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  • Genèse (Livre de la)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • Répondant à ceux qui rejettent de nombreuses parties de la Genèse, qu’ils tiennent pour fabuleuses ou folkloriques, Wilhelm Möller écrit: “Je ne pense pas qu’on puisse considérer comme plausible l’idée selon laquelle, dans toute race, les fables et les mythes auraient été, avec le temps, acceptés de plus en plus comme des faits, à moins que d’aventure nous ne soyons maintenant disposés à tenir la chanson des Nibelungen ou l’histoire du petit chaperon rouge pour des récits historiques. Et pourtant, si l’on en croit les critiques, c’est ce qui aurait dû se passer en Israël.” Il poursuit en faisant remarquer que les prophètes croyaient au récit relatif à la destruction de Sodome et de Gomorrhe (És. 1:9; Amos 4:11), qu’ils considéraient Abraham (És. 29:22; Michée 7:20), Isaac, Jacob et Joseph comme autant de personnages historiques. Et, qui plus est, les Écritures grecques chrétiennes parlent également d’Abraham dans bien des passages. Selon Matthieu 22:32, Jésus Christ lui-​même parle de lui à l’occasion de la controverse sur la résurrection. Si Abraham, Isaac et Jacob n’avaient jamais existé, Jésus, cet enseignant hors pair, se serait servi d’une autre illustration. — Mat. 22:31-33.

      LA VALEUR DU LIVRE

      Le récit de la Genèse établit l’origine véritable de l’homme et expose la façon dont Dieu a traité avec lui. Puisque tout ce qui est écrit dans la Genèse est du domaine de la vérité et non de la légende, cet ouvrage nous permet de nous faire une idée juste de l’histoire humaine. Nous comprenons que, jusqu’au déluge, les hommes tenaient pour réels les faits qui font partie du récit bibliques sur l’Éden, car ce jardin était toujours-​là, avec l’épée flamboyante qui gardait l’entrée. On ne sait pas si la présence des chérubins s’accompagnait d’une manifestation visible ou non (Gen. 3:24). Malgré tout ceux qui voulaient agir selon leurs propres désirs ne tinrent aucun compte des faits dont ils étaient eux-​mêmes témoins. Toutefois, Noé, lui, servit Dieu conformément à la finalité première de l’homme, c’est-à-dire en harmonie avec l’histoire véridique. En dépit de la révolte contre Dieu fomentée par Nimrod à la tour de Babel, après le déluge, les patriarches de la lignée de Sem s’en tinrent au mode de vie véritable. Au moment où Dieu jugea bon d’organiser les Israélites en nation et de leur donner la Loi, celle-ci ne leur parut pas totalement nouvelle. Il ne s’agissait pas d’une révolution dans leur mode de vie. En effet, dans la Société patriarcale, ils avaient déjà pratiqué bien des choses qui étaient maintenant prescrites par la Loi. À ce propos, une encyclopédie (Cyclopædia de M’Clintock et Strong, “Genèse”, t. III, p. 782) déclare: “Cette théocratie n’aurait pu entrer dans l’histoire sans certains événements préliminaires. Les faits qui aboutirent à l’établissement de la théocratie sont consignés dans les récits de la Genèse.”

      La Loi, à son tour, préparait la voie au Messie et à la fondation du christianisme. Lorsque Jésus Christ se présenta, ceux qui s’étaient efforcés de se conformer à la Loi du mieux de leurs possibilités eurent tôt fait de l’identifier. Il n’est pas apparu soudainement pour se présenter comme le grand sauveur et conducteur sans aucune référence historique. En fait, le contexte dépeint depuis la Genèse permit aux gens sincères de le reconnaître et de le suivre. C’est ainsi que put être fondée une organisation forte composée de chrétiens juifs, un noyau prêt à porter un message évangélique convaincant aux nations. De leur côté, les nations païennes avaient été détournées de la vérité par leurs ancêtres, de sorte que leurs membres étaient “éloignés de l’État d’Israël et étrangers aux alliances de la promesse”, ‘sans espérance et sans Dieu dans le monde’. (Éph. 2:12.) C’est pourquoi ceux-là devaient apprendre les principes divins depuis le commencement avant de devenir chrétiens.

