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  • L’amour pour la vérité
    La Tour de Garde 1962 | 1er septembre
    • DE PLUS GRANDS PRIVILÈGES DE SERVICE EN SUISSE

      En dépit de tout, nous poursuivîmes notre œuvre missionnaire dans notre propre pays, et, un an plus tard, nous étions appelés à servir au Béthel de Berne. Ce fut un grand privilège et, pendant les vingt et une années passées ici, au Béthel, nous avons manifesté et fortifié notre amour pour la vérité divine en toute saison, favorable ou non.

      Cela se révéla utile pour moi à une assemblée, plus grande, qui se tint dans le hall même où frère Rutherford avait parlé car, en plus de mon travail au Béthel, j’avais l’occasion de servir en qualité de serviteur de district. Mon discours fut l’objet d’une grande publicité, mais l’Action catholique ne resta pas inactive. La salle était remplie jusqu’au dernier siège. Rien ne se produisit pendant les quinze premières minutes. Puis, tandis qu’avec la Bible je prouvais que les systèmes religieux de la chrétienté n’avaient pas pris position contre les deux guerres mondiales ni ne s’y étaient fortement opposés, une voix dans les dernières rangées du balcon s’écria : “ Ce n’est pas vrai ! ” Immédiatement, plusieurs jeunes gens, au milieu et sur les côtés de la salle, réagirent et se mirent à siffler. Jéhovah me donna la force de réprimander calmement les perturbateurs et de les exhorter à rester tranquilles. Et ils écoutèrent, à l’exception de deux ou trois personnes qui s’en allèrent. Mais, au bout de vingt minutes, les choses se gâtèrent, un “ concert de sifflements ” s’éleva et quelques jeunes gens se levèrent. Les ouvreurs les tinrent en respect pendant un moment ; j’interrompis mon discours et m’adressant à l’auditoire, je dis : “ Approuvez-​vous la conduite de ces hommes ? ” Un “ non ” retentissant fut la réponse. “ Je propose donc aux personnes qui ne sont pas d’accord avec ce que je dis d’écouter mon discours jusqu’à la fin, de prendre des notes puis de faire connaître publiquement leurs objections et leurs questions. ” Ma remarque produisit l’effet désiré et je pus développer mon discours jusqu’au bout. Après la conférence, il était encourageant de voir de petits groupes de jeunes gens se former autour des frères mûrs qui parlaient de la vérité avec eux et de les voir accepter des publications bibliques puis quitter la salle en silence, l’air un peu honteux même.

      Le Béthel continue de nous procurer une vie pleine de variété, de nombreux privilèges de service, des joies inexprimables, mais aussi des épreuves sous divers rapports. À maintes reprises, j’ai reçu des offres d’emploi alléchantes de la part de mes anciens patrons et amis. Nous nous sommes interrogés : “ Ne serait-​il pas déraisonnable et très peu sage de quitter la voie de la vérité et, avec elle, le chemin de la vie, pour des satisfactions éphémères ? ” Chaque fois, nous avons repoussé catégoriquement ces offres séduisantes. Qui nous donne la force de le faire ? Jéhovah, notre bon Père céleste, qui nous a guidés dans son amour. Nous aimons sa vérité, et nous désirons de tout notre cœur ne jamais nous en dessaisir, grâce à l’aide qu’il nous apportera.

  • Le livre “ Paradis ” aide les gens à voir la vérité
    La Tour de Garde 1962 | 1er septembre
    • Le livre “ Paradis ” aide les gens à voir la vérité

      RETROUVÉ ET LU

      Un homme de Californie aidait une voisine à faire le nettoyage de son garage quand il découvrit, dans une poubelle, le livre Paradis. Il demanda à la dame la permission de le lire, la couverture magnifique l’invitait à en prendre connaissance et, d’autre part, il aimait la lecture. Ayant ouvert le livre, il en poursuivit la lecture jusqu’à ce qu’il l’eût achevée, à trois heures du matin. Le jour-​même, il eut le désir d’entrer en contact avec un témoin de Jéhovah mais il ne savait où le trouver. Or, trois jours plus tard, un Témoin se présentait à sa porte. Une étude biblique, suivie de plusieurs autres, fut commencée à son domicile. Puis il assista aux réunions et fut baptisé à l’assemblée de district de San Francisco.

