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  • Vivre dès à présent pour un monde nouveau
    La Tour de Garde 1960 | 1er septembre
    • à celui qui est dans le besoin. ” Dérober, c’est prendre furtivement ce qui appartient à autrui. On comprend sans peine que commet un vol celui qui s’introduit par effraction dans une maison, en l’absence du propriétaire, pour y prendre de l’argent et des objets. Mais que dire de celui qui doit s’occuper de denrées, de matériaux et d’autres objets dans le cours de son travail, en tant que serviteur ou employé dans un bureau ou une usine ? Peut-​il s’approprier de telles choses ?

      25. Quelles questions peut-​on se poser pour se garder du vol ?

      25 La coutume de certains villages dans quelques pays autorise le voyageur qui y passe à prendre de la nourriture afin qu’il puisse se restaurer et poursuivre son voyage. C’est un usage qui témoigne d’une hospitalité digne d’éloges. Tous les habitants de ces villages comprennent cette coutume et même si le voyageur prend de la nourriture en l’absence du propriétaire, on ne regarde pas son geste comme un vol. Cet usage nous rappelle la disposition prise pour l’étranger, le voyageur et le pauvre sous le régime de la loi juive. (Voyez Lévitique 19:9, 10.) Mais les coutumes changent. Si la coutume en question se pratique encore dans certains villages, elle est inconnue dans les grandes villes qui connaissent les conditions de la civilisation moderne. Il faut donc s’adapter à la situation locale. Pour savoir si l’on commet un vol ou non, il suffit de se poser cette question : “ Ai-​je le droit de prendre cela ? ” Autrement dit : “ Le propriétaire de cette nourriture ou de ce matériel m’a-​t-​il donné le droit d’en faire usage ou de l’enlever ? ” S’il s’agit de choses qui appartiennent à son employeur, on peut se demander ceci : “ Est-​ce que je les prendrais si mon employeur était présent et s’il me voyait enlever ces choses ? ” S’il vous faut répondre par la négative à toutes ces questions, alors vous savez que ce serait commettre un vol que de prendre ces choses.

      26. Dans quelle position se trouve un travailleur honnête et actif ?

      26 Conformément au conseil de l’apôtre, le chrétien doit travailler dur, faire de ses mains ce qui est bien et non ce qui est mal. Il faut qu’il soit honnête et actif, n’ayant pas besoin de voler pour avoir suffisamment à manger. Alors il ne pourvoira pas seulement à ses besoins, à ceux de sa femme et de ses enfants, mais il sera également en situation d’aider les frères chrétiens de l’assemblée qui ne sont pas si heureux, qui ont peut-être subi une perte ou un désastre inattendu. Et il sera également en position d’apporter sa contribution à la caisse de l’assemblée locale pour aider à couvrir les dépenses entraînées par les progrès de la prédication de la bonne nouvelle du Royaume dans sa région.

      27, 28. a) Comment les gens se montrent-​ils souvent malhonnêtes en empruntant de l’argent ? b) En quels termes la Bible parle-​t-​elle de ceux qui refusent de rendre l’argent emprunté ? c) Quelles bonnes qualités doit cultiver le chrétien et de quelles mauvaises qualités doit-​il se défaire ?

      27 Le présent système de choses est pétri d’égoïsme. Les hommes le montrent par leur attitude envers la vie. Ils cherchent à obtenir le plus possible en échange du moins possible. Les chefs politiques et religieux font appel à cet égoïsme afin de gagner l’appui de leurs organisations. Cet égoïsme se voit aussi dans la façon de faire de certains. Ils sont prompts à emprunter de l’argent mais très lents à le rendre. Souvent l’emprunteur n’a aucune intention de le rendre. Il en est même qui essaient de se justifier en disant qu’emprunter à un riche et ne pas lui rendre son argent n’est pas une mauvaise action, puisque le riche n’a pas besoin de cet argent. Combien de querelles se sont produites devant le refus de rendre l’argent emprunté. C’est pourquoi il est dit au Psaume 37:21 : “ Le méchant emprunte, et il ne rend pas. ”

      28 Jéhovah ne bénit pas le méchant. Il ne bénit pas les égoïstes, les cupides, qui ne s’intéressent qu’au profit à tirer de la vie, tout en faisant le moins possible pour les autres, en échange. Ceux qui désirent la vie dans le monde nouveau cultiveront l’amour et non l’égoïsme, la générosité et non la cupidité. Plutôt que de faire des dettes afin d’accroître ses biens matériels, le chrétien apprendra à se contenter du nécessaire et gagnera honnêtement sa vie par le travail de ses mains. L’apôtre Paul veilla à n’être inutilement à charge à aucun de ses frères. Il ne profita pas de sa qualité d’apôtre pour tirer profit de ses compagnons chrétiens. Il ne convoita ni leur or ni leur argent. En tant qu’apôtre à plein temps, il fut reconnaissant pour l’aide des assemblées, laquelle lui permettait de se consacrer entièrement au ministère. Mais lorsqu’une telle assistance faisait défaut, il était prêt à travailler de ses mains, à faire des tentes, pour subvenir à ses besoins. — Actes 20:33, 34 ; 18:3 ; I Thess. 2:9.

  • Qui sont les rachetés ?
    La Tour de Garde 1960 | 1er septembre
    • Qui sont les rachetés ?

      L’homme Adam ne se trouve pas au nombre des rachetés. Pourquoi ? Parce que, pécheur volontaire, c’est très justement qu’il a été condamné à mort et qu’il est mort. Dieu n’allait pas casser son jugement pour lui donner la vie. Adam avait une vie parfaite et c’est de plein gré qu’il se l’est aliénée. La rançon à laquelle Dieu a pourvu n’opère pas dans le cas d’Adam. Mais, contrairement à ce qu’Adam fit pour sa nombreuse descendance, Jésus-Christ rachète les hommes croyants en donnant pour eux une rançon. Il annule la condamnation d’un “ grand nombre ” de croyants descendant d’Adam en disposant en leur faveur du prix de la rançon : ce sont là les rachetés. — Mat. 20:28, Cr.

      Ces principes démontrent l’impartialité de Jéhovah, le grand Rédempteur. Les morts dont Dieu garde le souvenir dans sa mémoire ressusciteront et pourront obtenir la vie en vertu de ce même acte de rachat. Jésus “ s’est donné lui-​même en rançon pour tous ”, pour tous ceux qui font alliance avec Dieu par son intermédiaire. “ Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-​même en rançon pour tous. ” — I Tim. 2:5, 6.

      La rançon entraîne pour ceux qui désirent en bénéficier une certaine obligation et un merveilleux privilège. Il est écrit que “ l’aiguillon de la mort, c’est le péché ”. (I Cor. 15:56.) Donc, pour être sauvés de la mort que transmet l’aiguillon du péché, les hommes doivent commencer par apprendre qu’ils peuvent bénéficier de la miséricorde de Dieu grâce à Jésus-Christ et, ensuite, avoir foi en cette disposition qu’Il a prise. Pour cela ils agiront sans hésitation conformément à la confiance qu’elle donne ; ils en rendront tout le mérite à Dieu et démontreront leur conviction en se vouant à lui et en faisant connaître à d’autres l’existence de la rançon. Cette ligne de conduite identifie les personnes de bonne volonté désignées par l’expression “ un grand nombre ”, pour lesquelles Jésus-Christ est mort ; elles comprennent la “ grande foule ” décrite dans l’Apocalypse en ces termes : “ Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation ; ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l’agneau. ” — Apoc. 7:14.

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