      Ainsi, la Genèse pose un fondement précieux pour l’intelligence de tous les autres livres de la Bible comme pour le christianisme. Elle définit le thème de la Bible, savoir la sanctification du nom de Jéhovah par l’entremise de son Royaume. Outre la toute première prophétie, fondamentale, consignée en Genèse 3:15, cet ouvrage renferme une multitude d’autres prophéties, dont beaucoup se sont accomplies depuis leur rédaction. — Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 13-19, 331-345.

      CONTENU

      I. Création des cieux, de la terre et de la vie terrestre (1:1 à 2:4).

      A. La loi de Dieu détermine l’immutabilité des espèces.

      B. Dieu donne à l’homme et à la femme le mandat de procréer.

      C. Début du jour de repos de Dieu.

      II. Récit plus détaillé de la création de l’homme et de la femme. Le péché entre dans le monde, et, par lui, la mort fait son apparition (2:5 à 4:26).

      A. Création de l’homme, puis de la femme; topographie du jardin. Dieu donne sa loi à l’homme. Mariage du premier couple (chap. 2).

      B. L’homme et la femme transgressent la loi de Dieu. Le serpent, la femme et Adam sont condamnés. Adam et Ève, sa femme, sont expulsés du jardin (chap. 3).

      C. Caïn assassine Abel; descendants de Caïn; naissance de Seth (chap. 4).

      III. Descendance d’Adam par Seth, jusqu’aux fils de Noé; des anges épousent des femmes; cent vingt ans sont laissés à l’humanité (5:1 à 6:8).

      IV. Le déluge universel (6:9 à 9:29).

      A. Noé est chargé de construire une arche pour préserver la vie humaine et animale au cours du déluge (chap. 6).

      B. Le déluge détruit toute chair hors de l’arche (chap. 7).

      C. Noé sort de l’arche dans sa 601e année, au second mois; il offre des sacrifices (chap. 8).

      D. Des lois sont promulguées: L’homme peut manger la chair, mais pas le sang. Le meurtre appelle la peine de mort; l’homme doit être fécond et remplir la terre. Par l’alliance de l’arc-en-ciel, Dieu promet qu’il n’y aura plus jamais de déluge universel. Malédiction de Canaan (chap. 9).

      V. La division de l’humanité (10:1 à 11:9).

      A. Les soixante-dix familles à partir desquelles les nations se disséminent sur la terre (chap. 10).

      B. La tour de Babel et la confusion des langues (11:1-9).

      VI. Généalogie: de Sem à Abram (11:10-26).

      VII. Relations entre Dieu et Abraham (11:27 à 25:11).

      A. Abram quitte Ur et se rend à Haran, puis il entre en Canaan. Alliance abrahamique. Saraï est protégée en Égypte (11:27 à 12:20).

      B. Abram laisse Lot choisir le District du Jourdain. Dieu promet le pays à Abram et à sa postérité (chap. 13).

      C. Abram inflige des défaites à quatre rois, y compris à celui de Schinéar; il donne le dixième à Melchisédek et reçoit sa bénédiction (chap. 14).

      D. Dieu promet un héritier à Abram, consolide son alliance et annonce une délivrance après quatre cents ans d’affliction (chap. 15).

      E. Saraï donne Agar pour concubine à Abram. Agar s’enfuit, puis revient chez Abram. Naissance d’Ismaël (chap. 16).

      F. Jéhovah change le nom d’Abram en Abraham. Conclusion de l’alliance de la circoncision. Jéhovah change le nom de Saraï en Sara. Promesse d’un fils qui devra s’appeler Isaac (chap. 17).