      LU PAR ÉQUIPE

      Alors qu’il allait de porte en porte dans le ministère pendant l’assemblée de district de Milwaukee, un témoin de Jéhovah rencontra un homme qui venait de sortir de l’hôpital. L’homme raconta au Témoin que son compagnon de chambre à l’hôpital lisait le livre Paradis. Il désirait le lire lui aussi et avait demandé à son voisin de lit de le lui passer mais ce dernier était si absorbé par sa lecture qu’il la prolongeait très tard le soir. Aussi, afin d’en prendre connaissance, lui aussi, il essaya de se réveiller très tôt afin de profiter du sommeil de son voisin pour prendre le livre. Puis il demanda au Témoin de lui en procurer un exemplaire. Elle accepta et le lui apporta un peu plus tard ce jour-​la : “ Vous pouvez revenir ”, lui dit-​il, “ si cela vous fait plaisir, mais comme je sais à quel point vous êtes occupés, vous, les Témoins, je vais étudier avec mon jeune fils de sept ans ; j’épargnerai ainsi votre peine. ”

      À L’ÉCOLE

      Un maître d’école du Texas demanda aux élèves d’une certaine classe de préparer pour le lendemain le compte rendu oral d’un livre. Une jeune témoin de Jéhovah, rentrée chez elle, fit le compte rendu du livre Paradis, et, le lendemain, le donna devant toute la classe. À mesure que notre jeune témoin développait son exposé, elle montrait à la classe les belles illustrations contenues dans l’ouvrage. Alors que les exposés de ses camarades durèrent de cinq à dix minutes, le sien se prolongea pendant quarante-cinq minutes : on lui posa une quantité de questions auxquelles il lui fallut du temps pour répondre. Quand elle eut fini de parler, le maître et les dix élèves de la classe lui demandèrent de leur procurer le livre Paradis. La semaine suivante, elle commença une étude biblique avec l’une de ses compagnes de classe.

      LES IMPRIMEURS

      Une lettre provenant d’un habitant de l’Illinois, porte l’en-tête du “ Service d’imprimerie ” d’une université. Elle est ainsi conçue : “ Votre article intitulé “ L’imprimerie, une invention révolutionnaire ” [paru dans Réveillez-vous ! du 8 juillet 1961], est le meilleur que j’aie lu à ce sujet. Veuillez m’en adresser encore dix exemplaires car je désire les utiliser pour mes cours. ”

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1962 | 1er septembre
    • Questions de lecteurs

      ● Pourquoi Jéhovah permit-​il aux Israélites de subir, à deux reprises, la défaite devant les armées de Benjamin alors qu’il leur avait tout d’abord permis d’infliger un châtiment mérité aux Benjamites pour le crime de Guibea ? (Juges 20) — P. G., Écosse.

      Le dix-neuvième chapitre des Juges nous relate le comportement crapuleux de certains hommes de Guibea qui abusèrent d’une femme une nuit durant, au point qu’elle en était morte à l’aurore. Les habitants de Guibea commirent alors le crime affreux de pardonner ce péché aux citoyens de leur ville. La tribu de Benjamin partagea cette responsabilité ; elle refusa d’accéder à la requête des autres tribus réclamant la mise à mort de ces scélérats. Cette condition d’immoralité était un défi à la fidélité des tribus du peuple choisi de Dieu.

      L’égorgement de tant d’hommes fut une grande épreuve pour les tribus fidèles, particulièrement quant à la justesse de leur cause. En laissant les tribus fidèles subir une telle perte, quarante mille hommes en deux jours, Jéhovah les éprouvait pour voir s’ils persisteraient dans leur effort déterminé d’extirper ce mal grave en Israël, bien que cela leur causât tant de pertes à eux-​mêmes.

      Les milliers de fidèles qui tombèrent lors de cette campagne punitive moururent pour une cause juste. Les survivants vainqueurs se justifièrent devant Jéhovah Dieu et devant tous les lecteurs de sa Parole. Cette justification en valait la peine, et la nation d’Israël fut purgée d’une immoralité dégradante.

      ● Puis-​je inviter chez moi et même, si besoin est, héberger pour la nuit mon frère charnel qui vient me rendre visite avec sa famille depuis une autre ville, si celui-ci est exclu ? — E. T., États-Unis.

      L’exclusion d’un membre d’une famille n’exclut pas les liens de chair et de sang naturels. Par exemple, une exclusion ne rompt pas les liens

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