3, 30). Le prophète Daniel fut constitué

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