      G. Un ange promet à Abraham qu’il aura un fils par Sara, dans l’année, grâce à la puissance de Jéhovah. Abraham demande à Jéhovah d’épargner Sodome. Des anges délivrent Lot. Destruction des villes du District. Les filles de Lot donnent naissance à Moab et à Ben-Ammi, par suite des relations qu’elles ont avec leur père (chaps 18, 19).

      H. Jéhovah intervient pour protéger Sara contre les intentions d’Abimélech (chap. 20).

      I. Naissance d’Isaac. Ismaël se livre à des railleries, et l’affliction prédite commence. Agar et Ismaël sont renvoyés (chap. 21).

      J. Abraham se montre prêt à offrir son fils. Jéhovah ajoute un serment à la promesse qu’il lui a faite: la postérité d’Abraham se multipliera comme les étoiles et comme les grains de sable (chap. 22).

      K. Abraham pleure Sara après sa mort; il l’ensevelit dans un champ qu’il achète aux fils de Heth (chap. 23).

      L. Abraham envoie son intendant en Mésopotamie; Rébecca, parente d’Abraham, est choisie comme femme pour Isaac (chap. 24).

      M. Abraham engendre d’autres fils par Kéturah; il meurt (25:1-11).

      VIII. Les douze fils d’Ismaël et sa mort (25:12-18).

      IX. Les douze fondements de la nation d’Israël sont posés (25:19 à 35:29).

      A. Ésaü et Jacob naissent d’Isaac et de Rébecca; Ésaü vend son droit d’aînesse à Jacob (25:19-34).

      B. Isaac et Rébecca sont protégés par Abimélech. Les Philistins persécutent Isaac. Alliance avec Abimélech. Mariage d’Ésaü (chap. 26).

      C. Ésaü se prépare à recevoir la bénédiction réservée au premier-né, bien qu’il se soit défait de son droit d’aînesse. Sur le conseil de Rébecca, Jacob a recours à un stratagème et reçoit la bénédiction d’Isaac. Ésaü complote de tuer Jacob (chap. 27).

      D. En toute connaissance de cause, Isaac bénit Jacob et l’envoie à Paddan-Aram. Jacob contemple en vision une échelle qui atteint les cieux. Jéhovah lui renouvelle la promesse de l’alliance abrahamique. Jacob donne à cet endroit le nom de Béthel (chap. 28).

      E. Jacob sert Laban pendant sept ans. Ce dernier lui donne pour femme Léa, puis Rachel; Léa enfante quatre fils à Jacob (chap. 29).

      F. Jacob a six autres fils et une fille par Léa, ainsi que par les servantes de Léa et de Rachel; Rachel donne naissance à Joseph. Jacob s’enrichit (chap. 30).

      G. Jacob doit ses possessions à Dieu. Après vingt ans de service, il rentre chez lui. Laban le poursuit et se dispute avec lui. Ils concluent une alliance à Galéed (chap. 31).

      H. Jacob envoie un don à Ésaü; il lutte à bras-le-corps avec un ange; son nom est changé en celui d’Israël (chap. 32).

      I. Jacob et Ésaü se retrouvent pacifiquement. Jacob arrive à Sichem (chap. 33).

      J. Dinah se fait violer par Sichem; Siméon et Lévi massacrent les hommes de Sichem, emmènent leurs femmes et leurs enfants captifs et pillent leurs biens (chap. 34).

      K. Jacob purifie sa maisonnée des dieux étrangers. Rachel meurt en donnant le jour à Benjamin. Mort d’Isaac (chap. 35).

      X. Ésaü s’installe à Séir; ses descendants (36:1-43).

      XI. Jacob et ses douze fils en Canaan (37:1 à 38:30).

      A. Joseph est favorisé; il reçoit des rêves. Ses demi-frères le vendent à des marchands madianites, des Ismaélites; ils font croire que Joseph a été tué par une bête sauvage. Jacob le croit mort (chap. 37).

      B. Puisque le mariage par lévirat n’est pas contracté avec elle, Tamar amène Juda, par une ruse, à avoir des rapports avec elle, de sorte qu’elle devient enceinte; naissance de Pérès et de Zérah (chap. 38).

      XII. Israël en Égypte (39:1 à 50:26).

      A. Joseph, esclave de Potiphar, est accusé faussement et jeté en prison, mais Jéhovah le bénit (chap. 39).

      B. Joseph interprète les rêves de l’échanson et du panetier de Pharaon, rêves qui se réalisent (chap. 40).

      C. Deux ans plus tard, Joseph est convoqué pour interpréter les rêves du pharaon. II est nommé premier ministre, il se marie et amasse du grain au cours de sept années d’abondance. Naissance d’Éphraïm et de Manassé et début d’une famine qui va durer sept ans (chap. 41).

      D. Jacob envoie dix de ses fils chercher des céréales en Égypte. Joseph les reconnaît et leur demande d’amener leur plus jeune frère. Il garde Siméon en otage. Les autres reviennent d’Égypte. Ruben offre ses deux fils en gage de Benjamin, mais Jacob refuse de laisser partir son plus jeune fils (chap. 42).

      E. La famine se poursuit; Juda se porte garant de Benjamin. Benjamin se rend en Égypte avec ses demi-frères. Joseph les convie à un festin (chap. 43).

      F. Pendant qu’ils s’en retournent, les frères de Joseph sont rattrapés et accusés. Juda supplie Joseph de faire de lui son esclave à la place de Benjamin (chap. 44).

      G. Joseph révèle son identité et invite la maisonnée de Jacob en Égypte. Jacob comprend que Joseph est vivant (chap. 45).

      H. Jacob se rend en Égypte avec sa maisonnée (chap. 46).

      I. Jacob rencontre Pharaon; il s’installe au pays de Goschen; Joseph achète tout le bétail, puis tout le pays d’Égypte et ses habitants pour Pharaon; un cinquième de tous les produits du pays revient à Pharaon (chap. 47).

      J. Sur son lit de mort, Jacob bénit les fils de Joseph, en faisant passer Éphraïm avant Manassé, le premier-né (chap. 48).

      K. Jacob bénit ses douze fils; Juda se voit confier le commandement et reçoit la promesse du Schiloh à venir. Mort de Jacob (chap. 49).

      L. Jacob est enseveli en Canaan, dans la grotte achetée par Abraham; Joseph ordonne aux fils d’Israël de ramener ses ossements d’Égypte et se montre certain que Jéhovah délivrera la nation. Mort de Joseph (chap. 50).

  • Genêt
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    • GENÊT

      (héb. rôthém).

      Le genêt est un arbrisseau du désert, de la famille des papilionacées.

      Cet arbuste est l’une des plantes les plus abondantes du désert de Judée, de la péninsule Sinaïtique ainsi que du reste de l’Arabie. On le trouve dans les ravins, les endroits rocheux, sur les pentes et même sur les étendues de sable du désert où ses racines s’enfoncent profondément pour rechercher l’humidité. Il mesure de un à quatre mètres de haut; il a un grand nombre de tiges fines et souples avec des feuilles droites et étroites. Quand il fleurit, les petites grappes de fleurs délicates, qui vont du blanc au rose, offrent un ravissant spectacle lorsqu’elles couvrent les collines par ailleurs dénudées. Le nom hébreu de cette plante (rôthém) vient d’une racine qui signifie “lier” et, selon Pline (Ier s. de n. è.), ses branches souples servaient à lier et même à tresser des paniers.

      Quand Élie s’enfuit dans le désert pour échapper à la colère de Jézabel, le récit indique, en I Rois 19:4, 5, qu’il “vint finalement s’asseoir sous un certain genêt” et qu’il s’y endormit. Un petit genêt ne protégerait guère du soleil brûlant du désert, mais l’ombre d’un arbre d’une bonne taille serait la bienvenue. Cet arbrisseau du désert servait également de combustible. Le genêt fait de l’excellent charbon de bois qui dégage une chaleur intense en brûlant, et il a été très prisé jusqu’à nos jours dans les pays arabes.

  • Genévrier
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    • GENÉVRIER

      1. (héb. berôsh).

      Le nom hébreu de cet arbre est traduit par “sapin”, “cyprès”, etc.; certains lexicographes, cependant, recommandent le mot genévrier. Puisqu’il fut importé du Liban par le roi Salomon (I Rois 5:8-10; 9:11; II Chron. 2:8), on peut l’identifier au Juniperus excelsa, un grand arbre robuste au feuillage persistant pouvant atteindre vingt mètres de haut, aux branches largement déployées, à petites feuilles imbriquées et à fruits ronds de couleur sombre. Il est très odoriférant et son bois est hautement apprécié pour sa résistance.

      Originaire du Liban, le Juniperus excelsa est régulièrement associé à ce pays et il est cité parmi les arbres composant “la gloire du Liban”. (II Rois 19:23; És. 14:8; 37:24; 60:13.) Le psalmiste parle des genévriers comme de la “maison” ou du nid des cigognes (Ps. 104:17). Salomon fit un usage considérable du bois de genévrier dans la construction du temple (II Chron. 3:5). Ce bois servit à la fabrication des battants des portes principales (I Rois 6:34) ainsi que du plancher (I Rois 6:15). D’autres passages des Écritures indiquent qu’on en faisait des solives (Cant. 1:17), des bordages de navires (Ézéch. 27:5), des bois de lances (Nahum 2:3) et des instruments de musique (II Sam. 6:5). Dans les prophéties relatives à la restauration, cet “arbre touffu” servit à décrire la beauté et la fertilité dont jouirait alors le pays du peuple de Dieu. — És. 41:19; 55:13; 60:13.

      2. (héb. ʽarôʽêr ou ʽarʽâr). Le mot arabe ʽarʽar permet d’identifier assez sûrement cet arbre au Juniperus phænicea, un arbuste trouvé dans la région du Sinaï ainsi que dans le désert d’Édom. La racine dont le nom hébreu de cet arbre est dérivé emporte l’idée de “nudité” ou d’être “dépouillé” (comparez avec Psaume 102:17). En harmonie avec son nom, ce genévrier nain est décrit comme un plante d’aspect assez lugubre, poussant dans les terrains rocheux ou rocailleux des déserts. Aussi, dans le livre de Jérémie, la comparaison entre l’homme dont le cœur s’est détourné de Jéhovah et “un arbre solitaire [ʽarʽâr] dans la plaine déserte” est-​elle vraiment appropriée, de même que lorsque Jérémie invite les Moabites à fuir et à devenir “comme un genévrier [ʽarôʽêr] dans le désert”. — Jér. 17:5, 6; 48:1, 6.

      [Illustration, page 591]

      On peut voir ici les feuilles imbriquées et les fruits ronds de couleur sombre du genévrier.

  • Génisse
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    • GÉNISSE

      Jeune vache qui n’a pas encore vêlé. Il y avait une génisse parmi les animaux qu’Abraham coupa en deux. Un moment plus tard, celui-ci vit “une fournaise fumante et une torche de feu qui passa entre ces morceaux”. Cet événement eut lieu lorsque Dieu conclut une alliance avec Abraham. — Gen. 15:9-18.

      En Israël, était impur quiconque touchait un cadavre humain, un ossement d’homme ou une sépulture, ou quiconque entrait dans une tente où se trouvait un mort. Une telle personne devait alors prendre des mesures de purification précises sous peine d’“être retranchée du milieu de la congrégation”. Ces mesures comprenaient l’utilisation des cendres d’une vache rousse en parfait état sur laquelle il n’était pas venu de joug. On aspergeait la personne impure avec de l’eau dans laquelle on avait mélangé un peu de ces cendres. Paul

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